Mon père va me tuer

Horaces sont rapidement tués et le dernier, héros de la pièce, doit donc affronter seul les trois Curiaces blessés; mêlant la ruse et l'audace, en faisant d'abord semblant de fuir pour éviter de les affronter ensemble puis en les attaquant, il va pourtant les tuer un par un et remporter ainsi ce combat. Après avoir reçu les félicitations de tout Rome, Horace tue sa sœur qui lui reprochait le meurtre de son bien-aimé. Le procès qui suit donne lieu à un vibrant plaidoyer du vieil Horace, qui défend l'honneur

maudite de celles ci, les Tantalites (Tental le 1er de la lignée) Il a invité les Dieux à manger et il leur a servit un de ces fils. Il va être envoyer au Enfer, le supplice de Tental qui sera de ne pas pouvoir boire, ni manger. Atrée qui va suivre dans lignée, va donné les fils à manger à leur père, Thyeste. Il lui reste une fille avec qui sur ordre divin, il s'unit. Va naitre Egisthe Pour le messager, dire qu'il est sur "le toit des Atrides", donne une résonnance beaucoup plus grave de ce

de Minos et de Pasiphaé et descendante du soleil, est mariée à Thésée un grand roi grec qui a un passé glorieux. Thésée a un fils qui s'appelle Hippolyte. Hippolyte a hérité de beaucoup de qualités de son père, mais il a totalement refusé le sentiment amoureux pour ne pas ressembler à son père frivole. Dès le début de la pièce, on nous présente Phèdre comme suicidaire, prête à mourir. Oenone, sa confidente, ne le supporte plus et veut savoir pourquoi sa maîtresse est dans cet état. Elle la forcera

: Pour Coupeau, tout est question d'hérédité. Son père qui était zingueur comme lui, s'était écrabouillé la tête sur le pavé de la rue Coquenard, en tombant, un jour de fête par excès de boisson, de la gouttière alors qu'il travaillait. Lorsque coupeau est tombé du toit, il n'avait pas bu. Il ressent une grande injustice. Il trouve que cet accident n'aurais pas du lui arriver car il ne buvait pas et n'était pas fainéant. Il se souvient de son père qui a subit le même sort que lui. Cela le dégoûte

confidente, Oenone, la passion qu’elle a pour son beau-fils Hippolyte. Thésée meurt à la fin de l’acte. -Acte II : 6 scènes Lorsqu’Aricie dévoile ses sentiments à sa servante, Hippolyte entre en scène et dévoile à son tour ses sentiments. Phèdre va voir Hippolyte pour défendre les droits de son fils pou la succession de Thésée, elle déclare alors son amour à Hippolyte. -Acte III : 6 scènes Lorsqu’on annonce la mort de Thésée au premier acte, ceci n’est que mensonge, il est en réalité vivant

I : scène 1 : Dans cette première scène on retrouve un dialogue entre Père Ubu et Mère Ubu . Mère Ubu tente de convaincre Père Ubu a tuer le roi afin de prendre sa place. scène 2 : Toujours Père Ubu et Mère Ubu qui attendent des invités et s’apprête à manger. Scène 3 : Les invités sont arrivés, ils commencent à diner puis Père Ubu les renvoient pour pouvoir parler à Capitaine Bordure seul à seul. Scène 4: Père Ubu propose à Capitaine Bordure de le faire Duc de Lithuanie et donc ils

est anorexique. Cela n’a rien à voir avec sa découverte du journal de Jacques Desroches, il n’y a pas de rapport entre le trouble du comportement alimentaire de Emma, et la folie nazi au sein de sa propre famille. Emma va se servir de son corps famélique pour confronter son grand père à son passé de nazi. Emma est une jeune fille qui a eu du mal à passer de l’enfance à l’adolescence dans son rapport à son corps. Un petit ami depuis plus d’un an. Des rapports sans communication avec ses parents. Un

Philosophie Faut-il tuer le père noël ? Ne plus croire au Père Noël, c'est accéder au monde des adultes : la désillusion est largement compensée par la fierté d'être devenu grand. A ce titre, c'est un des derniers rites initiatiques de notre société. * Il faut laisser vivre le Père Noël ! Oui * Le Père Noël est un mythe, mais qui prolonge absurdement l'enfance. * C'est un abus de confiance qui prépare une cruelle désillusion dont tout le monde a été victime. * Il est l'expression d'une morale

l'Infante de Castille aime secrètement Don Rodrigue, mais ce dernier n'est pas d'un rang assez élevé pour qu'elle puisse l'épouser. Afin de cesser d'espérer, elle présente Don Rodrigue à Chimène, qui tombent amoureux. Don Diègue, père de Don Rodrigue, et Don Gomès, père de Chimène, sont d'accord pour qu'ils se marient, mais alors que Don Diègue se voit offrir le poste de précepteur du Prince, Don Gomès, jaloux, gifle ce dernier. Trop vieux pour se défendre par lui-même, Don Diègue demande à son

s'agit du duc en personne. Ils achètent son silence et repartent. Scène 2: - Dans la rue, au lever du jour. Plusieurs commerçants et bourgeois masqués sortent d'une maison illuminée. Ils commentent la situation politique de la ville. Il y a le père Mondella, un orfèvre qui déplore la décadence régnant dans la cité et qui critique Alexandre de Médicis, un bâtard dépravé et cruel dont les proches multiplient cynisme et outrages. Une femme, admirative devant les fenêtres éclairées, évoque avec envie