Mon oncle

et richard n’a le choix d’aller vivre chez sa grand-mère à Jackson et son frère chez sa tante à Detroit. * Enfance caractérisée par un incessant rejet de sa famille, notamment les perpétuelles guerres avec sa grand-mère, sa tante Addie et son Oncle Tom. Sans oublier la pression religieuse de la communauté. * Une envie de s’enfuir dans le Nord: il enchaîne alors les jobs d’été afin de financer ses études et fuir le sud; dans un premier temps départ à Memphis puis départ vers le nord accompagné

société qu’il découvre. - les actions et événements apparaissent non pas guidées par la logique du récit, mais par un hasard qui favorise ou l’humour, ou la réflexion. Ainsi le conte commence par la rencontre invraisemblable du Huron et de ses oncle et tante ; de même, à Saumur, la rencontre avec les protestants est le fait d’un hasard, comme le présence de l’espion ; la coïncidence des départs de Melle de Saint-Yves et des Kerkabon joue aussi sur l’invraisemblance comme le fait que, par le

fils illégitime de M. Profitendieu • Olivier Molinier son ami • Vincent Molinier : frère d’Olivier et amant de Laura. • Laura : mariée, elle a une aventure avec Vincent, qui la met enceinte et la quitte. • Edouard : écrivain et oncle d’Olivier. Le livre offre des extraits de son journal et il évoque le projet d’écrire un livre : les Faux-monnayeurs. • Passavant : écrivain • Strouvilhou : vrai faux-monnayeur dans le roman • La Pérouse : professeur de piano et grand-père

(son oncle) et Célestin Poux arrivent à Bingo Crépuscule. Dondut Alphonse, le propriétaire leur fait visiter lieu. Ensuite Mathilde va voir l’ancien propriétaire du champ, Deprez Hyacinthe. Elle va chez les Rouquiers et parle avec la mère. La fille Rouquiers est celle qui a trouvé la tombe des soldats exécutés, qui furent ensuite enterrés dignement dans leurs villages. Heidi Weiss, (une autrichienne) vient voir Mathilde et lui raconte qu'un frère est mort à la guerre et ce qu'elle sait, à l'époque

profite du système des rendus. Mme Boutarel : qualifiée de jolie dame élégante, elle économise beaucoup pour venir tout dépenser Au Bonheur. C’est une cliente fidèle et régulière à qui on invente une vie. Les petits commerçants M. et Mme Baudu : oncle et tante de Denise, se sont les propriétaires du Vieil Elbeuf et possèdent une fille, Geneviève Baudu fiancée à leur commis Colomban. Ils sont horrifiés de l’évolution grandissante des grands magasins qui détruisent les petits commerces. L’oncle est

l’adoption n’était pas commun, et un des points de celui-ci était de me rélévé chaque décès de parents biologiquement proche. 2 ans au par avant, j’avais déjà appris ce terme du contrat, et ma mère, bouleversée, avait du m’apprendre la mort de mon seul oncle et de sa femme, de mon grand-père ainsi que le meurtre de mon père, survenu avant ma naissance. J’avais donc conclut que le contrat avait un point qui était de me rélévé les membres encore vivant de ma famille biologique a partir de mes 14ans. Il restait

d'origine espagnoleN 1 meurt lorsqu'il est enfant et il est élevé au château de Florian. Son oncle ayant épousé la nièce de Voltaire, c'est à dix ans, en juillet 1765 lors d'un séjour à Ferney, qu'il est présenté au célèbre écrivain, son grand-oncle par alliance, qui le surnomme Florianet et parle de lui dans sa correspondance comme étant son « neveu par ricochets ». Il s'installe ensuite chez ses oncle et tante qui prennent en charge son éducation dans le quartier du Marais, à Paris. À treize

celle des autres face à la destruction de sa ferme et malgré sa tentative à s'y opposer. Mais l'homme, devenu fataliste, reste sur cette terre en attendant la mort et ceci malgré des sursauts de révolte. Toi, rejoint donc sa famille hébergée par son oncle encore sur sa terre. Mais la réalité du départ est inéluctable. L'exode se fera vers la Californie, lieu où la récolte du raisin promet un avenir éclairci. Lors du départ, le grand-père, dans un sursaut de révolte et de nostalgie, refuse de partir

guerre déclarée le 3 septembre, « Nice restait semblable à elle-même ... La vie familiale n'était guère plus perturbée » (p36). Au moment de l'attaque allemande en mai-juin 40, Monsieur Jacob veut mettre ses enfants à l'abri à Toulouse mais ses oncle et tante ayant décidé de rejoindre de Gaulle à Londres, Simone Veil et ses soeurs et frère reviennent à Nice. La « rentrée s'est effectuée normalement » (p38) mais les difficultés matérielles s'accentuent: restrictions alimentaires ou en charbon

surtout car il y a le symbole de l’URSS sur la feuille qu’il tient entre ses mains. On devine que le jardinier est américain car il tient le symbole du Dollar entre ses mains. Mais ce personnage n’existe pas réellement, il se prénomme « Uncle Sam » (oncle sam) et c’est l’allégorie des États-Unis. Ici aussi, il y a une ressemblance entre la caricature du personnage et la réalité. Les deux personnages sont séparés par une palissade. « Iron Curtain » signifie « Rideau de fer ». La palissade représente