Miroir

plus grands artistes de l’histoire espagnole. Il peint de nombreuse fois la famille royale espagnole et de grands personnages européens. Il était un peintre faisant parti du siècle d’or espagnol. En 1650, il réalisa « Le pape Léon V », « Vénus au miroir »… En 1620 « Le christ dans la maison Marthe et Marie »… 3. Oui, il y a un titre : « Les ménines » ou « La famille de Philippe IV ». En Espagnol, les ménines se dit « las meninas » qui signifie « les demoiselles d’honneur ». Le titre « La famille

se retrouver dans les écrits du romancier, mais l’identification n’est jamais totale . Cependant, le romancier nous conduit à réfléchir sur la société, et son regard n’est jamais neutre. D’ailleurs Stendhal l’a dit lui-même « un roman , c’est un miroir qu’on promène au bord de la route » et Gustave Flaubert le montre bien dans Madame Bovary avec en premier temps , Emma qui ne se satisfait plus de son mari , et va voir un autre ce qui est courant dans la vie d’aujourd’hui Flaubert le fait ressortir

victimes. C’est cette inaction qui empoisonne les relations entre les personnages. Si l’humain n’existe que par ces choix, alors l’impossibilité d’agir provoque le doute existentiel d’où la constante volonté des personnages de se voir dans un miroir. Le miroir est le reflet et donc la preuve de leurs existences. . Le vase semble représenté une quête. Cette quête est entreprise par Inès et Garcin. Le personnage d’Estelle, ne semble pas vouloir atteindre cette quête. Le vide l’effraye. On peut trouver

d’objets symbolique de la chrétienté. Dans le miroir (au 1er plan) on voit un personnage devant la fenêtre. C’est un procédé (souvent utiliser par des flamand) qui permet de crée un lien avec l’espace extérieur de la toile. La porte, sur la droite du tableau, est entrouverte et on voit a travers un vieillard et un jeune homme qui discute. La carafe sur l’étagère renvoi une lumière terrestre par le reflet de la fenêtre. Ces trois dernier éléments, le miroir, la port et la carafe, nous montre se que

Figures I, « complexe de Narcisse » , Genette GérardBaroque Ce chapitre sur le thëme de Narcisse dans la poètique baroque contient deux motifs principaux : l’un ètant la fuite, le second ètant le reflet. Contrairement à un miroir, le reflet dans l'eau est instable et peu rassurant, puisque l’image du reflet est en fuite. Le support de l’eau est propre à l’èvanouissement, narcisse est soumis à l’inquiètude et au danger. Comme il est dit dans le chapitre prècèdent, le reflet peut être le double

Lecture analytique Baudelaire «L'invitation au voyage», 1857. Plan détaillé I- La description d’un monde de perfection A – L'énumération d'un décor riche Meubles luisant / Riches Plafonds / Miroir Profonds / L'ambre. Ceci est une description complète énumérant les différents composant du lieu idéal dans lequel Baudelaire souhaite nous conduire B – La beauté des lieux «Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté». C'est deux vers décrit bien comment Baudelaire

mortelle de l’homme en représentant un crâne, symbole de vanité. Cette œuvre fait partie du style fantastique. Description : Cette peinture est constituée de deux « plans » : Premier « plan » : une femme se regarde dans un miroir. Second « plan » : le miroir, la coiffure de la femme et son reflet dessinent un crâne. Cette œuvre a pour sujet : le temps qui passe, la mort et la vanité. La lumière vient de la fenêtre qui est supposée être sur le côté droit du tableau. Elle semble naturelle

lorsque Betty ait retrouvée ses esprits, nous nous habillâmes et nous maquillâmes. Mais au moment où je dépose le masque sur le visage de Betty, un coup de tonnerre effrayant retentit, puis un second lorsqu’elle me met le mien. Je me regarde dans le miroir mais les yeux qui me fixent ne sont pas les miens. Ils sont aussi noirs que las plumes d’un corbeau. La terreur m’envahit. «_Betty, regarde-moi, tu ne remarques rien ? _Non pourquoi ? Je devrais ? » Alors je me mis à penser que ce n’était que

montrent des situations concrètes et familières, qui sont proches du lecteur et ancrées dans la réalité sociale. Le réalisme aboutit, dans les années 1880 à la création du naturalisme (Emile Zola).  L’histoire du mouvement : Le roman est le miroir de la société : Dans la première moitié du XIX siècle, Stendhal et Balzac ont une ambition commune, faire de la littérature le reflet de la réalité en dressant le tableau de la société dans son ensemble et en prenant en compte les différents milieux

matin , j’avais de grosses cernes sous les yeux et cette boule dans la gorge ne me quittait pas . Comme tous les matins je mangeai puis allai dans la salle de bains faire ma toilette sauf que la , a cet instant precis ou je m’examinais devant le miroir ,mon sang se glaça je ne pouvai plus bouger ; la devant moi le sourire de la vengeance aux lèvres : Ana .