Mohammad Omar

islamiques (IFSB), qui prodigue des conseils sur la réglementation des banques islamiques, a élaboré des directives sur le respect de la Charia, mais celles-ci ne sont pas obligatoires.28 Les premiers défenseurs de la finance islamique, notamment Mohammad Nejatullah Siddiqi, se déclarent souvent déçus par le fait que les banques islamiques apportent très peu de financement de type moudaraba, mettant l’accent plutôt sur le financement du commerce à court terme (mourabaha) qui n’est qu’une simple reproduction

Corporate Governance in Islamic Financial Institutions", papier presenté au séminaire organisé conjointement par IIRF-OCAIFI sur : Transparency, Governance and Risk Management in Islamic Financial Institutions, tenu à Beyrouth, Liban, Mars 2001. AI-Omar, Fouad (2000), "Supervision, Regulation and Adaptation of Islamic Banks to the Best Standards: The Way Forward", papier presenté au séminaire sur : Le contrôle des Banques islamiques, Bahreïn: OCAIFI, 1819 Février, 2000. A1-Sabah, Sheikh Salem Abdul

banques islamiques est également une attente importante de la part des clients (Hegazy, 1995). Ces derniers observent avec beaucoup d'attention les actions sociétales développées par ces institutions et leur contribution au bien-être de la communauté. Omar et Abdel-Haq (1996) soulignent que « le système bancaire islamique implique un engagement social. Une philosophie qui le différencie des autres institutions bancaires. Dans l'exercice de toutes ses activités financières, la banque islamique doit prendre

alors nous fûmes au large, et je pus les devancer. - Y en a-t-il un autre qui t'égale à la course ? - Je n'ai vu personne le faire, sauf Ataylis Ughaybir des Nuqûm. Si nous courons ensemble, je ne puis le gagner. (Bukhari, Sahih 56/51). D'après ibn Omar, l'envoyé d'Allah assigna au cheval deux parts de butin et à son maître une part227. Les chevaux de Muhammad. (Tabari, Histoire des prophètes et des rois III 336). Le prophète avait sept chevaux, qui, selon la coutume des Arabes, portaient chacun un

Le général de Gaulle s'entretient au palais de l'Elysée avec Hubert Humphrey, vice-président des Etats-Unis, à propos du traité de non-dissémination des armes nucléaires. 11 avril Le général de Gaulle s'entretient au palais de l'Elysée avec Mohammad Hashim Maiwandal, Premier ministre de l'Afghanistan. 13 avril Signature d'une convention avec la Compagnie internationale informatique (CII) destinée à doter la France de calculatrices électroniques (plan Calcul). Le général de Gaulle s'entretient

illusion à l’égard de son lointain cousin. Hamad lui doit beaucoup. HBJ lui a permis de réussir le coup d’État de 1995, en assurant le soutien de nombreux membres de la famille al-Thani, en particulier celui des demi-frères de Hamad, Abdallah et Mohammad, qui étaient proches de leur père. En échange de ces services rendus, l’émir lui laissa élargir son périmètre d’activités financières, tout en le surveillant, bien sûr. C’est ainsi qu’au cours de la décennie 1980-1990, Hamad Bin Jassem devint l’acteur

sept banques étrangères, huit fondations islamiques, huit particuliers dont trois membres de la famille royale saoudienne (Prince Sultan Ben Abd el-Aziz, ministre de la Défense, Prince Turki al-Fayçal al-Saoud, ancien chef du renseignement et Prince Mohammad al-Fayçal al-Saoud, directeur de la Faisal Islamic Bank), deux entreprises et contre le gouvernement soudanais, accusés d'avoir financé Al Qaïda[201]. Une autre le 3 septembre 2002 à la cour du district sud de New-York[202]. Des actions judiciaires

pARTICIpAnTS noM abe abold abon abusninan adam adegbesan adorni agliati agoudjil ahmad ahmed ahmed akauola akinde alhai pRénoM atsushi andreas Joseph Zayed ahmed adam ahmed Olufemi Vittorio Jaime Samir Zakaria Kutubuddin Ladi Habu Mataiasi abiodun James Omar abdulaziz Pacific Islands News association Culture Concept & Foklore Dance Troupe International Olympic Committee NOC of Chile NOC of algeria NOC of Malaysia NOC of Bangladesh oRgAnISATIon Intelligence & Networking Unit abold GmbH Student Ministry

les ordinateurs personnels des militants arrêtés ont été confisqués. Les tribunaux révolutionnaires se sont ensuite servis des “preuves” ainsi recueillies pour condamner à de lourdes peines de prison les “instigateurs d’une guerre contre Dieu”. Pour Mohammad Ali Jafari, commandant des gardiens de la révolution [armée parallèle du régime], l’Iran connaît un “état de guerre virtuelle” plus dangereux qu’une confrontation militaire. Quant au guide suprême, l’ayatollah Khamenei, il appelle les “jeunes soldats”

: « Cette suspension durera le temps nécessaire pour que nos experts examinent le rôle éventuel que la chaîne Al-Jazira a joué pour inciter des éléments subversifs à déclencher les troubles qui se sont produits dans la ville d’Ahvaz », a déclaré Mohammad Hossein Khoshvaght, directeur général du ministère de la culture et de la guidance islamique, qui est chargé de superviser la presse étrangère en Iran. Il a précisé qu’il attendait « des explications claires » des responsables de la chaîne sur la