Moderniser La Fable

le tirait toujours de situations malencontreuse mais jusqu'au jour où Ésope se rend en Grèse à Delphes. Les Delphiens accusent Ésope d'avoir voler un objet sacré du temple d'Apollon pour venger le mépris qu’Ésope avait en vers eux. Il dit alors une fable pour se défendre mais en vains, il fut jeter du haut d'un ravin. Pour ce qui est de ses fables, dans l'antiquité on imitait déjà les grands textes, par ce fait ils rendaient hommage aux maîtres. Donc pour ce qui est des fables d’Ésope, l'auteur utilisait

pouvoir des fables, toutes deux écrites aux 17e siècle. La troisième fable se nomme La cigale et a été écrite par Jean Anouilh en 1967. Celui-ci a modernisé la fable de son prédécesseur La Fontaine. Pour commencer, La Cigale et la Fourmi est un récit beaucoup plus simple que Le pouvoir des fables avec une situation initiale, un élément perturbateur, une péripétie et une situation finale. Ensuite, dans le corps de la fable La Cigale et la Fourmi, les personnages présents sont des insectes :

Paragraphe de Commentaire En quoi la fable instruit-elle son lecteur ? Pour commencer, la fable est un genre apparu dans l’Antiquité gréco-latine. A partir de 1668 succède à Esope et Phèdre, Jean de La Fontaine qui les considère sous un nouvel angle. En effet, il les modernise, s’en approprie et en invente. Suite à l’analyse de plusieurs de ces productions (Le Loup et l’Agneau, Le Loup et le Renard, Le Loup et le Chien), on constate que toutes partagent de nombreuses caractéristiques

nous intéresser à une fable en particulier. Il s’agit de celle intitulée : « le chêne et le roseau », 22ème et dernière fable du livre 1er, se situant dans le 1er recueil de la fontaine publié en 1668. Sa particularité est que cette fable est la seule qui renvoie à l’univers végétal au sein du livre 1er. Majoritairement inspiré de la fable d’Esope « le roseau et l’olivier » dont il suit la trame narrative, il a également été influencé par Virgile pour l’écriture de cette fable. Nous pouvons donc

simplement modernisés sous forme poétique afin d’instruire, tout en plaisant, un large public. Il a retravaillé certains écrits de grands hommes tels que Esope, Crassus ou encore Prométhée. Fables présente dans l’édition scolaire : La Cigale et la Fourmi (1668) Livre I fable 1 Le Corbeau et le Renard (1668) Livre I fable 2 Le Jardinier et son Seigneur (1668) Livre IV fable 4 Le Laboureur et ses enfants (1668) Livre V fable 9 Les Animaux malades de la peste (1678-79) Livre VII fable 1 La

La Fontaine, parmi eux se trouve Jean Anouilh. C’est donc pour adapter et détourner la morale de la fable, « La cigale et la fourmi » à son époque qu'Anouilh, fabuliste du 20ème siècle rédige l’apologue « La Cigale ». Dans ce texte, le renard, malhonnête, veut extirper de l’argent à la cigale, artiste, qui elle, veut voir ses biens se multiplier. Comment Anouilh parvient-il à moderniser cette fable de La Fontaine ? Tout d’abord, nous montrerons comment l’auteur met en place un récit plaisant. Puis

La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie , il y a deux mille ans avant notre ère puis se développera au VIe siècle avant Jésus Christ ,grâce à Esope (père de la fable). « La Cigale » , de Jean Anouilh est un apologue issu du recueil « Fables » publié en 1961 aux éditions de « La Table Ronde » ; ce texte décrit une cigale - une artiste - , qui recherche un placement financier hors pair auprès de Maître Renard un prêteur sur gage et qui finalement contre toute attente obtiendra un investissement

notre extrait, qui est une fable hétérométrique issue du livre VIII de la fable 14. On suppose que cette fable a été écrite à la suite du décès de la reine Marie-Thérèse d’Autriche en 1683. Cette fable évoque donc une calomnie subie par un cerf qui entraîne la colère du Roi. Ce cerf, grâce à un stratagème habile, saura retrouver ses faveurs chez le Roi. Nous nous demanderons donc : Comment le fabuliste réussit-il à élaborer une charge contre la Cour dans cette fable ?Nous analyserons d’abord

pouvoir. Pourtant, Jean de La Fontaine composera l’un des plus grands ouvrages de la langue française, Les Fables, qui ne sont ni entièrement classiques, ni particulièrement baroques. Bien que démodée depuis plusieurs siècles, La Fontaine a modernisé la fable en s’inspirant principalement d’Ésope, un fabuliste grec du VIIè siècle avant J.C., et de Phèdre, un romain du Ier siècle après J.C.. Grâce à son style clair et simple, l’auteur va rendre ses oeuvres agréables à lire ainsi qu’amusantes; en outre

sur les remparts de Thèbes, l’acte II réinvente la rencontre mythique avec le monstre, l’acte III ose mettre quasiment en scène le tabou des amours incestueuses, le dénouement se voit adjoindre un épilogue qui détourne notablement la morale de la fable antique. 2 Le traitement du temps de l’action est très particulier : tantôt les événements sont simultanés (AI et II), tantôt longuement séparés (AIV), ou bien le temps s’arrête quasiment, adoptant une durée plus psychologique qu’événementielle