Modele Lcag Enron

Enron est aujourd’hui, plus qu’une entreprise, le symbole d’un capitalisme ultra-libéral mêlant réussites fulgurantes et scandales financiers. L’entreprise est aujourd’hui pour tous les acteurs économiques et surtout pour les marchés financiers mondiaux un mauvais souvenir à oublier ; sa faillite a en effet fait grand bruit dans le monde de la finance car elle a remis en cause le système capitaliste dans son ensemble ainsi que tous les agissements frauduleux des gestionnaires des grandes entreprises

Le modèle LCAG Enron: Quand la finance pète les plombs I. Analyse de l’environnement 1) Définition de l’industrie Dans les années 80-90, basé sur une idéologie libérale, le marché du gaz puis de l’électricité vont s’ouvrir à la concurrence. Le principal objectif de l’Etat est alors de faire baisser les prix de l’énergie, en faisant jouer la compétitivité des entreprises. Cela a également pour but de garantir un égal accès aux producteurs et acheteurs d’énergie. Ainsi, cette dérégulation

Brown) Du Pont de Nemours ( Pierre Samuel) Ford (Henry) Il répondait à une logique financière avec un cadre d’action restreint : suivi des résultats des actions IFAG SME 2A FINEXPLUS 9 IFAG SME 2A FINEXPLUS 3 10/10/2010 une base: le modèle taylorien 10     Frederick WinslowTaylor : admis à Harvard, il abandonne ses études pour raison de santé, puis entre comme ouvrier à la Midvale Steel (1878) et en gravit rapidement les nombreux échelons publication en 1911 « Principles

le grand retour » de la stratégie en ouverture de la session 2002/2003 de HEC. Qu’en est- il aujourd’hui? Force est de constater que de multiples alternoiements sur les outils, sur les cabinets de conseil, sur leurs échecs supposés (Mc. Kinsey avec Enron, Suissair, K Mart, etc.) remettent parfois en cause la légitimité du « management stratégique », ou à tout le moins, celle de leurs représentants parmi les plus visibles. Simultanément, on peut avec FLAMMANT (2003) (et bien d’autres auteurs), dans

H, physiques, techno, com. et relationnelles). La stratégie est influencée par les attentes des parties prenantes. (Lien réciproque) Δ ! Stratégique ne signifie pas « important ». Le modèle VIP = Valeur Imitation Périmètre (Fréry 2006) Les décisions stratégiques concernent… • Le choix d’un modèle de création de valeur de manière à répondre aux attentes des parties prenantes • La résistance à l’imitation afin d’assurer la pérennité de l’avantage concurrentiel • La définition du périmètre

parties prenantes 1. L’approche par les parties prenantes 2. La gouvernance d’entreprise 14 14 15 18 18 19 II. Le diagnostic stratégique 6. L’analyse du macro-environnement 1. Le modèle pest 2. Les tendances structurelles 7. L’analyse de l’industrie 1. Le modèle des cinq forces 2. Les limites du modèle des cinq forces 8. Les domaines d’activité stratégique 1. Les fondements de la segmentation stratégique 2. Les frontières de la segmentation stratégique 9. La chaîne de valeur

vulgarisation favorisant la diffusion des concepts, mais parfois vision à court terme.  Cette science rassemble des méthodes et des théories parfois regroupées en écoles ou en courants (une théorie = une époque, un contexte, des modèles simplificateurs) :  Les théories sont nuancées, généralement complémentaires.  Elles se nourrissent de la pratique et, en retour, apportent des explications, des pistes d’action, des méthodes.  Elles guident le raisonnement, aident à l’action

concrètes, vulgarisation favorisant la diffusion des concepts, mais parfois vision à court terme.  Cette science rassemble des méthodes et des théories parfois regroupées en écoles ou en courants (une théorie = une époque, un contexte, des modèles simplificateurs) :  Les théories sont nuancées, généralement complémentaires.  Elles se nourrissent de la pratique et, en retour, apportent des explications, des pistes d’action, des méthodes.  Elles guident le raisonnement, aident à l’action,

vulgarisation favorisant la diffusion des concepts, mais parfois vision à court terme.  Cette science rassemble des méthodes et des théories parfois regroupées en écoles ou en courants (une théorie = une époque, un contexte, des modèles simplificateurs) :  Les théories sont nuancées, généralement complémentaires.  Elles se nourrissent de la pratique et, en retour, apportent des explications, des pistes d’action, des méthodes.  Elles guident le raisonnement, aident à l’action

techniques concrètes, vulgarisation favorisant la diffusion des concepts, mais parfois vision à court terme. ( Cette science rassemble des méthodes et des théories parfois regroupées en écoles ou en courants (une théorie = une époque, un contexte, des modèles simplificateurs) : ( Les théories sont nuancées, généralement complémentaires. ( Elles se nourrissent de la pratique et, en retour, apportent des explications, des pistes d’action, des méthodes. ( Elles guident le raisonnement, aident à l’action