Mme Bovary Elle Songeait

GÖTEBORGS UNIVERSITET Institutionen för språk och litteraturer Franska EM M A BOV ARY – SUJET OU OBJET? A nalyse de la fé minitédans M adame Bovary Ida Legnemark Kandidatuppsats VT 2012 H andledare: Sonia Lagerw all Table des matières 1. Introduction 1.1 But 1.2 Méthode et structure du présent mémoire 2.1 Études antérieures 4 2 1 2 2. Théorie 4 2.2 Simone de Beauvoir et le féminisme moderne 5 2.3 Kate Millett et la critique littéraire féministe 2.4 Nina Björk et la lectrice

GÖTEBORGS UNIVERSITET Institutionen för språk och litteraturer Franska EM M A BOV ARY – SUJET OU OBJET? A nalyse de la féminitédans M adame Bovary Ida Legnemark Kandidatuppsats VT 2012 H andledare: Sonia Lagerw all Table des matières 1. Introduction 1 1.1 But 1.2 Méthode et structure du présent mémoire 2 2. Théorie 2.1 Études antérieures 2.3 Kate Millett et la critique littéraire féministe 2.4 Nina Björk et la lectrice féminine 6 2.5 Janice Radway et le roman d’amour 7 8 2.6 Notions-clé

passe l’action ? Quels sont les personnages présents ? 2. Délimitez trois parties dans ce chapitre et donnez leur un titre. B – Les descriptions 1. Relevez les éléments descriptifs qui caractérisent la maison de Mme Aubain. Qu’en concluez-vous ? 2. Comment s’appelle la servante de Mme Aubain ? 3. Que signifie le mot « Félicité » ? 4. Complétez le tableau suivant afin de constituer le portrait de Félicité. Portrait physique Portrait psychologique C- Les intentions de Flaubert 1. Que veut

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Madame Bovary’’ (1857) roman de Gustave FLAUBERT (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse de l’œuvre (page 6) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 10) l’intérêt documentaire (page 11) l’intérêt psychologique (page

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Madame Bovary’’ (1857) roman de Gustave FLAUBERT (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse de l’œuvre (page 6) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 10) l’intérêt documentaire (page 11) l’intérêt psychologique (page 14) l’intérêt philosophique (page 19) la destinée de l’œuvre (page 20) le film de Claude Chabrol (page 22) Bonne lecture ! Vers le milieu du XIXe

Flaubert, Madame Bovary, 1856 Œuvre appartenant au courant réaliste qui a parcouru une très grande partie du XIXe siècle en France, depuis les années 1830 : étude d’un milieu social contemporain de l’écriture, souci d’objectivité et de précisions des données reproduites, effort de documentation, utilisation de la description, analyse psychologique des personnages. Résumé PREMIERE PARTIE C H A P I T R E I . Présentation de Charles Bovary. Un garçon d'une quinzaine d'années entre au Collège

 :     Boule  de  Suif,  Maupassant,  «  Le  repas  dans  la  diligence  »   A  Rebours,  JK  Huysmans,  «  Le  repas  noir  »   Salammbô,  Flaubert,  «  Le  festin  barbare  »   Madame  Bovary,  Flaubert  «  Le  dîner  à  la  Vaubyessard  »       Histoire  des  Arts  :     Lecture  d’image  :   Le  repas  de  noce,  Pieter  Bruegel  l’Ancien                POUR

est, de la manière la plus authentique possible. Procédés : référence à des lieux ou personnages réels, description des aspects de la vie généralement masqués par la littérature, travail de documentation, narrateur omniscient. Flaubert : Madame Bovary et L’Education sentimentale ; Balzac : Le Père Goriot et Illusions perdues ; Stendhal : Le Rouge et le Noir et la Chartreuse de Parme. II. Mouvement littéraire et culturel qui succède au réalisme. Veut appliquer la méthode de l’expérimentation scientifique

l’homme et de l’organisation. » (Nouveaux Lundis, 22 Jull. 1862) Si nous partons de ce principe, se pose la question de savoir quelle est la place de la sincérité dans chacun de nos ouvrages. On se souvient de la boutade que l’on prête à Flaubert : « Mme Bovary, c’est moi. », ainsi même si nous sommes dans la fiction, on peut sans doute parler de confession de l’auteur sous couvert d’une histoire fictive. Si l’écrivain se projette dans le personnage narrateur, la sincérité serait à rechercher dans les

souriant, une flamme ardente dans les yeux qu’il attachait sur la jeune fille rougissante, arrêtée au milieu de l’allée. – Une fée de roses, dans cette lumière du soir… Une belle princesse des contes de fées. Il s’inclinait, prenait la main que ne songeait pas à lui tendre Gwennola saisie par une étrange timidité, par un trouble frémissant. © Hatier 2007 15 20 25 30 35 40 45 Delly, Comme un conte de fées, Flammarion, 1935. 1. Quartiers de noblesse : degrés marquant l’ancienneté