Mirabeau Sur L Emprunt

entre le lecteur et l’écrivain. En effet pour que celui-ci ait lieu il faut qu’il soit lu; l’activité du lecteur est donc créatrice. C’est le lecteur qui crée et dévoile l’œuvre. Ecrire un livre, c’est écrire une lecture, une création dirigée qui emprunte les chemins de la subjectivité du lecteur pour être achevée. C’est un appel rendant le dévoilement objectif, un appel à la liberté du lecteur. Le livre n’est pas un moyen pour cela mais « se propose comme une fin à la liberté du créateur ».

provoque la peur de la famine, surtout au printemps 1789. Quelques révoltes éclatent comme celle du 28 avril 1789 lorsque près de 3000 personnes pillent une fabrique de papiers peints. b) L’appel des Etats Généraux. Le Roi Louis XVI ne peut emprunter d’avantages d’argents. Ces ministres ne peuvent in décidément augmenter les impôts existants qui ne frappent que les plus pauvres, il faut donc mettre des impôts sur tous les ordres, clergé et noblesse comprises. Cependant, toutes les tentatives

élément instable. Le lyrisme est ici particulièrement servi par cette musicalité d'abord, mais aussi par ce jeu emprunté au baroque de la comparaison et de l'antithèse qui entrelace intimement les thèmes de l'amour et celui de l'eau, élément mouvant, insaisissable, symbole de la vanité, comme du caractère éphémère des choses de ce monde. Lamartine dans "Le Lac", Apollinaire dans "Le Pont Mirabeau" s'en souviendront, avec certainement plus d'émotion

qui m’a beaucoup aidée à comprendre certaines choses, sont un mal très apparent, un amour perdu : Il sait qu’il ne le retrouvera pas, mais son amour lui ne s’éteindra cependant jamais. Un amour comme l’eau qui passe et ne s’arrête jamais (Le pont Mirabeau). Avec ce chagrin s’ajoute bien sûr de la nostalgie, dans ce temps où il était heureux avec Annie, mais qui s’est si vite fini. 3. « LA BELLE EPOQUE » La Belle Époque est une période est une période de progrès social, technologique, économique

1789, c'est une politique de table rase pour reconstruire à partir de principes abstraits. On veut un nouvel ordre, une nouvelle société, on veut forger un nouvel homme, et faire renaitre l'humanité, l'homme tel qu'il aurait été à l'origine. D'après Mirabeau, avant 1789, la France était "un agrégat constitué de peuples désunis ". La révolution française donne lieu à une nouvelle histoire constitutionnelle. La France semble commencer en 1789 parce que ce sont les États généraux qui décident, le 17juin

SUITE Le titre est étonnant parce qu’il ne se réfère pas à un monument précis comme « Le pont Mirabeau ». Le pluriel est préféré au singulier et interpelle le lecteur qui ne sait pas à quoi s’attendre avec ce poème qui a priori ne va pas décrire un paysage urbain réel. 1/ Une évocation purement architecturale, ABSTRAITE et imaginée, d’où l’homme semble absentCette impression d’une description imaginaire est confirmée par la première phrase : « Des ciels gris de cristal ». Le plafond naturel du paysage

dette qui à l’époque de 80%. Il va pratiquer une gestion désastreuse en réalisant des emprunts immenses à des conditions très désavantageuses. Mais Necker est quelqu’un qui est très soucieux de sa popularité et il a compris le rôle que commence à jouer l’opinion publique ; opinion publique qui est « la reine du monde ». Il va se refuser obstinément à l’augmentation des impôts pour financer le déficit public. Il emprunte à des taux très haut. C’est l’un des premiers hommes d’Etat à avoir compris l’importance

Etude Analytique du "Pont Mirabeau" d'Apollinaire, Alcools. Introduction: Il est paru dans le recueil alcools en 1913 . Sur le plan biographique ce poème a été écrit après la rupture amoureuse du poète avec Marie Laurencin . Cette dame était une peintre. Ils ont eu une relation de 1807-1912 . Ce poème apparait comme un chant d’amour , sur le plan littéraire ce texte se situe dans la tradition des poèmes qui écrivent sur la fuite du temps et qui sont liés au thème d’un amour perdu , cette

credo de la continuité historique. En regard des discours électoraux, se fait entendre une autre voix, celle de Choses vues, qui se démarque de la première en ce que s'y profile la menace d'une histoire perçue comme répétition. 1848 ne devrait pas emprunter les mêmes voies que 1789. Pourtant, dans un brouillon de discours daté d'avril 1848, apparaît clairement ce risque d'une histoire qui se parodie : Et puis (nécessité de l'ancienne terreur, inutilité de la terreur actuelle, plagiat hideux et gratuit)

Paris, là on emprunte à nouveau, on continue à creuser le déficit, mais le parlement bloque l’ordre, le parlement veut faire exploser le régime, et veux régler à sa façon le régime car ils s’estiment être les représentants de la nation. Louis 16 se déplace en personne pour forcer l’enregistrement de la loi sur l’emprunt, lors de cette réunion royale, on y voit aussi les princes du sang, dont Philippe d’Orléans (quelqu’un d’ambitieux), il prend la parole devant le roi et explique qu’un emprunt forcé est