Missionnaires de la Charité

MERE TERESA et LES MISSIONNAIRES DE LA CHARITE « Peut-être que ce que nous faisons est à peine une goutte d’eau dans l’océan, mais si nous ne le faisons pas, notre goutte manquerait à l’océan ». « Les pauvres n’ont pas besoin de pitié ? Ils ont besoin de compréhension, de respect et d’amour. » « Nous ne savons jamais le bien qu’un simple sourire peut faire » « L’amour est un fruit de toutes les saisons, de toutes les époques et à la portée de tous » « La prière me donne la force d’agir

lumière”. “Je ne peux y aller seul.” Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse, les Missionnaires de la Charité, dédiée au service des plus pauvres. En 1948, elle quitte l’ordre des sœurs de Notre-Dame-de-Lorette et entre dans le monde des pauvres en devenant une citoyenne indienne. * Sa fondation Elle se rend à Patna afin d’y recevoir une formation

Exposé Mère Teresa Introduction Son enfance Le début du voyage Naissance de la congrégation des Soeurs Missionnaires de la Charité La reconnaissance La fin de vie de Mère Teresa Conclusion Introduction Le monde entier connaît sa frêle silhouette, drapé d’un sari blanc bordé de bleu. Son visage est marqué de rides aussi profondes que son dévouement aux plus pauvres. Vous l’avez deviné, nous allons vous parler de la vie de Mère Teresa. Son enfance Très peu connaissent le visage de la jeune

1°/ Biographie. 1. Ses débuts. 2. Missionnaire de la charité. 2°/ Ses actes à travers le monde. 1. Sa philosophie de vie. 2. Ses actes non-violents. 3°/ Problèmes de santé. 4°/ Honneurs. 5°/ Son influence sur nous. 6°/ Notre raison de ce choix. 7°/ Lexique. 8°/ Bibliographie. Mère Teresa. 1°/ Biographie. Son vrai nom est : Agnès Gonxha Bojaxhiu. Elle naît à Skopje le 26 août 1910, troisième et dernier enfant de la

"consacré" au Christ par son baptême, cette expression appliquée à la vie religieuse souligne le caractère public d’un engagement plus radical. Elle recouvre traditionnellement les formes de vie suivantes : la vie religieuse apostolique, monastique et missionnaire, les Instituts séculiers, les sociétés de vie apostolique, les ermites, l’Ordre des vierges consacrées et les veuves consacrées. Chacun reçoit de Dieu la mission d'étendre son Royaume. Mais le Concile parle aussi de consécration dans la vie religieuse

entrainer par l’impulsion de la Parole et l’exemple du Christ. En effet, la communion était l’idéal suprême dans l’accomplissement de sa mission (cf. p. ex. Jn 13, 34-35 ; 17, 21-23 ; cf. 11, 52). Les ancêtres dans la foi qui vivaient en « communion missionnaire », réunis en communauté, leur ont également laissé un exemple qu’ils peuvent imiter, dont ils peuvent s’inspirer (cf. Ac 2, 42-47). Le discours sur la communion a fait du chemin depuis le Concile Vatican II. Avant le Concile, la notion de communion

membre de la Congrégation des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie (dite de Picpus), un ordre missionnaire fondé par Pierre Coudrin et Henriette Aymer de la Chevalerie en 1800. Le 4 juin 1995, il est béatifié par le Pape Jean-Paul 2 tandis que le 3 juillet 2008, le Vatican a annoncé que le Père Damien serait canonisé au cours de l'année 2009 par Benoit XVI. Père Damien est connu pour son travail de missionnaire dans le Pacifique auprès des lèpreux placés en quarantaine par les gouvernement locaux

femme accroupie. Aux passants, elle le tend et s’exclame : Charité! Charité! Cette jeune femme, qui est-elle ? C’est Leslie, vingt ans à peine. Fille du capitaine Dubreuil, tué avec sa femme dans une bataille. Orpheline depuis plus de cinq ans. Elle ne peut plus se nourrir ni se vêtir. Sa maigreur et le creux de ses joues en témoignent. Elle se voit condamnée à ce triste sort. À la porte d’entrée du cimetière, elle se tient. « Charité! Charité! » Dit-elle. Elle attend le secours. Du vieux linge lui

profondément ses fonctions premières qui se limitaient à renseigner les têtes dirigeantes jésuites d’Europe sur les progrès en Nouvelle-France et à motiver les autres missions outre-mer de l’ordre. L’ouvrage a donc muté en un outil de propagande missionnaire efficace dans le but de susciter la sympathie du monde catholique, de stimuler la générosité de l’élite aristocratique française, d’augmenter l’envoi de religieux et de soldats dans la colonie ainsi que pour faire taire les ennemis politiques de

l'école et se prénomme désormais mère Teresa Elle est frappée par la misère dans laquelle vivent ses élèves et avec elles, des milliers d’hommes et de femmes jetés à la rue . Son désir d’aimer et de servir les pauvres se développe Remarquée pour sa charité, sa générosité et son courage, sa résistance au travail et douée d’un talent naturel pour l’organisation. En 46, dans le train pour rejoindre la retraite annuelle de sa communauté = révélation « appel de » Jésus pour aider les plus pauvres En