Migration pendulaire

échelles : Les mobilités des Français sont plus fréquentes et diverses. On compte environ 175 millions de déplacements par jour. Les distances domicile-travail se sont accrues avec l’étalement urbain et la diffusion de la voiture. Ces migrations pendulaires durent en moyenne 1 heure sur une distance d’environ 40km contre 10 dans les années 1960. Le TGV permet même à des habitants de Tours, Lille…de venir travailler à Paris. La démocratisation du transport aérien permet une plus grande mobilité

43) La pression démographique combinée à la modernisation plus ou moins profonde de l'agriculture selon les pays, favorise la mobilité de la population. Celle-ci prend essentiellement 2 formes: - En Europe, l'exode rural vers les villes. - Les migrations internationales, surtout à partir des pays agraires pauvres, vers les E.U.(Anglais; Ecossais, Irlandais puis, après 1880, Italiens, slaves, Allemands), l'Australie, la Nouvelle- Zélande(britanniques, Irlandais..), l'Argentine( Allemands, Italiens)

mobilité géographique de populations essentiellement citadines : les individus sont souvent amenés à migrer à des centaines de kilomètres de leur lieu de naissance pour travailler dans une autre ville, où ils doivent faire quotidiennement des migrations pendulaires entre leur domicile et leur lieu de travail C’est le cas des Guadeloupéens qui travaillent à Jarry certains viennent des agglomérations périphériques mais certains viennent de Basse-Terre par la N1 ou de Siant-François ! ils font donc le trajet

limites administratives = Daitoshi = grande ville de Tokyo = 8 millions d’ha. = Le Grand Tokyo = sphère métropolitaine défini par des critères de densité, rayonnant sur 50 kms = 33 millions h’hab. Le Grand Tokyo tenant compte des migrations pendulaires, jusqu’à 60 kms du centre, étendu sur 35 000 kms2 = 40 millions hab. Aujourd’hui, cette hypercentralisation se renforce !!! sur près de 80 kms du nord au sud et sur 60 kms d’est en ouest !!! - centre de Tokyo organisé autour des diverses

RADENEZ Michael REMION Saint-Denis - Janvier 2007 INTRODUCTION Entendons par mouvement migratoire le déplacement d’un individu avec son lieu de vie. Outre la provenance et la destination, il importe de se renseigner sur la nature même de la migration. La population qui entre en considération dans la présente étude est essentiellement composée de Rroms roumains. Toutefois, on y trouve aussi des bulgares, des hongrois, des yougoslaves… Rroms et non Rroms. Il est préférable de ne pas désigner la

quotidienne - Grandes migrations pendulaires qui se traduisent par des embouteillages malgré les transports en commun dans les grandes villes - Déplacement liés au travail sont moins importants que ceux liés aux achats et loisirs - Déplacements personnels représentent 3/4 de la mobilité - Les français sont mobiles lors des vacances (environ 2/3 des habitants) - Les déménagements se font sur une courte distance - Migrations interrégionales lointaines en

les liens entre migration et environnement, l’intégration des personnes issues de la migration, les questions de ségrégation spatiale et de discrimination ainsi que l’insertion dans le monde du travail. Etienne.piguet@unine.ch Antoine Pécoud est membre du personnel de la Section des migrations internationales de l’UNESCO depuis 2003. Ses recherches portent essentiellement sur les politiques migratoires, la création d’entreprises par les immigrés et les implications des migrations internationales

Au sens strict de l’INSEE, les mobilités internes et les déplacements habitat / travail (plus que les densités de population) conduisent à placer l’ensemble des territoires franciliens dans une grande aire urbaine, dans la mesure où les migrations pendulaires vers le centre de l’agglomération sont très importantes. Cette définition conduirait à considérer qu’il n’y a pas d’espaces ruraux en Île-de-France, mais uniquement des espaces périurbains. Note de lecture pour guider l’organisation des

tout comme ces derniers modulent l'espace. Ce sont les objets réciproques de la géographie des transports. Les notions d'accessibilité et de désenclavement des régions ont permis l'exode rural. Le transport a joué un rôle de catalyseur dans ces migrations. Les voies de communication ou plus précisément la mobilité sont une incitation au développement. Alors que certaines régions profitent du facteur transport pour se développer, d'autres moins bien nanties ou mal desservies par les transports stagnent

2) La mobilité résidentielle nationale : une nouvelle donne spatiale ? Déménagement fréquent, faible distance surtout ( 3.8 millions en quatre ans changent région ) Régions limitrophes. Gardent lien spatial avec famille. Motifs de la migration Courte distance : Insatisfaction logement Longue distance : Evénements professionnels. Forte mobilité jusqu’à 30 ans,puis déclin Hauts revenus = qualifiés > Propriétaires mais forte mobilité Solde migratoire négatif tous âges : Nord Nord-Est