Mobilisation Technologique Seconde Guerre Mondiale

LA GUERRE FROIDE ET LES NOUVELLES CONFLICTUALITÉS I- La guerre froide : * La guerre froide est un double conflit : il s’agit a la fois d’un conflit de puissance mais également un conflit idéologique du a l’implosion du communisme . A- Un conflit de puissance doublé d’un conflit idéologique : * La principale source du conflit est l’opposition entre les deux grands : les États-Unis et l’URSS : une nouvelle sorte de guerre commence , et le siège d’opération de ces deux puissance

Croissance et guerre froide I.Introduction Il s’agit d’un développement économique sans précèdent, plus de 25 pays réalisent un taux de croissance allant de 4 à 5 pourcents. -Rappel cycle de Kondratieff: une crise ramène la croissance. Quelle est la part des Etats Unis? Dans quel contexte? I.La Reconstruction -Bilan humain énorme: 60 millions de mort dont pour la première fois dans une guerre la moitié des civils. -Bilan Moral: extermination des juifs + utilisation arme nucléaire

GRH Partie III : L’impact de NTIC sur la GRH. INTRODUCTION : [...] s’est enrichi de nouveaux rôles : rôle stratégique, partenariat d’affaires et rôle de soutien. Elle facilite l’adoption de nouvelles logiques : personnalisation, adaptation, mobilisation, partage, anticipation. Les technologies de l’information apparaissant alors comme une source potentielle d’avantage compétitif dans la fonction RH. Cependant, comme le souligne la littérature en système d’informations, ces technologies bouleversent

les activités, les constructions, les équipements et les moyens de communication sur l’étendu d’un territoire. L’aménagement est une action volontaire impulsée par les pouvoirs publics (Etat, élus) qui suppose une planification spatiale et une mobilisation des acteurs (population, entreprise, administration, élus locaux). L’aménagement peut se concevoir à des échelles très diverses : d’un territoire d’un pays (l’aménagement du territoire) jusqu’à une ville ou un quartier (l’urbanisme faisant partie

ve la ose ‘Saya er Ete ant gre 107: Eason srbaie ‘Sitters niet devon elt) ve rs eeomstoe ‘ntantans cule pupusa Tonge anton ees ails en Module ILes grandes mutations du Monde de 1913 à nos joursPanorama géopolitique du monde de 1913 à la fin de la guerre froide I.1.1. Géopolitique et relations internationales : une introductionAlexandre Defay : Que sais-je ? « La géopolitique » : la géopolitique a pour but l’études des interactions entre l’espace géographique

1ère SOUS-PARTIE : LA GUERRE FROIDE – 1947-1991 chapitre 1 – 1945-1947 : DE LA GRANDE ALLIANCE A LA GUERRE FROIDE Les vainqueurs de la guerre sont l'URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France libre. Pourtant, tout oppose l'Union soviétique aux trois pays occidentaux. Pour ceux-ci, il s'agit d'une victoire de la liberté contre l'oppression totalitaire ; la démocratie doit s'imposer partout où les nazis ont été chassés. L'Union soviétique, quant à elle, y voit l'occasion d'étendre la

économique, un phénomène vieux comme le monde capitaliste : A – Approche historique de la mondialisation : La mondialisation, ou plutôt l’internationalisation des économies est cosubstantielle au capitalisme depuis ses origines : le marché mondial est l’horizon premier du capitalisme, comme l’avait remarqué Marx. L’historien Fernand Braudel a montré, dans Civilisation matérielle, économie et capitalisme, comment le capitalisme s’est d’abord constitué dans les circuits de l’échange international

ne pouvait pas s’éloigner des côtes. Pour la barque, il y a un gouvernail d’étambot où les efforts sont moins dur et le bateau change de direction plus facilement qu’une galère. Avec les caravelles, on peut affronter la mer. Ces innovations technologiques sont indispensables, elles n’auraient pas été suffisantes s’il n’y avait pas eu l’évolution des mentalités. B-Des mentalités nouvelles : aux origines du capitalisme Les idées d’Aristote sur l’argent sont que l’argent est une chose inerte. On

l'évolution d'une ville sans la comparer aux autres, comme un élément dans un système de villes. Selon la taille des villes, ce système de référence est un territoire plus ou moins vaste, le plus souvent régional ou national, mais parfois continental voire mondial dans le cas des métropoles. La comparaison des villes exige des définitions qui gardent une signification commune dans l'espace et dans le temps. Les plus utilisées se fondent sur l'existence d'un noyau bâti continu (agglomérations morphologiques)

plus divers : chômage, exclusion, grande pauvreté. Nous verrons dans un premier temps qu'au cœur de l'école moderne se trouve les idéaux d'égalité et de méritocratie et que ces principes sont le fondement même de l'école républicaine. Puis, dans un second temps, nous constaterons que les efforts engagés depuis plus de cinquante ans pour instaurer un égal accès aux études n'a pas engendré une égalité des chances réelle. I . L'égalité des chances Un idéal fortement enraciné en France A. La recherche