Mille Femmes Blanches

Athènes, mais aussi à Epidaure des concours de théâtre à l’occasion des Dionysies (dans la Grèce antique, nom donné aux fêtes qui étaient célébrées en l'honneur de Dionysos). On représentait des pièces de trois poètes choisis par concours. Plus de mille tragédies on été écrites au cours de cette période. Aujourd’hui il nous en reste 31. Trois grands poètes tragiques se succèdent alors : - Eschyle (525-456 avant J.C.) Il introduit deux acteurs qui dialoguent entre eux et avec le chœur. Il écrivit

et éducatif. Il permet avant tout de s’évader. Sa construction très simple permet une grande lisibilité du texte et le rend donc accessible à tous. Si le lecteur ou l’auditeur ne désire pas s’encombrer de leur portée symbolique, Candide, Zadig, Les Mille et Une Nuits, les contes de Perrault ou des Frères Grimm sont avant tout de jolies et plaisantes histoires qui, on y revient, avant toute chose servent à distraire. II – LES LIMITES DU ROLE EDUCATIF DU CONTE A – PLUS PROCHE DE LA FICTION

Comment l’Occident a détourné industrialisé l’agriculture et mis en danger l’humanité ....... 5 L’accaparement des terres : un nouveau colonialisme menace l’Afrique ............................... 8 Marcus Mosiah Garvey - Un appel à l’âme de l’Amérique blanche. ...................................... 10 Montesquieu : Petit traité de racisme français .................................................................... 13 Appel de la Ligue de l’Impératrice à participer à la Marche d’Un Million de Femme 1er

CHARPENTIER 11, ET Cic, RUE DE GRENELLE, 1889 ÉDITEURS 11 «Ô28o LES DEUX AGES La fille petite est devenue jeune.lillc, Victor l'an Ce n'était, Dont l'œil passe, bleu, transparent le ciel réfléchit Du lac qui N'exprimait blanche et calme comme riant et blonde l'onde d'été, et naïve bonheur que enfant qu'une Hcco. gaité. dans le parc la voir sur la pelouse Que j'aimais Parmi ses jeunes sœurs voler, jalouse courir, D'arriver la première Avec grâce les vents de

rêve, des jeux de langage mise en avant de l’existence de l’inconscient, et de ses expressions indirectes : rêve, lapsus, acte manqué, création artistique le projet de changer la vie  « Ce qui est vrai de la publication d'un livre le deviendra de mille autres actes le jour où les méthodes surréalistes commenceront à jouir de quelque faveur. Il faudra bien alors qu'une morale nouvelle se substitue à la morale en cours, cause de tous nos maux. » (André Breton, Manifeste du surréalisme)  « Le surréalisme

saluaient les cadavres Ils s'accablaient de politesses VII Ils persévèrent ils exagèrent ils ne sont pas de notre monde VIII Les femmes les enfants ont le même trésor De feuilles vertes de printemps et de lait pur Et de durée Dans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésor Dans les yeux Les hommes le défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rouges Dans les yeux Chacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourir La

répondais, pensif et sans l'entendre. « Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre, Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu. Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu, É talé largement sur la chaude fournaise, Piqué de mille trous par la lueur de braise, Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, Je songeais que cet homme était plein de prières, Et je regardais, sourd

répondais, pensif et sans l'entendre. « Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre, Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu. Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu, É talé largement sur la chaude fournaise, Piqué de mille trous par la lueur de braise, Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, Je songeais que cet homme était plein de prières, Et je regardais, sourd

neiges s’amoncellent, emplissant le vallon et rendant impraticable la descente sur Loëche, les femmes, le père et les trois fils s’en vont, et laissent pour garder la maison le vieux guide Gaspard Hari avec le jeune guide Ulrich Kunsi, et Sam, le gros chien de montagne. Les deux hommes et la bête demeurent jusqu’au printemps dans cette prison de neige, n’ayant devant les yeux que la pente immense et blanche du Balmhorn, entourés de sommets pâles et luisants, enfermés, bloqués, ensevelis sous la neige

il connaît d'ailleurs de nombreux artistes novateurs dont le fameux peintre Pablo Picasso, qui commandera sa tombe lors de la mort de l'auteur. Dans ce recueil, j'ai remarqué que des thèmes revenaient souvent au sein des textes. Parmi eux, les femmes et l'amour, mais aussi l'automne et par la même occasion la fuite du temps, ou encore les tziganes, les sapins, la mort ou les étoiles. C'est ce dernier thème que j'ai choisi pour regrouper les poèmes de cette anthologie. En effet, j'ai compté plus