Modèle Is Lm

L3 Economie Monétaire et Financière Internationale - Fiche d’exercices 1 Exercice 1 - Modèle IS-LM et détermination de la demande globale On considère une économie dans laquelle les expressions de la consommation, de l’investissement, de la demande d’encaisses réels et des dépenses publiques sont les suivantes: C = C0 + cY I = I0 − αr M = Y − λr P ¯ G=G d d (1) (2) (3) (4) où Y , r, M et P représentent respectivement le niveau du revenu national, le taux d’intéret nominal, ¯ la demande de

Jointes b) Le Test de Nullité de la Moyenne c) Conclusion de la Stratégie de Test de Dickey-Fuller V. LA METHODOLOGIE DE BOX-JENKINS a) La Détermination du Processus ARMA (p,q) b) La Validation du Modèle Estimé c) La Prévision I. Introduction a) Le Groupe Bouygues Implantées dans 80 pays, les activités du Groupe Bouygues sont concentrées dans les secteurs de la construction avec les entreprises Bouygues Construction

produit revenu en économie ouverte 18 B- De l'équilibre comptable à l'équilibre macro-économique 18 Section 4 : La modélisation macroéconomique 20 I- Les variables 20 II- Les relations 21 III- Les modèles 22 A- Les horizons temporels 22 B- Les modèles statiques et dynamique 22 C- Les modèles théoriques et appliqués 22 Chapitre 3: Les options théoriques de l'équilibre macro-économique 23 Section 1 : L'approche néoclassique 23 I- De l'héritage classique aux prémices de théorie néoclassique

marginale à consommer des ménages (inverse de la propension à épargner). En économie ouverte, il faut également intégrer la propension marginale à importer (« fuite dans le circuit »). Bien entendu, ces principes généraux, illustrés souvent par le modèle IS/LM, ont été raffinés au cours du temps (introduction de la politique monétaire, des taux de change, mobilité des capitaux…). Leur philosophie centrale continue toutefois de postuler qu’une politique budgétaire expansionniste (respectivement restrictive)

L’équilibre général avec flexibilité des prix versus rigidité des prix et régulation publique. II) Les marchés et leur fonctionnement A) La loi de l’offre et de la demande : Les choix rationnels B) Le modèle de concurrence parfaite et ses limites. C) Les vertus attendues de la concurrence. D) Le monopole et la concurrence imparfaite. E) Les défaillances du marché et l’intervention de l’Etat.

comportement des objets S3 et S4. Un exemple sera plus parlant : par exemple l’aide de la fonction plot n’indique pas le fait qu’on peut plotter un objet de la classe lm. En fait il taper ?plot.lm. Il faut connaˆ donc l’existence de la foncıtre tion plot.lm d’o` le fait qu’il est important de connaˆ u ıtre la syntaxe methods(class=”lm”). – Les fonctions ne sont pas tr`s d´taill´es. Par exemple les d´tails th´oriques e e e e e ne sont g´n´ralement pas abord´s contrairement ` certains autres logiciels

DU COURS Introduction I. Les fonctions de comportement des agrégats/ 1. La fonction de consommation. 2. La fonction d’épargne. 3. La fonction d’investissement. 4. La demande de monnaie. II. Les modèles macroéconomiques : 1. Le modèle macro-classique. 2. Le modèle IS-LM. 3. Le modèle keynésien général ou la synthèse néoclassique. Bibliographie introductive 1- Ando, A. et F. Modigliani, “The Life-Cycle Hypothesis of Saving: Aggregate Implications and Tests”, American Economic Review

du modèle d'équilibre général élaboré par Léon Walras : les prix des biens sont des taux d'échange de chaque bien calculés par rapport à un bien-étalon qui joue alors le rôle d'unité de compte. Mais, dans ce modèle, il n'y a pas réellement besoin d'une monnaie qui serve de moyen de transaction. Comme, de plus, on connaît, dès le départ, les prix d'équilibre, et que l'équilibre général se réalise instantanèment, il n'y a pas, non plus, besoin d'une monnaie « instrument de réserve ». Ce modèle est

plutôt qu'une science. Il critique aussi sévèrement, autant sur le plan technique que sur le plan logique, la nouvelle science économétrique, l'accusant entre autres de dénaturer la logique intellectuelle de la modélisation en tentant d'ancrer le modèle dans la réalité avec des paramètres concrets132. Les précurseurs de Keynes Certains auteurs avant Keynes avaient mis l'accent sur l'importance de la demande et mis en cause la loi de Say qui veut que l'offre crée sa propre demande. Thomas R. Malthus

liquidité rend totalement inefficace les politique monétaire. C'est la trappe à liquidités. Hicks et Hansen ont modélisé les politiques monétaires les effets des politiques économiques avec le modèle IS-LM: On augmente ici la quantité de monnaie disponible dans l'économie ce qui fait déplacer la droite LM vers la droite (car le taux d'intérêts sera plus bas pour le même revenu). Ce déplacement crée un nouveau point d'équilibre avec un taux d'intérêt plus bas et un niveau de revenu plus élevé, ce