Misère

La misère de Victor Hugo Introduction : Dans son discours sur la misère, Victor Hugo poète et politicien engagé du 19ème siècle, fait un état des lieux alarmant sur la misère en France devantl’ Assemblée Législative. Comment tente-il de convaincre son auditoire ? Nous verrons dans un premier temps le discours engagé, puis le constat alarmant et pour finir que son discours est au service del’action. I. Un discours argumentatif engagé A. marques d’oralités au service de l’argumentation

penser que le désir est donc responsable de la misère humaine. Mais nos désirs ne nous permettraient-ils pas de nous détourner d'une plus grande misère qu'ils engendrent eux-mêmes ? Une misère telle que l'ennui mortel ? Il ne sont peut être que le seul moyen pour échapper à notre terrible condition qui ne cesse de nous rappeler notre vulnérabilité et la finitude de notre existence . Tout d'abord nous montrerons en quoi le désir est la source de notre misère et en second lieu en quoi il en est le signe

peut détruire la misère. Remarquez-le bien, messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! Oui, cela est possible ! Les législateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n’est pas fait, le devoir n’est pas rempli. La misère, messieurs, j’aborde

Discours sur la Misère – V. Hugo Comment tente-t-il de convaincre son auditoire ? I- Un discours argumentatif engagé 1) Marques d'oralité au service de l'argumentation - Jeu de pronoms je/vous « messieurs » - Didascalies montrant l'impact de son argumentation - Expression « Eh bien » → Discours 2) Une thèse défendue - Lutte contre le misère : Champ lexical de la souffrance « maladie;le mal;plaies;malheureux;mort;crimes » 3) Un discours contre les députés Anaphore : « Vous n'avez

Objet d’étude 1 : L’argumentation du classicisme aux Lumières V.Hugo, « Discours sur la misère », 1849 p.147 1. Recherches sur l’auteur, ses œuvres, le contexte d’écriture (sous forme de notes pour l’oral) (1802 à Besançon -1885 à Paris) régime politique : troisième république 1816 : à 14 ans il était passionné de lettre et écrit :  «  Je veux être chateaubriand ou rien » devient poète, journaliste, peintre, dramaturge, prosateur romantique,

Le désir est-il la marque de la misère de l’Homme ? Tous les philosophes s’accordent à dire que l’Homme est un être de désir. Ce dernier est défini comme manque et incomplétude, comme une « tendance spontanée et consciente vers une fin connue ou imaginée », dixit Lalande. Ainsi, le désir est la force qui fait qu’un être peut se diriger vers un objet ou, généralement, faire un effort pour atteindre un but. Mais la souffrance, représentative de la misère de l’Homme semble être dans beaucoup de

aussi contre la misère et aider les plus démunis, comme on peut le constater avec les « Misérables », il n'hésite en aucun cas à défendre leur cause devant l'Assemblée, comme lors de ce discours prononcé le 30 juin 1849. Nous allons voir en quoi ce discours est efficace pour témoigner son indignation contre la misère à travers plusieurs axes. Tout d'abord en démontrant que ce discours est une discours argumentatif engagé et par la suite comment il dresse un constat de la misère et montre son indignation

,Misère d’hier et d’aujourd’hui Les documents proposés sont des textes extraits d’œuvres appartenant à divers genres littéraires. Il s’agit de « Les Caractères » ; « De l’esprit » ; « Petits poèmes en prose » et « La Sauvage », respectivement écrits par Jean de La Bruyère, Claude-Adrien Helvétius, Charles Baudelaire et Jean Anouilh entre 1688 et 1938. Ces textes ont pour thème commun la misère. Dans cette réponse synthétique, nous analyserons la structure argumentative de chaque extrait, afin de

marque de la misère humaine ? Le philosophe Pascal définit l'homme comme étant une créature paradoxale. Celle-ci n'est qu'un être de chair, éphémère, mais qui à la capacité d'avoir conscience de cette situation. Il pense." L'homme n'est qu'un roseau, dira Pascal, le plus faible des roseaux… mais c'est un roseau pensant. " Prendre conscience de sa propre misère ne manque pas d'une certaine grandeur. On peut alors se demander si le fait d'éprouver des désirs est-il la marque de la misère humaine ?

avec naturel et |L’homme n’est grand que par la conscience de sa |Le héros absurde est celui qui prend conscience|L’espèce humaine est unique et inchangeable : | | |sincérité, j’étudie l’Homme tout entier, dans |misère. C’est sa pensée qui fait sa condition |de l’absurdité et du tragique de sa condition, |« Il n’y a pas des espèces humaines, il y a une| | |ses défauts comme dans ses qualités. |d’homme.