Mona Ozouf

historien, philosophe, humaniste, théologien et homme politique anglais. Chancelier du roi Henri VIII, il renonça à sa charge, et fut finalement condamné à mort en raison de son refus de reconnaître l'autorité religieuse que s'était arrogée le roi. Mona Ozouf, née en 1931, est une chercheuse française, philosophe de formation, qui s'est ensuite redirigée vers l'histoire et spécialisée dans la Révolution française. Mercier, est t-il un philosophe ? Ecrivains, philosophes qui veulent : - la liberté

au premier aperçu. (…) Il eût été inutile, dangereux même pour vous, de s’opposer au vœu général de la nation. […] Je conjure donc Messieurs de la Noblesse de ne point blâmer publiquement l’arrêté de l’Assemblée nationale […]. » D’après Furet et Ozouf, le nuit du 4 août est la « réponse parlementaire aux évènements »[3] de la Grande Peur (qui agita le royaume à partir du 20 juillet 1789.) L’Assemblée constituante, alors en pleines délibérations pour l’élaboration d’une constitution, et notamment

définit d’abord l’identité comme ce qui fait que je ne suis identique à aucune autre personne. Notre identité est faite d’appartenance multiples, l’identité ne ce réduit pas uniquement a la langue, a la religion ou bien a la culture Mona Ozouf s'interroge sur l'interaction entre l'héritage politique, culturel et familial dans la formation d'une identité individuelle. En outre, si la diversité culturelle est une réalité qui permet de dire la complexité de la société, elle est en même

 Chapitre 4 : Nous entrerons dans la carrière in La République des instituteurs, Jacques et Mona Ozouf I) « Voie royale », « petite porte » Deux voies pour devenir instituteur : 1) simple possession du brevet élémentaire = « petite porte » 2) par le concours, en accédant à la formation des Ecoles normales d’instituteurs, elle-mêmes couronnées par l’obtention du brevet supérieur = « le baccalauréat de l’enseignement primaire » = « voie royale » Ces deux voies entrainement donc la

Oubrerie, Aya de Yopougon, tome 4, Gallimard, 2008 Ahmed ABODHEMAN, La ceinture, Folio Gallimard, 2000 (prologue) Annie ERNAUX, La Honte, (pages 40 à 43), Gallimard nrf, 1997. Amin MAALOUF, Les identités meurtrières, 1998 (sujet annales 0) Mona OZOUF, Composition française, 2009 (sujet annales 0) Présentation de la démarche – Organisation de la séquence La première séance vise à susciter l’intérêt des élèves et à lancer leur réflexion. Elle s’appuie sur un premier texte déclencheur, extrait

âmes peuvent être renouvelées, « lavées », comme peuvent l’être les vêtements, passa du domaine de la religion à celui de la politique. C’est du moins ce qu’a brillamment affirmé dans ses nombreux écrits l’historienne française Mona Ozouf [1][1] Voir en particulier MONA OZOUF, « La Révolution française.... Ce point de vue est partagé par d’autres spécialistes de l’histoire culturelle, qui ont démontré à quel point le concept de « régénération », emprunté essentiellement à la théologie, imprègne le

Ladurie, auteur d’un article sur le Carnaval de Roman, 1579-1580, montre comment un carnaval, au moment de la fête du Mardi Gras, se transforme en violence, au travers des éléments politiques et sociaux. b) « Un transfert de la sacralité ». Mona Ozouf apporte une bonne analyse de ce concept. La foule se presse dans les églises, et cérémonies qui sont souvent associées avec la fête révolutionnaire. En 1793 on voit toujours des messes en pleine air, cela perdure dans les campagnes. On voit par

Bibliographie BERGERON Louis L’épisode napoléonien, tome 1 Aspects intérieurs, Seuil, Points Histoire, Paris 1972 BERSTEIN Serge, MILZA Pierre, Histoire de l’Europe tome 3 États et identité européenne XIVème siècle-1815, Hatier, avril 1994 FURET François, OZOUF Mona Dictionnaire critique de la Révolution française, article Bonaparte »Flammarion HAZAREESINGH Sudhir La légende de Napoléon, Tallandier Paris LE GALL Didier, Napoléon et le Mémorial de Sainte-Hélène. [...] [...] Cependant, par certains aspects

écoles congréganistes sont décrites dans le journal La République française  comme « les instruments de cette faction qui cherche à travailler l’esprit des enfants ». La lutte contre l’ignorance devient lutte contre le cléricalisme, pour la laïcité (Mona Ozouf). Il s’agit d’éviter que les prêtres modeler la cire tendre qu’est le cerveau des enfants. L’école doit éduquer l’enfant à l’amour de la patrie et de l’idéal du régime républicain, afin d’ancrer ce dernier et de le protéger des menaces populistes

puisqu’elle n’éradique pas toute forme de religion dans la société française. La déchristianisation est loin de faire l’unanimité et les pratiques héritées de la religion seront utilisées à des fins révolutionnaires. BIBLIOGRAPHIE FURET François, OZOUF Mona,_ Dictionnaire critique de la Révolution Française,_ Paris, Flammarion, coll. Champs, 1992. TULARD Jean, FAYARD Jean-François, FIERRO Alfred_, Histoire et Dictionnaire de la Révolution Française 1789-1799_, Paris, Robert Laffont, 1998. BERTHOUD