Mine de fer

nombreuse infrastructures et le système hydraulique traditionnel à été remplacé par des techniques plus performantes. Cela sert à l’intensification de l’agriculture. Les sous sol du désert cache les gisements d’hydrocarbures et des minerais comme le fer en Mauritanie ou le phosphate au Maroc. Le « tourisme d’aventure » est en plein essor grâce à l’imaginaire et la symbolique du désert. Ces ressources, ces richesses, entrainent malheureusement des conflits directement ou indirectement. Cette région

Forestier Celui qui chante – Michel Berger Quelques mots d’amour – Michel Berger Chez Laurette – Michel Delpech Dites moi – Michel Jonasz Super nana – Michel Jonasz Assez ! – Niagara Soleil d’hiver – Niagara Le sud – Nino Ferrer Le téléfon – Nino Ferrer Mirza – Nino Ferrer Une fenetre ouverte – Pauline Ester Des que le vent soufflera – Renaud Morgane de toi – Renaud Le coup de soleil – Richard Cocciante Question de feeling – Richard Cocciante Comics trip – Serge Gainsbourg La javanaise

du chemin de fer d'Orléans. Pour Thérèse commencent trois années de vie monotone, ponctuées tous les jeudis soir par la visite des mêmes invités : le vieux Michaud, commissaire de police retraité et ami de Madame Raquin, son fils Olivier, également dans la police, sa femme Suzanne et Grivet, collègue de Camille : on prend le thé en jouant aux dominos. Thérèse déteste ces soirées. Un soir, Camille amène un nouvel invité, Laurent, qui s'est résigné à travailler dans les chemins de fer après avoir

œuvre a été réalisée juste après la guerre, c’est la raison pour laquelle on peut voir des gueules cassées et des blessés de guerre. Otto dix: (1891-1929) est né en Allemagne et est issue d'un milieu ouvrier. Son père à travaillé dans une mine de fer et sa mère lui a enseigner en revanche une éducation artistique (en particulier la musique et la peinture). Il fait donc des études à l'école d'arts appliquées de Dresde entre 1909 et 1914. Il va s'essayer à divers courant artistique: au cubisme;

utilisée jusqu'au XVIème siècle. Présentation de l'auteur : Otto Dix né à Gera en 1891 et mort à Singen en 1969, est un peintre allemand du mouvement de la Nouvelle Objectivité. Il est issu d'un milieu ouvrier (son père travaillait dans une mine de fer). Il reçoit une éducation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Il prend des cours de peinture et entre à l'École des arts décoratifs de Dresde, de 1909 à 1914. Dix s'essayera au cubisme, au futurisme et plus

arrive. Elle est là. Elle ne dit rien, elle n'a besoin de rien dire. Elle me regarde, avec son regard de professeure qui sait, que mes exercices ne sont pas fait. Je fais mine de le chercher dans mon sac. Elle attend. Je le sort sous sont regard dénonciateur. Le cahier est sorti sur la petite table d'écolier en bois sur pieds de fer. Je l'ouvre. La page sensé abriter ces diables d'exercices est blanche. Mon cœur accélère, les larmes me montent aux yeux. « Carnet de liaison de vous prie » dit-elle

Naurdhausen . Otto dix,la guerre : Otto dix de son vrai nom Wilhelm Heinrich Otto dix est un peintre allemand , né le 2 décembre 1891 il meurt 25 juillet 1969 . Otto Dix est issu d'un milieu ouvrier,son père travaillat dans une mine de fer, mais dès sont plus jeune il reçoit une éducation artistique par sa mère, Pauline Louise Dix, qui s'interressait a la musique et à la peinture. Après avoir suivi des cours de dessin pendant sa jeunesse, il peint ses toutes premières toiles, et

travail forcé. Par exemple, au fort de Saint Georges de la Mine construit en 1482 au début de la traite négrière. Durant leur traversée pour le Nouveau monde, les conditions de vie sont plus que déplorables. Les marchands les traitant comme des objets les entassent sous le pont du bateau avec très peu de subsistance pendant des semaines de périples. De plus, ils sont enchaînés les uns aux autres comme des animaux “par six par des colliers de fer dont les anneaux sont passés dans une chaîne” comme nous

MOTS CLEFS : SOCIABILITE- OUVRIER. La mine vue par Zola Dans son livre Germinal, Emile Zola décrit les horribles conditions de travail des ouvriers plus précisément des mineurs. Il évoque les accidents professionnels fréquents et les salaires dérisoires des mineurs, laperte de dignité humaine qu’engendre la misère (perte de repères moraux). Les mineurs sont comme prisonniers incapables d’échapper à un monstre puissant qui les dépasse: la mine. L’auteur dénonce aussi l’égoïsme des capitalistes

brousse, les habitants manquent d’eau pour leurs cultures et parviennent difficilement à nourrir leurs bêtes. Les ressources minérales en revanche ne manquent pas. On trouve en effet en grande quantité du charbon, du pétrole, de l’or, des diamants, du fer, du zinc et aussi de l’argile, du soufre et du sel. L’exploitation de ses ressources naturelles est parfois tellement forte que l’on néglige l’environnement. Les hommes construisent massivement de nombreuses routes à travers la forêt pour accéder à