Misère

lecteur l'illusion de voir réellement la scène. Il utilise donc : - gradation dans la déchéance : progression des verbes désignant le cheminement vers la misère absolue : " elle dégringolait plus bas ", " acceptait les dernières avanies ", " mourait un peu de faim ", " elle claquait du bec ", " elle creva d'avachissement " - vocabulaire de la misère : Gervaise connait la faim (" mourait un peu de faim ", " le ventre vide "), le froid (" elle claquait du bec ", " les os glacés "), l'expulsion (" M

Gervaise que ce soit son ascension ou sa déchéance. Tout ce passage est à l’imparfait comme pour bien nous marteler et nous faire comprendre ce qu’est la misère. Zola nous fait prendre conscience par sa narration et ses descriptions de la misère du peuple et veut nous la faire vivre de l’intérieur comme si nous y étions. D’ailleurs, ce thème de la misère est développé en s’appuyant sur la faim, le froid et le paiement du terme. En ce qui concerne la faim, l’auteur met en opposition cette situation actuelle

légendes évoquent la métamorphose de mendiants en dieux quand les hommes leur ont été charitables, et lorsque V. Hugo s'écrie « le sublime est en bas », il rejoint toute une tradition antique et biblique qui voit dans la misère un signe divin. Comment Hugo introduit le thème de la misère dans son poème ? Pour répondre à cette question, nous verrons qu'après nous présenter une scène réel qui Hugo nous donne son propre regard en transformant ce réel.. La scène se passe en décembre, ce qui aggrave

s’articulent-elles ? Nous démontrerons d’abord dans l’arrière plan de l’histoire, la description réaliste de la misère et de l’asservissement en utilisant le fait que le texte soit une autobiographie de l’auteur et en citant les méthodes utilisées par l’auteur rendant son récit réaliste. Nous poursuivront en présentant les conditions difficiles des paysans avec un champ lexical de la misère très présent mais aussi avec le complément circonstanciel de temps : des millénaires. Puis nous nous appuierons

Fiche texte 2 Bac de Français Victor Hugo, Actes et Paroles, 1875 «  Discours sur la misère ». | | |En voici d'autres : Ces jours derniers, un homme, mon Dieu, un malheureux homme de lettres, car la misère n'épargne pas plus les professions | |libérales que les professions manuelles, un malheureux homme est mort de faim, mort de faim à la lettre,

lecteur l'illusion de voir réellement la scène. Il utilise donc : - gradation dans la déchéance : progression des verbes désignant le cheminement vers la misère absolue : " elle dégringolait plus bas ", " acceptait les dernières avanies ", " mourait un peu de faim ", " elle claquait du bec ", " elle creva d'avachissement " - vocabulaire de la misère : Gervaise connait la faim (" mourait un peu de faim ", " le ventre vide "), le froid (" elle claquait du bec ", " les os glacés "), l'expulsion (" M.

travail. Coupeau ne travaille pas régulièrement. Ils ont quand même fêté la communion de Nana. Le passage résume les deux années qui suivent en évoquant la dureté des hivers pour les pauvres.   I. L’évocation de la misère et la critique sociale.   A.      Les aspects de la misère : -          la faim : 4-7 avec trois expressions populaires pour l’évoquer de façon imagée. Le narrateur emprunte le langage de ses personnages pour mieux faire partager leur point de vue. Caractère imagé, un peu moqueur

textes qui proviennent tous les trois du même auteur? Tout d’abord, ce corpusdénonce la situation et la misère de la femme dans la société, et sa prostitution au XIXe siècle. Pour exprimer cela, Hugo a utilisé un registre pathétique, d’où un champs lexical de la misère et de lasouffrance dans Les Contemplations « Pas d’argent ; pas de pain » (v 7), « cœur qui se déchire » (v11), « la misère » (v 32), « deuils et pleurs éternels! » (v 41).. Et une référence à laprostitution par un parallélisme «

même point de vue qui est la misère de l'homme . Le texte de Bruyère est polimique . Il compare les hommes a des animaux , il nous montre la fervitude imposé par certains . Le texte de Diderot et d'Alembert est didactique . Ils décrivent le mot ' misérable ' comme dans un dictionnaire , en donnant des exemples , des synonymes , comme pour rappellé au autre la signification de ce mot . Victor Hugo , a écrit un discours , c'est un texte auratoire . Il décrie la vraie misère des hommes , ce qu'il a vue

argumentatif de Victor Hugo datant du XIXème siècle a pour principal registre un registre polémique. Il est marqué par un lexique dévalorisant exprimant la misère comme «  pleines de miasmes stagnants » (l.8), «  les chassis pourris » (l.12), « population maladive et étiolée » (l.14), « haillons » (l.17). Par ces mots l'auteur dénonce directement la misère présente dans les caves de Lille. De plus, on remarque qu'il utilise le registre lyrique pour accentuer l'utilisation partielle du registre pathétique