Miracle à Milan

prince ont coutume de lui offrir ce qu’ils possèdent de plus rare, ou ce qu’ils croient être le plus de son goût, comme des chevaux, des draps de soie, des armes et des pierres précieuses d’un prix proportionné à la grandeur de celui à qui ils en font hommage. Le désir que j’ai de me présenter à vous avec un gage de mon dévouement, ne m’a fait trouver parmi tout ce que je possède rien que j’estime davantage, ou qui soit plus précieux pour moi, que la connaissance des actions des hommes célèbres ; connaissance

L’Italie, berceau de la Renaissance Le développement de la Renaissance a été possible grâce à un retour en force des idées humanistes. Pour les humanistes, l’homme est au centre du monde. Ils croient que seul l’homme instruit peut penser librement. Ils font donc l’éloge du savoir et du libre arbitre. Ils estiment qu’un monde nouveau est possible grâce au pouvoir créateur de l’Homme. Cette confiance en l’homme est due à plusieurs facteurs : les grandes explorations de Bartholomoe Diaz, christophe

n’en restent pas moins révélants du talent et de la vision de De Vinci. Exemple de son génie, il répondit aux exigences de son maître Verrochio en insufflant la vie à ses dessins. Il surpasse ses contemporains dans ces exercices, faisant de simple croquis d’études de véritable œuvre d’art. Nous allons tout d’abord nous intéresser à l’histoire de la formation de ce personnage hors normes afin de mieux concevoir sa personne et sa vision, puis nous verrons les expérimentations graphiques qu’il met

César (Le pauvre Brutus avec lui-même en guerre.) I-2 : Je suis en proie Depuis peu de passions qui se combattent, D’idées qui ne sont que miennes. Cassius l’interroge (I-2) à la manière d’une maïeutique : il le pousse (sans dévoiler lui-même ce qu’il pense) par ses questions à dévoiler le dilemme interne qui l’habite et à avouer qu’il n’approuve pas le pouvoir excessif de César > moyen de le convaincre qu’il doit participer au meurtre de celui-ci. Finalement Brutus confie qu’il craint fort que

réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme

se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 1 La question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La

(Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de

émotion et d’où vient-elle ? Toute le monde a ressenti des émotions, bonnes ou mauvaises, car il y a les émotions positives qui enhardissent, qui dynamisent, qui nous redonnent confiance en nous-mêmes et des émotions négatives, de loin les plus courantes, qui nous dépriment, nous fatiguent, nous rendent pessimistes avec un vague sentiment d’échec et d’humiliation. Généralement, on ne cherche pas à réprimer les bonnes émotions (les émotions bleues comme les a appelées le Dr Pauchet). Si on nous annonce

pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, et Stendhal. Le romantisme en Allemagne Le romantisme émerge en Allemagne à la fin du xviiie siècle. Novalis en définit le programme dès 1798 : « Le monde doit être romantisé. Ainsi on retrouvera le sens originel. […] Quand je donne aux choses communes un sens auguste, aux réalités habituelles un sens mystérieux, à ce

la société d’ordre, le droit concerne l’individu + droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Rome, trois époques : Rome royale, Rome républicaine, Rome impériale. Celle qui nous intéresse est l’impériale puisque c’est avec elle que va intervenir la fusion entre la religion chrétienne et le pouvoir. Avant, il y avait cette permanence de l’exercice du pouvoir entre la religion et l’Etat. Pour les romains païens, très tolérants à l’égard des autres religions car avaient peur des dieux. Tout en bas