Moho

P et ondes S. Ondes P dans solide et liquide, ondes S juste dans solide. -Vitesse dépend de la compressibilité. Donner formule de Vp et Vs. -Vitesse dépend de la température. Car le module de compressibilité dépends de T. b) Les discontinuités -Le Moho. Limite supérieure du manteau. -410 km et 660 km -le Gutenberg -La couche D’’ c) La zone d’ombre et la graine -Découverte par Gutenberg en 1913 -Les ondes sismiques ne traversent pas tout le noyau. -Inge Lehman mesurent des ondes dans cette zone

coniques. Documents 1 et 4 Il y a peu de réflecteurs continus dans la croûte et visibles, même au niveau de la dorsale. A la dorsale, on distingue tout de même un réflecteur correspondant au sommet de la chambre magmatique (AMC) et un correspondant au Moho (M). 3. Les données de tomographie sismique Documents 5, 6 et 7 La tomographie met en évidence, à chimie constante, une anomalie thermique positive sous l’axe des dorsales. B. Les apports des campagnes de forage et d’observations directes des

la croûte continentale et de 6,5 Km/s dans la croûte océanique. Puis apparaît une discontinuité plus marquée (la Vp augmente jusqu'à 8 Km/s) à une profondeur variable : 5-8 Km sous les océans et 30-80 Km sous les continents c'est la discontinuité de MOHO ( du nom de l'auteur qui a mis en évidence la discontinuité lors du séisme de Croatie en 1909). La croûte continentale et la croûte océanique se distinguent par leur épaisseur (Fig.35). Elles diffèrent aussi par la nature des roches qui les constituent

temps de trajet des ondes sismiques) met en évidence l’existence d’enveloppes concentriques séparées par des discontinuités. Chaque discontinuité est marquée par une variation brutale de la vitesse des ondes P et S. Discontinuité de Mohorovicic ou Moho : Sépare la croûte du manteau. Discontinuité de Gutenberg : Sépare le manteau du noyau (chute de la vitesse des ondes) Discontinuité de Lehmann : Sépare le noyau externe (liquide) du noyau interne (solide) On distingue cependant une zone à moindre

Présentation PowerPointThème 2: La dynamique interne de la Terre Chapitre 6 : La mobilité horizontale de la lithosphère La Terre est constituée en surface de plaques lithosphériques aux frontières desquelles se manifestent activités sismiques et volcaniques. En profondeur, la lithosphère rigide repose sur l’asthénosphère qui l’est moins et qui permet des déplacements lents de l’ordre de quelques cm/an des plaques lithosphériques qui la surmontent. Vois schéma de rappels et définitions Comment

chambres magmatiques et d'en préciser plusieurs paramètres : la taille, l'état physique de leurs composants, la morphologie et leurs mouvements. 1 2 3 5 Profil sismique au niveau de la dorsale est -pacifique (a) et son interprétation (b) (M = Moho, CMA = chambre magmatique ' axiale.) 4 La remontée de péridotite à l'aplomb de la dorsale, qui subit une fusion partielle par décompression adiabatique, se traduit par une remontée de l'asthénosphère (6) Les physiciens montrent que le facteur

De mêmes espèces fossiles en Afrique et Amérique du Sud, des traces de climats glaciaires anciens au niveau de l'équateur sont explicables par la théorie de la dérive des continents. 1910 – Mohorovicic – Découverte de la limite croute-manteau : le moho 1912 - Schweydar – Démontre par analyse mathématique la présence d'une lithosphère rigide de 120km sur une asthénosphère ductile de 600km. 1914 – Gutemberg – Découverte de la limite manteau-noyau 1915 – Barell – Démonstration et profil rhéologique

est donc sujet à une subsidence: la lithosphère continentale s'amincit soumise à un étirement de plaques. Cet amincissement crustal est à l'origine de la naissance d'un bassin sédimentaire. Modélisation du Paléoenvironnement Socle ersilien MOHO On assiste donc dans les Alpes à un début de mécanisme divergent à l'ère primaire. La croûte continentale s'amincit et s'affaisse à cause de l'étirement des deux plaques, créant ainsi des bassins sédimentaires, et laissent le manteau

la croûte ; l'empilement d'écailles crustales, formées par rabotage dans la zone d'affrontement des deux plaques et à l'origine des reliefs élevés. Cet épaississement de la croûte, dans la zone de suture des deux plaques, provoque un enfoncement du Moho sous la chaîne de montagnes à plus de 50 km de profondeur et la formation d'une racine crustale importante. Conclusion Comme pour les Alpes, l'évolution de la chaîne de montagnes du nord-est de la Corse n'est pas pour autant terminée. Le relâchement

optiques : fondamental pour l’identification d’un minéral noyau interne + noyau externe = 75% fer et 5% nickel Manteau = solide mais Déformable (péridotite) Croute océanique = basalte et Gabbro Croute continentale = granit et Roches associées Moho = limite entre la croûte et le manteau Croûte +partie superficielle du manteau = litosphère Roches ignées ; endogènes magmatiques : Refroidissement lent cristallisation magma -> assemblage minéraux Visible à l’œil nu -> roches granitoïdes