Missile balistique

stratégie anti-forces ( c’est à dire tournée contre les objectifs militaires ) ; cette politique proposée à l’OTAN dès 1962 est adoptée en 1967. ⇨ Cependant, les USA étant convaincus d’être en retard sur l’URSS en matière d’engins balistiques, Kennedy ▪ augmente le budget de la Défense pour accroître l’équipement nucléaire et conventionnel des USA ▪ lance le programme « Apollo » pour dépasser les Russes dans la course à l’espace et envoyer deux américains

jeune président élu des États-Unis. Entamé par le discours sur la Nouvelle Frontière, son mandat est marqué sur le plan international par le débarquement de la baie des Cochons (1961), la crise des missiles de Cuba (1962), la création des Corps de la Paix et le doublement du nombre de missiles balistiques intercontinentaux polaris. Sur le plan intérieur, il lance le programme Apollo et entame le processus d'abolition législative de la ségrégation raciale dans les états du Sud qui se heurte à l'opposition

Carte des zones de sécurité commune à Bagdag en aout 2007. Pendant les guerres du Golfe (Guerre Iran-Irak, guerre du Koweït, guerre en Irak) et la période d'embargo, elle a subi plusieurs séries de bombardements à partir de 1985 par des missiles balistiques iraniens [10] puis des raids aériens en 1991 et en avril 2003 (doublés de bombardements d'artillerie en 2003) qui l'ont partiellement détruite. Bagdad s'agrandit par le flot de personnes déplacées venues des zones de combat, principalement

"compagnon de voyage" en russe, mesurait 58 centimètres et pesait 83,6 kg. Il est mis en orbite autour de la Terre à une altitude de 900 km par la fusée soviétique R-7. Il est construit par l’ingénieur Sergueï Korolev qui oeuvre à la conception d’un missile balistique intercontinental. En pleine guerre froide, cet évènement constitue un affront pour les Etats-Unis. Le lancement du petit satellite Spoutnik 1 provoque "la course aux étoiles" entre les deux puissances mondiales. Spoutnik 1 se désintégrera en

❖ L’Amérique, vainqueur de la guerre froide : Pour les USA, la guerre contre l’Irak symbolise la guerre qui n’a pas eu lieu contre l’URSS. L’Irak représente l’URSS, car les USA vont utiliser du matériel conçu pour combattre l’URSS (bombardier B2, Missile Tomahawks, hélicoptère Apache) ainsi que sur le plan de la doctrine avec l’application de la doctrine Air Land Battle (Bernard Rogers) qui induit la frappe sur les centres vitaux de l’adversaire pour limiter les pertes américaines et l’utilisation

Angeles . 2) le retour à la course au armements : l’impossibilité de nouvelles négociations : URSS = modernisation de son arsenal en adaptant sa stratégie aux traités = mise au point de nouveaux missiles à têtes multiples = les MIRV. De plus, mise au point d’un missile de portée intermédiaire ( 4000 à 5000 km) qui échappe aux accords SALt = les SS20 = capables d’atteindre l’Europe toute entière De plus, au début des années 80 = supériorité militaire du bloc de l’Est = supériorité

Anglais : Mutual Assured Destruction ) mise au point des MIRV (missiles à têtes multiples)· URSS : système de défense : ABM : missiles anti balistiques · = course surtout qualitativeSALT I : plafond de missiles pour les deux pays URSS : nouveaux bombardiers blackfire ; EU miniaturisent des bombes et mettent au point des missiles de croisière d) La fin du système de Bretton Woods · Bilan Nixon

les Soviétiques vont mettre au point la bombe A (1949). La recherche se poursuit aux USA qui mettent au point la bombe H (thermonucléaire) en 1952, l’année suivante l’URSS en est dotée. Des têtes nucléaires sont désormais capables d’équiper des missiles (c’est-à-dire des fusées) à courte, moyenne et longue portée basés au sol, lancés depuis des sous-marins tapis au fond des mers ou jetés par des bombardiers : la menace nucléaire devient donc gravissime. Les deux Grands se rendent compte qu’ils

importantes sont la construction d’avions de ligne avec sa filiale Airbus, d’hélicoptères et d’avions militaires. À travers la participation à diverses entreprises, le groupe est engagé dans les lanceurs spatiaux, les satellites artificiels, les missiles, les avions de combat. Son président exécutif est Thomas Enders, qui a succédé à Louis Gallois en 2012. Depuis 2013, la majorité du capital du groupe est coté en bourse. Le changement de nom date du 2 janvier 2014 et prend place dans un projet global

gouvernements dont celui de la France, des États-Unis, du Royaume-Uni, d'Allemagne et de Russie, pensent que l'Iran a l'intention cachée de développer et utiliser l'arme nucléaire suite entre autres à son programme en cours de développement de missiles balistiques. La question est pendante devant le Conseil de sécurité des Nations unies. Le président Mahmoud Ahmadinejad, a rejeté catégoriquement, dans ce discours, prononcé le 8 juin 2006 dans la ville de Qazvin dans le nord-ouest du pays, et diffusé