Mise En Evidence De L Arn Messager De P53

Manipulations de biologie moléculaire : mise en évidence de l’ARN messager de P53 (protéine « suppresseur » de tumeur) dans une lignée cancéreuse érythroleucémique humaine (HEL) Sommaire INTRODUCTION 1 Présentation de la protéine P53 2 Culture cellulaire 3 Extraction et dosage des ARN totaux 4.1 Principe 4.2 Protocole expérimental 4.3.1 Extraction (à partir du kit RNeasy Mini Kit, QIAGEN) 4.3.2 Dosage 4.3 Interprétation des résultats

Variabilité génétique et mutation de l'ADN Quels sont les mécanismes à l'origine des mutation et les conséquences ? I/ L'origine des mutations •Comment repérer des mutations dans une séquence d'ADN ? Activité : Exploiter un logiciel pour mettre en évidence une mutation. ○La séquence de référence : Bétacod ( au 52ème nucléotide on observe de l'adémine ) ○Sur la séquence Tha1Cod on note une thymine au 52ème nucléotide Cela est nommé mutation et dans ce cas précis, Substitution. Il existe également

Problème 1 : La découverte du messager Capacités 1- Analysez les documents 1 à 3 afin de démontrer la nécessité d’un messager lors de la synthèse des protéines. Quel est la nature chimique de ce messager ? Extraire, recenser, organiser des informations 2- Schématisez les étapes se produisant dans la cellule afin de décrire le trajet de l’intermédiaire au sein de la cellule. Réaliser un schéma Problème 2 : Quelle est la structure et la fonction du messager ? 3- Comparez les molécules

régulation 3 Les petits ARN II Régulation transcriptionnelle 1 Généralités 2 Chez les Procaryotes 3 Chez les Eucaryotes REGULATION DE L’EXPRESSION GENIQUE III Régulation post-transcriptionnelle 1 Généralités 2 Chez les Procaryotes: régulation de la traduction 3 Chez les Eucaryotes: - Maturation et épissage des ARNm chez les Eucaryotes (épissage alternatif) - L’édition des ARN: une autre manière de modifier la séquence d’un ARNm - Transport de l’ARNm - Stabilité du messager - La mise en silence des

alternative d’histone semble être liée à la différenciation cellulaire, mais la nature de cette relation est inconnue. B. Les nucléosomes: premier niveau d’organisation de la chromatine Le premier niveau d’organisation de la chromatine a été mis en évidence par Roger Kornberg en 1974 par un faisceau de preuves: 1. La chromatine contient un nombre à peu près égal de molécules d’histones H2A, H2B, H3 et H4, et moins de la moitié de ce nombre sont des molécules d’histones H1. 2. Les études de diffraction

le nom de code génétique. Toute la chromatine n’est pas informationnelle ; chez l’homme, moins de 10% du génome sont informationnels. Il s’agit des exons des gènes codant les protéines, des gènes ribosomaux, les gènes des tARN et d’autres petits ARN. Les cellules somatiques sont diploïdes : chaque individu est produit par la fusion de deux gamètes, l’un mâle et l’autre femelle. Chacun de ces gamètes transmet la même information génétique (à l’exception des chromosomes sexuels) ; si bien que

.................... Sexualité et procréation ........................................................................... Variation génétique et santé ................................................................. La vision : de la lumière au message nerveux ............................... Cerveau et vision .......................................................................................... 162 171 186 201 216 © Bordas /SEJER, Paris, 2011 ISBN 978-2-04-732841-5 « Toute représentation ou

Université Pierre et Marie Curie Virologie Niveau DCEM1 2006 - 2007 Jean-Marie Huraux Avec la participation de Henri Agut, Anne-Marie Fillet Vincent Calvez, Vincent Thibault, Agnès Gautheret-Dejean Anne-Geneviève Marcelin, Claire Deback Mise à jour : 5 février 2008 2/307 Virologie - Jean-Marie Huraux 2006 - 2007 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Introduction 1 2 3 3.1 3.2 3.3 4 11 13 14 15 16 24 25 29 Introduction générale et buts de l’enseignement

30 Fiche 31 Fiche 32 Fiche 33 plans d’OrganisatiOn et classificatiOn des êtres vivants Les plans d’organisation des animaux Les Protozoaires Métazoaires Parazoaires : les Porifères Eumétazoaires diploblastiques : les Cnidaires Modalités de la mise en place du mésoderme Du mésoderme au cœlome La cavité palléale des Mollusques La métamérie Symétries et polarités chez les Eumétazoaires Les grandes étapes de l’évolution Les principes de classification des espèces 55 56 58 60 62 64 66 68 70 72

1980 le génome du virus a été séquencé18 et les premiers vaccins ont été expérimentés19. Le virus n'a été découvert qu'en 1963, quand Baruch Blumberg, un généticien travaillant alors au National Institutes of Health (NIH) aux États-Unis, a mis en évidence une réaction inhabituelle entre lesérum d’individus polytransfusés et celui d’un aborigène australien. Il pensa avoir découvert une nouvelle lipoprotéine dans la population autochtone qu’il désigna sous le nom d’antigène « Australia ».(connu plus