Miroir

Miroir, mon beau miroir… Je me présente, je m’appelle Marie, j’ai 35 ans et ce que je vais vous raconter est étrange, si étrange que c’est la 1ère fois que je partage cette histoire. Comme tout le monde, je pense, j’ai un miroir chez moi et jusqu’il y a un mois je passais et repassais devant des miroirs sans y faire attention. Mais voilà, il y a plus ou moins un mois je faisais une brocante et je me suis arrêtée devant un stand et là il y avait un miroir, ce miroir était vraiment magnifique

personnages excessifs ou des situations exceptionnelles ? Le théâtre est considéré comme le miroir du monde. En effet, avec la dimension universelle et intemporelle des sentiments humains que le théâtre présente, celui ci renvoie au public sa propre image. Par exemple, l'amour est universel, on le retrouve donc dans Roméo et Juliette ou encore Phèdre, où celui-ci est extrême et improbable, exceptionnel. Mais le miroir peut être déformant, et agir comme une loupe sur un caractère, une émotion, un sentiment

phrase du sujet donne en fait une réponse qu’il faut décliner et critiquer en s’interrogeant sur la notion de "reflet". Avant d’adopter un plan, un travail lexical s’impose alors. Qu’est-ce qu’un reflet ? C’est une image fidèle, liée à l’objet du miroir et à l’idée d’objectivité. C’est une reproduction qui donne l’illusion de vérité. Néanmoins, le roman n’est-il pas qu’une simple imitation ? C’est une création, il peut donc offrir à ses lecteurs une représentation plus ou moins déformée de la société

je travaille dans la mode se qui m’oblige à faire de nombreux voyage, il y a un défilé a Rome et ma société en fait parti. Effrayé, je me précipitai vers les toilettes où je me regardai dans le miroir, mon visage était rouge, je me passai de l’eau sur le visage. Lorsque je me releva je vis dans le miroir cette femme je devenais fou elle était partout, elle me suivait. - « Bonjour, eh bien angoissé ? - Non tout va tellement bien… - Oh très bien. Et vous vous appelez ? - Jean je m’appelle JEAN 

"Un roman, c'est un miroir qu'on promène le long d'un chemin", Rouge et Noir de Stendhal. En effet, le roman peut être le reflet de la société, de l’époque on l’on vit. A chaque siècle, les auteurs ont leur propre vision du monde et de la société qui les entoure. De plus, le lecteur, en lisant des auteurs de différents siècles, peut alors voir que la société est très différente de celle d’aujourd’hui. Ainsi, beaucoup de personnage de roman s’inspire de la réalité. En effet dans le roman, le

POUR MARIANNE (ET NON MARIE ANNE :D ) "Le miroir dans l'autoportrait" est une étude de la place du miroir dans l'autoportrait en peinture (avec quelques détours vers la photo, la lithographie...). Il vise à étudier absolument tous les aspects de cette question de sorte que rien ne reste en suspend. Entre le XIIIe et le XVe siècle, le miroir se répand en Europe et entraîne la naissance de l'autoportrait dans le domaine de la peinture. Après les Italiens Masaccio et Botticelli, et comme l'Allemand

toile, pinceau en main => Il se représente au sein de son œuvre pourtant destinée à la cour (il est p peintre du roi), il est même plus visible que le couple royal ! Mélanges des genres (Autoportrait / commande privée plus officielle). - Dans le miroir on distingue le vague reflet du Roi Philippe IV et de la Reine Marianne d’Autriche. (Voir œuvre Vélasquez Portrait de la reine Marianne d’Autriche 1652, Museo del prado, Madrid). => ils apparaissent indirectement, le couple royal est mis en retrait

organisé autour de la serveuse. Le personnage s’aligne sur une ligne verticale qui partage l’image en deux. Mais ce partage n’est pas symétrique à cause des reflets du miroir situé derrière la serveuse. A gauche de cette ligne centrale on a une vue assez large de la salle et des clients ; la partie droite du tableau est remplie grâce au miroir. Les lignes horizontales (le balcon ; le marbre du bar,…), souvent parallèles, donnent une impression de stabilité, d’équilibre. Les lignes verticales, représentées

des lèvres. Je poussai tout le monde essayant de m’esquiver sous les rires étouffés de mes camarades. J’ouvris la porte des toilettes en la poussant violemment et me précipitai sur un lavabo afin de m’asperger d’eau fraiche. Je me regardai dans le miroir salie par les éclaboussures d’eau et aperçu un visage blanc aux traits tirés dans son reflet. Je passai une main sur mon visage et me redressai. Je restai un moment appuyé, les mains posées sur la faïence, puis je quittai les toilettes afin de me

plus célèbre cancérologue de l’Ile-de-France, pour le verdict final. Il ouvrit son armoire et prit les premiers vêtements qui lui tombèrent sous la main puis s’habilla prestement. Il se lava ensuite la figure à grande eau et fixa son reflet dans le miroir. Cela se voyait, qu’il avait mal dormi, ses yeux bouffis ne demandaient qu’à en témoigner. Il avait le regard vitreux et une barbe de deux jours, ses cheveux décoiffés allaient dans tous les sens. Il s’était assez négligé ces derniers temps. Une vague