Mohamed Ali

mvt espéraient_). Une organisation, jusque là inconnue, revendique ttes les opérations militaires: le Front de Libération Nationale, FLN. (_Elle est dirigée de l'intérieur par 6 hommes: Larbi Ben M'Hidi, Didouche Mourad, Rabah Bitat, Krim Belkacem, Mohamed Boudiaf, Mostefa Ben Boulaïd.)_ Le C.R.U.A , Comité Révolutionnaire pour l’Unité et l’Action rédige et approuve « la proclamation historique du 1er novembre » en même temps que la naissance du FLN. Répression: en quelques jours, des dizaines

Lire la suite Contenus de qualité • Bons contenus • Sélection • Programme Actualités et événements Événements en cours : Printemps arabe · Crise de la dette dans la zone euro · Campagne électorale au Québec 12 août : le président égyptien Mohamed Morsi abroge le décret constitutionnel donnant les pouvoirs législatifs au Conseil suprême des forces armées et met à la retraite son chef, le maréchal Tantawi. 9 août : deux séismes frappent l’Iran, faisant environ 250 morts et 2 000 blessés.

l'Organisation Spéciale (armée clandestine du MTLD) de Hocine Aït Ahmed, il participe au casse de la poste d'Oran. En mai 1950, il est reconnu coupable et est condamné à sept ans de prison. Il réussit à s'évader et se réfugie au Caire avec Hocine Aït Ahmed et Mohamed Khider et forme ensemble le FLN (Front de libération nationale) qui lutte lui aussi pour la libération de l'Algérie. Ben Bella est de nouveaux arrêté avec ses compagnons résistants lors d'un voyage avec le CRUA (Comité Révolutionnaire d'Unité et

du soulèvement de 2011 sont toujours bien présentes. Le coup d'État du 3 juillet 2013 en Égypte est mené par les forces armées égyptiennes contre le président Mohamed Morsi, élu un an plus tôt à l'issue de la transition après la révolution égyptienne de 2011. Le 30 juin 2013, un an après l'élection du président égyptien Mohamed Morsi, plus d'une douzaine de millions de manifestants à travers l'Égypte, descendent dans les rues et appellent à la démission du président. En février 2011, le

affrontements avec les forces de l'ordre… Suite à cela, des élections répondant au principe pluralisme ont alors été mise en place. Les « Frères musulmans » sortent victorieux le 24 juin 2012, en rassemblant près de 47% des suffrages. A leur tète, Mohamed Morsi avec pour slogan «  L’islam est la solution ». Ainsi, bien qu’une nouvelle Constitution fût instaurée la religion islamiste est dominante, on parle alors de « dictature religieuse ». Les libertés citoyennes restent bafouées et une des plus grandes

et présidentielle ont été remportées par le Parti de la liberté et de la justice, le bras politique des Frères musulmans. Le pouvoir n'est cependant resté que peu de temps entre leurs mains car d'importantes manifestations contre le président élu, Mohamed Morsi, critiquant des dérives dictatoriales, et le retournement de l'armée contre celui-ci l'ont destitué en faveur d'un gouvernement transitoire un an seulement après son élection. L'Égypte connait depuis une période de troubles causée par l'instabilité

« paroxysme » égyptien peut-il avoir des répercussions sur des pays jusque là relativement épargnés par les révolutions arabes, comme l'Algérie ou le Maroc ? Au Maroc, l'exercice du pouvoir se définit par sa dualité, ce dernier étant réparti entre le roi Mohamed VI et son premier ministre, M. Benkirane, issu d'une formation islamiste (Parti de la Justice et du Développement) qui s'inspire de l'AKP d'Erdogan. Comme en Turquie, le PJD s'appuie en effet sur la promotion de la petite bourgeoisie pieuse et profite

coopération avec les nouvelles autorités de ces Etats. Un rapprochement fort puis une rupture soudaine avec l’Egypte 3 Sous Mohamed Morsi, les relations entre Ankara et le Caire s’étaient fortement renforcées, devenant des partenaires privilégiés : ces relations s’inscrivaient dans la stratégie d’influence régionale de la Turquie. La destitution de Mohamed Morsi par l’armée égyptienne a mis la Turquie très en colère. Ankara a qualifié cet acte de « coup d’Etat militaire contre un président

Oral actualités ECJS : Le mouvement de protestation et la chute du président Ben Ali en Tunisie Sujet traité : La révolution et la chute du président Ben Ali en Tunisie, appuyé sur un article du quotidien Libération du Lundi 17 Janvier 2011. • président Ben Ali • La « révolution des jasmins » Le président Ben Ali : Zine El-Abidine Ben Ali fut élu président tunisien du 7 Novembre 1987 au 4 Janvier 2011, soit durant 23 ans. Sous sa présidence, l'économie tunisienne était

de Zine el Abidine Ben Ali montré à son peuple à travers la télé n’a eu aucun effet sur le peuple tunisien. En fait, ce dernier était persuadé qu’il s’agissait d’une farce. Ben Ali avait aussi essayé de reculer l’augmentation des prix, mais cette action n’a pas sollicité les tunisiens à cesser leur protestation, au contraire, les tunisiens ont perçu cette action comme une faiblesse de leur président et en ont profité pour le chasser de la Tunisie. A un certain moment Ben Ali a été aussi abandonné