Misère

pascalien est beaucoup plus négatif, Pascal semble réfuter la notion de Montaigne et explique dans la partie des Pensées qui s’intitule « Misère de l’homme sans Dieu » que le divertissement est le moyen qui nous détourne de nous-même, qui nous empêche de regarder la réalité en face. Dans le fragment 168-134, il nous dit : « les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n’y point penser ». Pascal désigne par divertissement toutes les activités

n’est donc rien d’autre que la misère qui sévit à Afrika-Ba’a et qui n’épargne pas Kambara le héros du récit et sa famille. En guise d’exemple, nous proposons quelques extraits de l’œuvre pour illustrer cette situation initiale marquée par la misère. En effet, l’absence du bonheur « les filles ne dansaient plus » P9 ainsi que la détérioration du village: « Afrika-Ba’a ne sentait pas le dépérissement, il avait dépérit » P11 ; Constituent un exemple patent de la misère à Afrika ba’a. Cependant force

personnage et une foule en délire ; le saltimbanque est triste au milieu de la fête et surtout il apparait affligé d'une misère extrême dans un environnement d'une richesse exubérante mais peut-être illusoire. Feuille 1 : Axe 1 : la solitude au milieu de la foule - Des indices topographiques : extrême bout, exilé ==> idée d'exclusion - Partout =/= ici - A quelques pas de sa répulsive misère : barrière entre l'avant et l'arrière de la scène - Les uns, les autres =/= UN vieux saltimbanque - Toutes les

précipitent au service du monarque de droit divin, un seul d'entre eux se lève pour affirmer son soutien au surintendant déchu : le poète Jean de La Fontaine. Colbert se jure alors de faire plier le rebelle qui place l'art au-dessus du roi. Même dans la misère, La Fontaine ne renoncera jamais à ses convictions. Il résiste, s'amuse, observe, écrit les fables, pamphlets assassins contre un régime despotique en pleine décadence.  Fouquet, le puissant conseiller du roi, est arrêté sur ordre de Jean-Baptiste

Commentaire de texte, Victor Hugo, Discours à l'Assemblée. Nous avons ici, un court extrait du Discours sur la misère de Victor Hugo, Discours à l'assemblée, œuvre qui ne s'inscrit dans aucun registre romanesque ou poétique de Victor Hugo mais qui fait partie de sa période politique car, à partir de 1848, Victor Hugo fut très engagé politiquement en tant que député et grand défenseur du peuple. Victor était avant tout un poète, un dramaturge et un prosateur romantique appartenant au XIXème

courtisans viciés, hypocrites et corrompus. Il s'attaque aussi personnellement aux rois Charles IX et Henri III, analysant minutieusement leurs vices et leurs défauts. [...] Pour cela, il cherche des causes des malheurs de la France ( évoqués dans Misères et s’attaque à une royauté viciée et incapable de prendre la situation en main, aussi bien les Rois que leur Cour, dont le caractère principal est la superficialité et la futilité, dont le but unique est de se faire bien voir du roi. Le poète révèle

primordial joué par l’école ; une échappatoire à sa vie de famille terne et morose. Nous nous demanderons en quoi l’école l’initiatrice d’un nouveau départ ? En premier lieu nous considérerons L’école de la vie, en second lieu nous nous pencherons sur une misère ancrée. I. L’école de la vie a. Une soif d’apprendre et de découvrir • Champ lexical du plaisir : « joies » l.2, « aimaient » l. 2, « si passionnément » l.2 : Plaisir de découvrir de nouvelles choses. Un nouvel éveil. Plaisirs simples

DISCOURS A LASSEMBLEE VICTOR HUGO Nous avons ici, l’extrait du Discours sur la misère de Victor Hugo, Discours à l'assemblée, œuvre qui ne s'inscrit dans aucun registre romanesque ou poétique de Victor Hugo mais qui fait partie de sa période politique car, à partir de 1848, Victor Hugo fut très engagé politiquement en tant que député et grand défenseur du peuple. Victor Hugo étant avant tout un poète, un dramaturge et un prosateur romantique appartenant au XIXème siècle

animaux exploité par l’homme (Jones) se réunissent, l’un d’entre eux Sage l’ Ancien prononce un discours. I- Dénonciation des conditions de vie des animaux, exploitation des animaux par les hommes Une vie de labeur, une vie de misère, une vie trop brève 1)Misère -réalité de la vie des animaux : cf survivre/ maintient en vie = (différent de vivre) Stricte rations / tout juste / maigre pitance = insistance sur la faible quantité Les animaux n’ont que le minimum vital -ce que pourrait

inassouvible. Cet inassouvissement du désir a souvent valu au désir les plus vives critiques notamment du point de vue de la condition humaine. Et en effet, ces critiques notamment se sont faites au nom de la misère dans laquelle il plongeait l’homme. Le désir serait ici, le signe (la marque) de la misère de l’homme. Cependant, le désir exprime un rapport au manque, mais aussi une création authentique. Le désir est ce mouvement qui me porte vers un objet que j’imagine source de satisfaction ou pouvant constituer