Moine Soldat

point, je viens de P... en Normandie, où j'ai été passer huit jours et d'où je rapporte un grand criminel de mes amis que je vous demande la permission de vous présenter." A ces mots, il tira de sa poche une main d'écorché ; cette main était affreuse, noire, sèche, très longue et comme crispée, les muscles, d'une force extraordinaire, étaient retenus à l'intérieur et à l'extérieur par une lanière de peau parcheminée, les ongles jaunes, étroits, étaient restés au bout des doigts ; tout cela sentait

- En 1080 = 200 - 12 siècle = 350. Hugues de Semur va donc entreprendre des travaux d'agrandissement et de reconstruction selon un projet bien précis et très bien financé (par deux rois) mais aussi selon une autre raison. Un ancien abbé devenu moine (Gunzo) aurai reçu la visite dans son songe de saint Pierre lui ordonnant de prévenir Hugues de Sémur qu'il devait construire une nouvelle abbaye pour Cluny, selon des critères bien précis. Ce songe nous ai rapportés dans les vies de Saint Hugues rédigé

SITUATION DU CHRISTIANISME AU XIII EME SIECLE Au début du Xeme siècle, naît dans l'Église catholique la volonté de réformer l'ordre monastique. Cette restauration est due a la Règle de saint Benoît, un règlement qui régit dans ses moindres détails la vie monastique, pour respecter l'observance. Cette Règle initiée par saint Benoît connaît un important développement, notamment grâce à l'action de Benoît d'Anian trois siècles plus tard. Mais elle est limitée par les traditions qui se développent

Les moines passent la plus grande partie de leur journée à prier. Dès le matin, ils se retrouvent dans la salle du chapitre (ou salle capitulaire) pour y lire la bible, avouer leurs fautes et dénoncer celles des autres. On y prend aussi les décisions importantes. Les moines passent ensuite dans le parloir où le supérieur leur donne le travail de la journée. La salle du chapitre et le parloir sont les deux seuls endroits où les moines ont le droit de parler. Les moines effectuent les tâches nobles

expériences. Ainsi, la description des compétences des Thélémites, faite par Rabelais, paraît très exagérée. Les Thélèmes n’agissaient non seulement selon leur bon vouloir, mais aussi tous en même temps. Dans une abbaye traditionnelle chaque moine a ses propres devoirs à faire sans s’occuper des autres convers. De plus, il est difficile d’imaginer que l’on puisse avoir tout le temps les mêmes désirs et les mêmes besoins que les autres. Finalement, chaque individu est un monde à part et de ce

indéterminée entre 1483 ou 1494, fixée d’après celle de sa mort à Paris le 9 avril 1553 à « l’âge de soixante-dix ans ». Dés son plus jeune âge, son éducation est laissée aux moines, il entre plus tard au couvent de Fontenay-le-Comte où il devient moine comme le prouve sa lettre adressée à Guillaume Budé en 1521. Rabelais ne se plie pas facilement aux règles monacales et ne reste pas cloîtré dans son monastère. Vers 1528, il prend l’habit de clerc pour se rendre dans diverses universités, Rabelais

dixième de leurs ressources à leurs hôtes, parmi lesquels on trouve très peu de vrais pauvres. L'exercice de la charité prend l'aspect de cérémonies annuelles où les moines lavent les pieds à des pauvres professionnels. La haute dignité qu'occupe le moine semble justifier son extraordinaire aisance matérielle. L'humilité est comprise comme une soumission au sort. Si celui-ci est favorable, il n'y a pas de raison de ne pas s'y soumettre également. Quand au travail manuel, il est rejeté comme indigne

interruption en temps que les événements « il y avait un seul moine » = opposition aux multiples actions vaines des moines > Le nom du personnage est long et compliqué. > Accumulations d’adjectifs laudatifs (physique et moral). • Critique de l’aspect formel du culte > « eur » = professionnalisme = formalisme ? > « Le monde moina » = murmure des prières monastiques dont Frère Jean s’exclut peu à peu + moina = néologisme : faire le moine avant de l’être  Passage à l’action • Personnage dynamique

rigoureux l'engagement de ces hommes ayant voué leur vie à Dieu mais surtout aux autres, la vie monastique qui continue au rythme des tâches quotidiennes, travaux manuels et temps de prière. Les scènes très fortes de réunions de chapitre, où chaque moine, à sa manière, livre son désarroi ou sa conviction, font surgir sans grands discours toute la complexité humaine, religieuse et morale de ce qui fut accompli. Nous nous demanderons donc en quoi la religion a-t-elle une place importante chez l’homme

se bat plus il aime ça, plus il devient voilent et moins il a pitié, il y a une sorte d’ivresse dans la tuerie, ce qui est une réalité car plus on tue plus on a le désir de tuer, c ‘est psychologique. Même si l’on est quelqu’un de normal comme un moine on a le désir de tuer, si l’on n’est pas violent on le devient. Quelqu’un qui n’est pas prédisposer à tuer se met à tuer et plus il tue, plus il a e désir de tuer et plus il devient barbare. De plus, au fur à mesure qu’on se bat on ne sait même plus