Modern Jazz Quartet

expérimentales, chansons et les nombreux hybrides de tous ces styles). Néanmoins quatre sites dérogent à cette “règle”; un webzine consacré à la musique classique, un webzine s'intéressant régulièrement à la musique contemporaine, un blog d'albums de jazz et deux blogs d'albums qui malgré leur dominante rock consacrent régulièrement des messages à de la musique classique ou contemporaine. Pour garantir l'anonymat des membres du panel, tous les noms, qu'il s'agisse des personnes ou des sites, ont été

distinguent aussi des musiques « traditionnelles » (ou « folkloriques »), ces musiques « anciennes et authentiques » que le compositeur Hubert Parry opposait en 1899 aux « chansons populaires [popular songs] de [son] temps ». La chanson populaire moderne [popular song] me fait penser à la périphérie de nos villes terriblement envahissantes, où les constructions bon marché sont la règle et où le clinquant des bijoux en toc et des vêtements de mauvaise qualité côtoie les restes de poisson pourri,

artistiques regroupant plusieurs formes d’art. On voit alors une avant-garde se développer à travers l’expressionnisme, le dadaïsme ou la Nouvelle Objectivité, on est pour ou contre l’atonalité, le dodécaphonisme, la musique utilitaire, l’intégration du jazz et des musiques populaires, on invente de nouvelles formes musicales pour la radio et le cinéma, mais on peut aussi revendiquer un certain conservatisme. Il est trop tentant mais surtout trop dangereux d’associer tel courant artistique à tel courant

............................................................................... 1 NUIT BLANCHE 2003 Rendre l'art accessible à tous, y compris dans ses avant-gardes, insuffler énergie et vitalité à notre cité, mettre en valeur par la création moderne un héritage et un patrimoine exceptionnels, créer un moment de convivialité, festif et fraternel : tel est l'esprit de cette deuxième Nuit Blanche. Rendez-vous dédié à la beauté, à l'inédit et à l'inattendu, cette nouvelle nuit sans sommeil vous propose

grandes connaissances techniques les arrangements si particuliers de morceaux hors du commun. Chaque membre du groupe joue de 4 ou 5 instruments. Se laissant inspirer par les courants les plus divers, ils seront les précurseurs de la musique pop moderne. Ils furent les premiers à mettre des cuivres et des violons dans des compositions, les premiers à faire des "collages" de plusieurs chansons dans le même titre (A day in the life), à utiliser des bandes à l'envers, à avoir recours à des orchestres

celle-ci modelait à l’évidence leur comportement et avait un impact sur la chorégraphie banale des mouvements au sein du magasin. Quelques-unes de ces « brèves rencontres » musico-émotionnelles consistaient à claquer des doigts, balancer la tête (pour le jazz), agiter les mains, paumes ouvertes (pour les airs tirés de spectacles), faire des mouvements ralentis, plus fluides, en adoptant subtilement des poses de ballet – menton relevé, épaules redressées, bas-ventre rentré (pour des mélodies lentes et « langoureuses »)

spectateurs avaient bravé l’orage de vendredi pour venir applaudir leurs enfants, ceux de leurs voisins ou les amis de leurs enfants. La salle était comble devant un spectacle de danse jazz concocté par les professeurs Magali Sabatier et Cécile Colin : "Les quatre éléments" et "Miroir, miroir". Samedi, le spectacle classique et moderne était mené par Christel Agard et Andrée Paule Faliu, avec "Légendes celtiques" et "Métropoles et symboles". Toutes les classes ont donné leur représentation, et chaque danse

Les grands hommes nous quittent mais leur souvenir demeure éternel. L’un des plus éminents dirigeants de l’Etat algérien moderne et un des sages dirigeants africains, le président moudjahid Ben Bella nous a quittés. Le nom du défunt demeurera étroitement lié à l’histoire du Mouvement national, de la glorieuse guerre de Libération et de l’édification de l’Etat algérien moderne qu’il a marquée de son empreinte par ses actions et son apport depuis qu’il fut à la tête de l’organisation spéciale du Mouvement

et ne leur apportaient rien. Les autres finissaient par ne plus voir dans la richesse qu'une fin, mais eux, ils n'avaient pas d'argent du tout. Ils se disaient qu'ils n'étaient pas les plus malheureux. Ils avaient peut-être raison. Mais la vie moderne excitait leur propre malheur, alors qu'elle effaçait le malheur des autres : les autres étaient dans le droit chemin. Eux n'étaient pas grand-chose : des gagne-petit, des francs-tireurs, des lunatiques. Il est vrai, d'autre part, qu'en un certain

glorifier l’ordre nouveau et ériger l’architecture moderne en art d’Etat qui soit l’expression formelle de la révolution fasciste. Un élément du consensus dont bénéficiait le régime, auquel ont succédé les blessures de la guerre civile de 1943-1945, qui ne se sont toujours pas refermées. ti, responsable du comité scientifique d’Atrium Italie, le problème est plus vaste, puisqu’il s’agit de « se poser la question du devenir de l’architecture moderne, qui est un problème partagé par tout le monde occidental»