Misogynie

1 SESSION 2022 UE122 - ANGLAIS DES AFFAIRES DEVOIR DE SYNTHÈSE DEVOIR DE SYNTHÈSE Abonnez-vous à DeepL Pro pour traduire des fichiers plus volumineux. Visitez www.DeepL.com/propour en savoir plus. https://www.deepl.com/pro?cta=edit-document&pdf=12 3 Le sujet comporte : pages3 ISi Aucun document ni aucun matériel n'est autorisé. En conséquence, tout usage d'une calculatrice est INTERDIT. ISi II vous est demandé de vérifier que le sujet est complet des sa mise a votre disposition.

protagonistes: le premier nommé Renart et le second Ysengrin. Au commencement Adam a crée les animaux utiles (ligne 15-18) et Ève les animaux malfaisants (ligne 19-22) et naturellement Renart est né d’Ève, ce qui est en concordance avec les lois de la misogynie médiévale. Ainsi notre héros (ligne 29-34) Goupil (du latin Vulpes) le Renart prénommé par le poète, incarne la ruse, la malice, la débauche, l’hypocrisie, la débrouillardise, la perspicacité, l’escroquerie, le sadisme et le triomphe de l’intelligence

l’avenir, mais pour le présent7. Olympe de Gouges aspire à une révolution dans une révolution : les hommes sont libérés de la tyrannie, c’est maintenant au tour des femmes8. Gradation « l’ignorance, l’oubli ou le mépris », jugement de la société : la misogynie est la maladie qui affecte tout le corps social.9. Hyperbole : « le mépris des droits de la femme, sont les seules causes des malheurs publics », l’ajout de « la femme » change le sens10. Locutions conjonctives « afin que », « Considérant que » :

avec le diable « Les tentations ou Éros, Plutus et la Gloire » (21) : il aperçoit en rêve deux diables et une diablesse qui lui proposent des dons extraordinaires ; son refus difficile Déception devant la différence ou la froideur de la femme/Misogynie « La corde » (30) : un enfant qu’il accueille chez lui se pend ; tout le « Les bons chiens » (50) : le poète veut chanter l’éloge du « chien crotté, [du] chien pauvre » ; on devine qu’il s’agit de certains humains « Le joueur généreux » (29) :

avec le diable « Les tentations ou Éros, Plutus et la Gloire » (21) : il aperçoit en rêve deux diables et une diablesse qui lui proposent des dons extraordinaires ; son refus difficile Déception devant la différence ou la froideur de la femme/Misogynie « La corde » (30) : un enfant qu’il accueille chez lui se pend ; tout le « Les bons chiens » (50) : le poète veut chanter l’éloge du « chien crotté, [du] chien pauvre » ; on devine qu’il s’agit de certains humains « Le joueur généreux » (29) :

contraire, mis en page tel un article de presse. On retrouve le titre accrocheur mis en avant par une police différente et une organisation des 12 paragraphes en colonnes divisés par 4 intertitres : « Banalisation de Zemmour, banalisation de la misogynie », « tapis rouge aux agresseurs », « les néo-féministes sont-elles trop loin ? » et « militantes féministes discréditées, pluralisme ? » pour structurer l’article. Il y a des citations mises en lumière comme notamment le propos d’Éric Zemmour «

film sur ses épaules, il ne parvient pas à faire oublier le principe un peu facile sur lequel il est construit : un défaut cache toujours une qualité. Il y a des brutes au grand cœur, Tom est attachant malgré ce qu’il a d’agaçant, de repoussant (sa misogynie, son boulot dégueulasse). Parce qu’il a de la gouaille. Mais là encore, anicroche : Audiard cherche à faire dire de manière naturelle des dialogues très écrits – truffés de vannes et de messages fiers d’avoir tout compris à la vie, genre « tout père

opprimée par et dans un espace masculin, dans une société ou l’amour et l’affection maternel sont exclusivement réservés aux garçons ; une réalité présente dans la société maghrébine.La narratrice ouvre ses yeux dans une société caractérisée par la misogynie, qui est concrétisé par les parents et surtout les mères. Une différence s’établit entre les garçons et les filles. S’en suive un comportement familial discriminatoire et injuste. Le constat de cette différenciation, chez la narratrice, débute avec

et les autres personnages). Initiateur de cette sortie en mer et plus tard nous découvrirons que c’est son passe temps favoris. Il fait des reproches aux femmes qui se sont levées trop tard « les femmes vous font embarquer toujours trop tard ». Misogynie du personnage « on devrait pécher qu’entre hommes » Préférence pour le poisson « je ne pense qu’aux poissons ». L’attrait pour la pêche est mis en valeur par le regard subjectif de M. Roland « le flot d’argent des bêtes » & « saines puanteurs »

putain et ce n’est pas pour rien, chaque fois qu’un client me nomme, c’est elle qu’il rappelle d’entre les mortes.” Elle le dit elle-même, elle est misogyne : ”C’est vrai, je suis la preuve que la misogynie n’est pas qu’une affaire d’homme.” ​Elle classe les femmes en deux catégories, les larves qui font référence à sa mère : des femmes qui ont arrêté de faire des efforts pour séduire et les schtroumpfettes qui font référence