Mme Forestier Portrait

P PME est beaucoup plus solide, les Etats ont consenti des concessions aux patrons et ont accordé un allégement de la fiscalité, explique Mme Koutcherenko. Nous ne demandons pas grand-chose à notre gouvernement, juste qu’il nous laisse survivre à la crise.” IL FAUT SUSPENDRE LES REMBOURSEMENTS D’EMPRUNTS ▲ Dessin de Kazanevsky, Ukraine. ■ Portrait LE 12 FÉVRIER, 12 000 PETITS PATRONS ONT MANIFESTÉ À KIEV Regina Koutcherenko est l’une d’entre eux. Elle est propriétaire de trois boutiques

classe où l'on s'ennuie, et, dans le silence attentif, demanda: "Qui est−ce qui ira demain en voiture à La Gare avec François, pour chercher M. et Mme Charpentier?" C'étaient mes grands−parents: grand−père Charpentier, l'homme au grand burnous de laine grise, le vieux CHAPITRE III. "Je fréquentais la boutique d'un vannier". 7 Le Grand Meaulnes garde forestier en retraite, avec son bonnet de poil de lapin qu'il appelait son képi... Les petits gamins le connaissaient bien. Les matins, pour se débarbouiller

bourdonnement confus des fins de classe où l’on s’ennuie, et, dans le silence attentif, demanda : « Qui est-ce qui ira demain en voiture à La Gare avec François, pour chercher M. et Mme Charpentier ? » C’étaient mes grands-parents : grand-père Charpentier, l’homme au grand burnous de laine grise, le vieux garde forestier en retraite, avec son bonnet de poil de lapin qu’il appelait son képi… Les petits gamins le connaissaient bien. Les matins, pour se débarbouiller, il tirait un seau d’eau, dans lequel

le bourdonnement confus des fins de classe où l'on s'ennuie, et, dans le silence attentif, demanda: «Qui est-ce qui ira demain en voiture à La Gare avec François, pour chercher M. et Mme Charpentier?» C'étaient mes grands-parents: grand-père Charpentier, l'homme au grand burnous de laine grise, le vieux garde forestier en retraite, avec son bonnet de poil de lapin qu'il appelait son képi... Les petits gamins le connaissaient bien. Les matins, pour se débarbouiller, il tirait-un seau d'eau, dans lequel

bourdonnement confus des fins de classe où l'on s'ennuie, et, dans le silence attentif, demanda : "Qui est-ce qui ira demain en voiture à La Gare avec François, pour chercher M. et Mme Charpentier ?" C'étaient mes grands-parents : grand-père Charpentier, l'homme au grand burnous de laine grise, le vieux garde forestier en retraite, avec son bonnet de poil de lapin qu'il appelait son képi... Les petits gamins le connaissaient bien. Les matins, pour se débarbouiller, il tirait un seau d'eau, dans

demi-sauvage, féroce et une large les amours les dialogues nets et précis, les naïvetés et les ruses de l'homme, Germaine captent, enchaînent dominent l'âme; que les scènes de transition, la ducasse, la chasse nocturne, la la chute de les forestiers, et vente de la vache^ la terrible bataille des Hulotte et des Hayot sont superbes dans dans l'ensemble, et que le détail comme de la fin, les la fatalité péripéties de la rupture, la grande battue finale où le braconnier succombe

qui pousse encore et qui ne sera tout à fait devenue fumier qu’un peu plus tard, à la longue. Bien entraînés au désir par quelques heures à l’Olympia chaque semaine, nous allions en groupe faire une visite ensuite à notre lingère-gantière-libraire Mme Herote, dans l’Impasse des Beresinas, derrière les Folies-Bergère, à présent disparue, où les petits chiens venaient avec leurs petites filles, en laisse, faire leurs besoins. Nous y venions nous, chercher notre bonheur à tâtons, que le monde entier

chaleureusement. En premier lieu, je remercie vivement tout le personnel de la Communauté de Communes Ussel-Meymac-Haute-Corrèze pour son accueil chaleureux, sa disponibilité et son aide en tout domaine, et plus particulièrement mon maître de stage, Mme Isabelle Raynard, ainsi que le directeur de la structure, M. Vincent Séroz. Leur dynamisme et leur grande disponibilité ont été une clef de la réussite de ce stage. Merci également aux deux autres stagiaires qui n’ont fait qu’ajouter en qualité à cette

tous ces noms étant prétextes à des contrepèteries, la burne étant le testicule. - On apprend que la pipe du gardien est «en racine de bruyère de Saint-Claude dans le Jura, au confluent du Tacon et de la Bienne, affluent de l’Ain» (page 199). - Le portrait de Riphinte est fait quand son «visage demeura seul éclairé dans la ténèbre grottesque. L’abbé Riphinte avait des lèvres minces, des sourcils très drus et un front ovin.» (page 206). - Sont ridiculement minutées : - l’attente de Cidrolin : «Il attendit

démons de notre foyer national. Hani Shukrallah Education L’école à l’heure de la révolution Un petit garçon demande à son père ce qu’il adviendra du portrait géant de Hosni Moubarak qui se trouve à l’entrée principale de son école. “On va l’enlever, papa ? On va mettre qui après ?” Le père ne sait pas trop quoi répondre. Le portrait a probablement déjà été arraché par les manifestants, ou bien le directeur de l’école est en train de le décrocher. Le petit garçon n’aura la réponse qu’après