Mitrailleuse

Bretonnes étaient trop éloignées pour un débarquement et les courant des côtes Belges sont trop dangereux. La Normandie est le lieu de débarquement le moins attendu par les Allemand car les côtes de Normandie sont très bien défendues : Barbelés, mitrailleuses et champ de mines y sont placés. Ce dispositif de défence est surnommé Le mur de l'Antlantique. Cette opération fût nommée Overlord. Les Alliés ont réussi à convaincre Hitler que leur débarquement aurait lieu plus au nord. Ils décidèrent de faire

stabilisent, la guerre s'enlise. B - La Guerre de tranchée (1915-1918) Le front de l'ouest va de la Suisse ) la Mer du Nord, les offensives sont des percées, elles échouent les unes après les autres et sont très meurtrières : les canons, les mitrailleuses, les gaz faisant des ravages. La seule bataille de Verdun (1916) a tuée plus de 600 000 soldats. En 1917 de nombreux soldats de toutes les armées se révoltent devant cette "boucherie" : ces mutineries sont impitoyablement réprimandées.  C -

femme qui pleure Le Charnier La Chèvre Jacqueline assise Contexte: Le 26 avril 1937, dans la petite ville basque de Guernica. Durant 3heures 30, l’aviation allemande bombarde et incendie la ville de façon sanguinaire, utilisant des mitrailleuses contre les personnes effrayées qui tentaient de fuir. Le but des nazis était de tester leurs armes, mais en même temps de soutenir Franco en démoralisant une population civile. C’était un acte de répression contre les anti- franquistes. Il y eut

n’avoir pas accès à l’étendue du conflit, aux vérités du champ de bataille dans toute sa complexité. Un gosse de 20 ans qui fait son devoir, pour son pays, face aux nationalistes, aux fascistes, aux nazis. Mais qui n’a pas de caméra couplée à ses mitrailleuses pour tout enregistrer…  » Voilà, tout est dit (page 9). José Falcó a eu une vie particulièrement mouvementée, ponctuée notamment par la Guerre d’Espagne (1936/1939) au cours de laquelle, comme pilote de chasse, il totalise huit victoires aériennes

des ces habitants. Les populations sont contrôlées, on se doute que cela peut se faire brutalement. Les hommes sont emmenés dans des camps et le sort réservé aux jeunes femmes est sans doute terrible (viols ?). Le tout se fait avec des armes (mitrailleuses). Celles-ci ne sont pas que des instruments de menace : le document 2 parle de 200 Belges fusillés pour l’exemple. Le témoin reconnaît implicitement que des innocents sont victimes. Il s’agit donc d’exécutions sommaires. La violence morale est

combattante : A) Pendant la Première guerre mondiale, une violence quotidienne nouvelle et sans trêve Violence des guerres de tranché : Dans les tranchées les soldats sont exposés tous les jours aux éclats d’obus, au gaz aux grenades, aux rafales des mitrailleuses et à la mort de leurs alliés. Quotidiens des poilus effroyable : Ils souffrent du froid, des intempéries, du manque d’hygiènes (rats, poux, boue, sang…) des bombardements et du manque de leurs proches. Innovation technologiques :

plus en plus précises et meurtrières. L'armement des soldats est constitué d'un fusil accompagné d'une baïonnette utilisée pour le combat au corps à corps. Mais les armes les plus dévastatrices sont elles élaborées au cours de la guerre. Comme la mitrailleuse qui tire plusieurs balles à la seconde et qui peut décimer une offensive. L'arme la plus symbolique de la volonté de tuer massivement est le gaz utilisé pour la première fois à Ypres en 1915. Le gaz devait permettre la reprise de la guerre de mouvement

que l’Etat-major britannique était convaincu que les Allemands ne seraient pas en mesure de résister, l’ordre fut donné de marcher au pas afin de ne pas rompre les rangs. Mais l’ennemi était toujours en état de se battre ; ainsi, armant leurs mitrailleuses, les Allemands firent des ravages sur les troupes anglaises. En l’espace de quelques heures, les Britanniques perdirent 60 000 hommes, dont de nombreux officiers (soit 20 000 tués et 40 000 blessés.). Malgré les importantes pertes côté anglais

paysage de boue, de fils de fer barbelés, parsemé de cadavres. Ici, on tue. En longues files, des brancards sont ramenés vers les tranchées. Le commentateur parle du désespoir de ces hommes qu'on a forcés, l'arme au poing, à sortir sous le feu des mitrailleuses ennemies. Et, sur tout cela, comme une chape de plomb, l'absurdité de cette guerre inutile, interminable, qui n'a pas plus de raison de finir qu'elle n'en a eu de commencer. Hubert Reeves, in L'Heure de s'enivrer, Éditions du Seuil, 1992. A. Compétences

barrage1. Puis le jour semble naître d’un coup ; de grandes étoiles blafardes crèvent au-dessus de nous, et, comme à la lueur d’un phare, on voit naître des fantômes, qui galopent entre les croix. Des grenades éclatent, lancées de partout. Une mitrailleuse glisse sous une dalle, comme un serpent et se met à tirer, au tir rapide, fauchant les ruines. - Ils sont dans le chemin, répètent les voix. Et, aplatis contre le talus, des hommes lancent toujours des grenades sans s’arrêter, de l’autre côté du