Mimésis Aristote

maîtrise de la topique), de la disposition (l’art du plan qui gouverne l’architecture de l’ensemble) et de l’élocution (la science des figures) : Cicéron, Quantilien (mise en ordre efficace et performance de la parole) ; Aristote ( La Poétique, offrant une théorie de l’imitation –mimesis-, une conception organique du poème achevé –qui doit être un tout, avoir début, milieu, fin) ; Horace(finalité de l’art : mêler le plaisant à l’utile). Par le relais des commentateurs italiens du XVIe, synthèse de la

méritent d’être éclairées. En cela, le théâtre n’est-il pas l’un des arts de la représentation de la nature humaine ? . I-La fonction du théâtre :point d’optique a)Pourquoi est-il la mise en scène de la société ? Le théâtre est l’art de la « mimésis »,c’est à dire l’art d’imiter la nature humaine. Véritable scène du monde ou plateau du moi ,le théâtre est un spectacle vivant ou se meuvent des corps vivants dans un décor ,qui sont entourés de lumières, de sons, d’objets, de spectateurs et d’espaces

emploie ne sont pas à négliger pour une bonne comprehension de l'oeuvre . II) Les enjeux de la pièce 1° Le but du thêatre .. et donc de la pièce : > Selon moi , le théâtre aurait pour projet de mettre sur scene la vie des Hommes > mimésis . [ Pour Aristote , cette mimésis serait l'un des moyens de la catharsis c'est à dire de la purgation des passions . > D'après Genet , dans " Comment jouer Les Bonnes " ( 1947) : "Sans pouvoir dire au juste ce qu’est le théâtre, je sais ce que je lui refuse d’être

Imiter la nature pour innover durablement, tel est le pari du biomimétisme  né en 1997  pas “faire comme” mais “faire avec”  pas idée de rupture avec technologies et industrie mais placer au nature à leur centre    ​ . Aristote « l’art n’est rien d’autre que l’imitation de la nature »  . du grec, « bios » = vie ; « mimêsis » = imitation  . Le biomimétisme est une science, une méthode, une philosophie  . Gaulthier Chapelle, Linkedin. Essayer de rentrer en contact avec lui  . Biomiméticiens s’émerveillent devant la richesse de la nature 

L’essayiste Antoine Vitez écrit à ce sujet que la tragédie c’est « l’histoire des larmes ». Ainsi, l’auteur lie étroitement la tragédie aux larmes. Il semble qu’il reprenne un des aspects fondateur du genre qui est celui de la catharsis énoncé par Aristote dans sa Poétique en ce que les larmes « purifient » l’âme. De plus, par le terme « d’histoire » il signale bien que les larmes évoluent à travers les âges. Prenons un mythe adapté à de nombreuses reprises : Le mythe de Médée. Celui-ci, qu’il soit

=> naissance dès l'Antiquité, dans l'art grec => Art Romain a repris ,copies de l'art grec Fresque de la maison du bracelet d'or (+45 ap. JC) Platon et Aristote = Philosophes grecs , 2 opinions différentes Platon > Veux chasser les poètes, les artistes =fous ( car copie de la copie = simulacre) Aristote > Pour ( mimesis) imitation Zeuxis et Parrhasios > Se veulent tout les deux les meilleurs peintres dans le trompe l'oeil A la fin, Zeuxis est trompé par Parrhasios en confondant

LE REALISME EN LITTERATURE De tout temps, et bien avant que le terme « réalisme » n’apparaisse, on a réfléchi au rapport que la littérature entretient avec la réalité. Dés l’Antiquité, Aristote définit l’art comme « mimésis », c’est-à-dire comme une imitation de la nature, inaugurant une réflexion qui accompagne la littérature occidentale toute entière – la préoccupation mimétique et la question de la vraisemblance sont déjà au cœur de l’esthétique classique, mais qui s’identifie plus particulièrement

dit donc bien que l’éducation spartiate est aussi l’affaire de toute la vie et pas seulement de l’enfance. Ce n’est pas une paideia. On connaît cette éducation par des sources du IV° siècle tels Xénophon qui fut un grand admirateur de Sparte, Aristote (dans Les Lois) qui déplore au contraire la férocité bestiale et l’orientation militaire de l’agogè, Plutarque dans sa Vie de Lycurgue où il aborde les institutions éducatives qui auraient été mises en place par ce grand personnage légendaire. La

dispute autour de l’authenticité du roman est loin d’être réglée. Accusé par Platon de mensonge, réhabilité par Aristote grâce au principe de la mimesis – représentation du réel par la représentation artistique –, le roman reste encore au cœur des débats concernant son «authenticité.» On peut donc se demander ce qui s’est passé avec ce pacte sur la fictionnalité conclu, depuis Aristote, entre l’auteur et son lecteur, pacte qui garantit l’autonomie du roman face au monde dont il est le reflet et non

reproduction est semblable au modèle, plus sa joie et son admiration se refroidissent, si même elles ne tournent pas à l’ennui et au dégout. » Dans cet art de représentation il n’y a aucun moyen d’expression. C’est Aristote qui fut le premier philosophe à développer cette idée « mimésis » qui ne veut pas dire imiter mais représenter l’art. Un artiste qui représente des objets, et aussi un artiste avec un but sans fond. Ils n’ont pas d’idée a faire passé. Ils veulent juste montrer leur techniques et