Mme Forestier Portrait

de mémoire, le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d'un uniforme de hussard. Il s'écria tout haut: "Tiens, Forestier!" et, allongeant le pas, il alla frapper sur l'épaule du marcheur. L'autre se retourna, le regarda, puis dit: "Qu'est-ce que vous me voulez, monsieur?" Duroy se mit à rire: "Tu ne me reconnais pas? - Non. - Georges Duroy du 6e hussards." Forestier tendit les deux mains: 7 "Ah! mon vieux! comment vas-tu? - Très bien et toi? - Oh! moi, pas trop; figure-toi que j'ai une

homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d'un uniforme de hussard. Il s'écria tout haut : " Tiens, Forestier ! " et, allongeant le pas, il alla frapper sur l'épaule du marcheur. L'autre se retourna, le regarda, puis dit : " Qu'est-ce que vous me voulez, monsieur ? " Duroy se mit à rire : " Tu ne me reconnais pas ? -- Non. -- Georges Duroy du 6e hussards. " Forestier tendit les deux mains : " Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? -- Très bien et toi ? -- Oh ! moi, pas

mémoire, le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : – Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ? Duroy se mit à rire : – Tu ne me reconnais pas ? – Non. – Georges Duroy du sixième hussards. Forestier tendit les deux mains : – Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien, et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

mémoire, le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : "Tiens, Forestier !" et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : "Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ?" Duroy se mit à rire : "Tu ne me reconnais pas ? - Non. - Georges Duroy du 6e hussards." 5 Forestier tendit les deux mains : "Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que

même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : - Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ? Duroy se mit à rire : - Tu ne me reconnais pas ? I 6 Bel-Ami - Non. - Georges Duroy du sixième hussards. Forestier tendit les deux mains : - Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien, et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

mémoire, le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d'un uniforme de hussard. Il s'écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l'épaule du marcheur. L'autre se retourna, le regarda, puis dit : - Qu'est-ce que vous me voulez, monsieur ? Duroy se mit à rire : - Tu ne me reconnais pas ? - Non. - Georges Duroy du sixième hussards. Forestier tendit les deux mains : - Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien, et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : « Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ? » Duroy se mit à rire : « Tu ne me reconnais pas ? – Non. – Georges Duroy du 6e hussards. » -7- Forestier tendit les deux mains : « Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d’un uniforme de hussard. Il s’écria tout haut : « Tiens, Forestier ! » et, allongeant le pas, il alla frapper sur l’épaule du marcheur. L’autre se retourna, le regarda, puis dit : « Qu’est-ce que vous me voulez, monsieur ? » Duroy se mit à rire : « Tu ne me reconnais pas ? – Non. – Georges Duroy du 6e hussards. » Forestier tendit les deux mains : « Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi

mémoire, le même homme lui apparut moins gros, plus jeune, vêtu d'un uniforme de hussard. Il s'écria tout haut: «Tiens, Forestier!» et, allongeant le pas, il alla frapper sur l'épaule du marcheur. L'autre se retourna, le regarda, puis dit: «Qu'est-ce que vous me voulez, monsieur?» Duroy se mit à rire: «Tu ne me reconnais pas? - Non. - Georges Duroy du 6e hussards.» Forestier tendit les deux mains: «Ah! mon vieux! comment vas-tu? - Très bien, et toi? - Oh! moi, pas trop; figure-toi que j'ai une

20ème siècle· L’Huître : 1942, extrait du recueil Le Parti pris des choses (en prose) qui rompt avec poésie lyrique avec « je », sensibilité et émotions au cœur de l’écriture, se concentre sur matérialité du quotidien, objet ou animal familier, portrait d’une huître, transforme le banal et l’ennuyant en or poétiqueProjet de lecture : Quelle vision de l’huître est dégagée par ce poème ? Plan du texte :· 1er mouv : l’extérieur (strophe 1)· 2ème mouv : l’intérieur (strophe 2)Analyse