Mon Oncle Jules

née à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne) le 28 janvier 1873, morte à Paris le 3 août 1954. Elle est élue membre de l’Académie Goncourt en 1945. Dernière des quatre enfants (deux filles et deux garçons) de Sidonie Landoy (Sido) et du capitaine Jules-Joseph Colette (saint-Cyrien, zouave qui a perdu une jambe lors de la bataille de Melegnano et est fait percepteur à Saint-Sauveur en Puisaye), celle qui deviendra Colette a vécu une enfance heureuse à Saint-Sauveur-en-Puisaye, gros village de Bourgogne

peintreGhirlandaio. Il est accueilli à l'âge de 14 ans au palais de Laurent de Médicis, grand protecteur des arts et des lettres de Florence. C'est le début d'un apprentissage artistique effectué de manière quasi autodidacte. A cette occasion, il rencontre Jean et Jules qui deviendront respectivement les papes Léon X et Clément VII, commanditaires de ses plus grandesoeuvres. Bousculant les principes traditionnels de l'art, il est rapidement consacré et surnommé 'le Divin'. On lui doit la 'Pietà' de la basilique Saint

visites au musée, ils finissent par se perdre avant d’être reconduits par les gardiens du musée. (ch.3, page 90) 6) Nana naît Rue Neuve de la Goutte d’or chez elle, page 115, ch.4. 7) Les Lorilleux deviennent parrain et marraine de Nana, son oncle et sa tante. Mme Lorilleux est la sœur de Coupeau et son mari, son beau frère. 8) Chez lui où Gervaise va le soigner. 9) Les économies de Gervaise vont servir à soigner son mari. Gervaise va acheter sa boutique grâce au prêt que lui consent

la conduite de Borgia — « il me semble qu’on peut la proposer pour modèle à tous ceux qui sont parvenus au pouvoir souverain par la faveur de la fortune et par les armes d’autrui » —, Machiavel lui reproche cependant d'avoir laissé élire pour pape Jules II et il qualifie cette erreur stratégique de « faute qui fut la cause de sa ruine totale ». VIII. De ceux qui sont devenus princes par des scélératesses[modifier] De his qui per scelera ad principatum pervenere En dehors de la vaillance et de la

Poitiers, où il sera en contact avec des maladies contagieuses. Il tombera gravement malade, en 1915. Jean Jouve décède le 8 janvier 1976, à Paris, après avoir vécu de nombreuses vies toutes aussi enrichissantes les unes que les autres. Jules Laforgue Jules Laforgue, est né à Montevideo le 16 août 1860 et mort à Paris le 20 août 1887, est un poète du mouvement décadent français. Laforgue reste dans la ville de Paris poursuivre ses études au lycée Condorcet suite au décès de sa mère. Malgré trois

un monte-charge, ils arrivent dans un couloir du métro qui «remarche». Jeanne Lalochère quitte son «jules» qui l’a déçue. À la gare, elle retrouve Zazie, qui est accompagnée d’un «type» en qui elle reconnaît Marcel. Elle demande à sa fille ce qu’elle a fait, et celle-ci lui répond : «J’ai vieilli.» Analyse des personnages Zazie, pétulante et vulgaire, la jeune fille donne des soucis à son oncle. Cette provincial a un caractère impossible et veut absolument aller dans le métro parisien. Un matin

de la vie. (...) N’est-il pas véritablement plus difcile de faire concurrence à l’État-Civil avec Daphnis et Chloë, Roland, Amadis, Panurge, Don Quichotte, Manon Lescaut, Clarisse, Lovelace, Robinson Crusoë, Gilblas, Ossian, Julie d’Etanges, mon oncle Tobie, Werther, René, Corinne, Adolphe, Paul et Virginie, Jeanie Dean, Claverhouse, Ivanhoë, Manfred, Mignon2, que de mettre en ordre les faits à peu près les mêmes chez toutes les nations, de rechercher l’esprit de lois tombées en désuétude, de

de l'époque est totalement mise de côté. Quant à l'histoire familiale, elle est très peu évoquée dans le roman alors qu'elle est la clé de toute la série des Rougon-Macquart. Le seul moment où il y est fait allusion, est lorsque Serge rencontre son oncle, le Docteur Pascal. Celui-ci est d'ailleurs le seul, avec Désirée, à rappeler l'environnement familial de Serge Mouret. Et, même à ce moment-là, il faut nuancer le rôle qu'ils ont à jouer. Certes, Désirée est l'incarnation vivante du poids de l'hérédité

trouvent refuge. Rejetés par un oncle qui juge dégradante la passion de son père Mohammed pour une esclave roumiyya —une chrétienne— Hassan et les siens s’installent dans une modeste demeure des faubourgs de Fès. Là, Hassan vivra une jeunesse heureuse, partagé entre l’étude de l’islam sous la tutelle de l’intransigeant Astaghfirullah, découverte des souks, espionnage des hammams de femmes avec son ami Haroun, et apprentissage des rudiments du métier de commerce avec son oncle Khâli, entre temps réconcilié

traiteur situé rue du bac. Marguerite est née le 3 janvier 1816 près de Chalon-sur-Saône. Elle connaît une enfance pauvre gardant des oies sur les prairies qui bordent la Saône. À l'âge de 13 ans, elle parvient à quitter la campagne pour rejoindre son oncle porteur d'eau à Paris. Après avoir économisé une petite somme d'argent elle ouvre une boucherie chaude rue du bac où Aristide boursicaut vient se restaurer quotidiennement. Le 25 avril 1844, une loi frappa d’une taxe de 1 000 francs tout magasin