Monarchisme

Quelle alternative politique propose la monarchie ? C’est en effet une question qui mérite d’être posé en voyant cette petite communauté qui la revendique. Nous y répondrons en deux grandes parties. La première consiste à définir ce qu’est le monarchisme et les différentes formes de monarchies pour comprendre pourquoi elle est revendiquée, ainsi que le rôle du Roi dans la monarchie et sa légitimité. Ensuite dans la deuxième partie, nous analyserons cette opposition à la démocratie que les monarchistes

Le 5 janvier 1879 vient l’élection d’une partie des sénateurs et suite aux évènements de la crise du 16 mai 1877, la majorité devient républicaine. Le Président est donc face à des institutions républicaines alors qu’il est conservateur. ⦁ Le monarchisme est définitivement écarté de la scène politique ⦁ Le gouvernement, le sénat et la chambre des députés sont donc républicains, or le président Mac-Mahon est toujours légitimiste, c'est-à-dire conservateur et dans l’attente du retour à la monarchie

gauche, républicains, laïques et libéraux en économie, bien représentés par l'Alliance démocratique). – Ve République, le Gaullisme, foudres de l'extrême-D : principe d'autodétermination en Algérie → Perte des doctrines d'origine imprégnées de monarchisme et de catholicisme → Droite se républicanise et laïcise. /!/ Le Pen 2002, N. Sarkozy (sécurité immigration) /!/ Rôle majeur de la G : G originelle → D, D des origines → extrême-D. (xénophobe--> adhés° ultralibé US) CONCLUSION

importance après 1902. La conséquence la plus importante et la plus durable de l'affaire Dreyfus fut cependant la naissance en 1898 de la Ligue d'Action française qui est un mouvement politique français nationalist ed'extrême droite, converti au monarchisme orléaniste sous l'influence de Charles Maurras et de sa doctrine du « nationalisme intégral », dit également maurassisme. C'est une position antidreyfusardes, il développe une rhétorique réactionnaire et contre-révolutionnaire, tout à la fois antirépublicaine

nouvelle dimension Pour lui, ce tournant idéologique est lié à la défaite de 1871 et son impact intellectuel (« la crise allemande de la pensée française » H. Taine). C'est une période de bouleversements pour les droites avec l'effondrement du monarchisme et l'installation durable de la république. La France est marquées par différents événements importants comme l'affaire Dreyfus et la séparation de l'église et de l'Etat en 1905. Hilaire distingue trois nouveaux mouvements. Le nationalisme républicain

–qui va s’effacer avec le temps- et la monarchie mais est majoritairement républicain) puis la république radicale, en effet le peuple est maintenant majoritairement républicain radical mais il y a toujours de la république modérée ainsi que du monarchisme, de plus, un nouveau parti apparaît en 1898 : le socialisme. En 1820 on comptait une faible minorité d’électeurs qui n’a pas beaucoup augmentée jusqu'à 1848 où le peuple s’est soudainement mis à voter d’un coup ! à partir de cette période le nombre

gouvernement de trêve s’étaient ressaisis. II Une méthode de gouvernement inapproprié : Entre une pratique bonapartiste et monarchiste du pouvoir. Pour Léon Blum les projets de réforme de «  la machination  Doumergue-Tardieu »ne s’évadent du monarchisme que pour choir dans le bonapartisme. Pour le Président, qui pourtant disposait du brevet de Républicanisme du fait de sa participation au ministère Combes, il va à la fois mécontenter les parlementaires (par ses appels répétés aux peuples aux relents

faveur des Orléans, sans étudier la question de la légitimité) ou au principe du droit divin (auquel Maurras, agnostique, ne croit pas), contrairement aux royalistes traditionnels. C’est une construction rationnelle et cohérente, davantage un monarchisme qu’un royalisme. Pour lui, une restauration est possible par le biais d’un coup de force (préfet, général, ministre ou groupe résolu). Le climat est favorable aux idées maurassiennes, qui favorisent l’ordre et la hiérarchie même aux dépens de

ancienne famille normande, Jules Barbey d’Aurevilly baigne dès son plus jeune âge dans les idées catholiques, monarchistes et réactionnaires. Un moment républicain et démocrate, Barbey finit, sous l’influence de Joseph de Maistre, par adhérer à un monarchisme intransigeant, méprisant les évolutions et les valeurs d’un siècle bourgeois. Il revient au catholicisme vers 1846 et se fait le défenseur acharné de l’ultramontanisme et de l’absolutisme, tout en menant une vie élégante et désordonnée de dandy

intellectuels nationalistes opposés au régime parlementaire. Charles Maurras rejoint le mouvement en 1899 et devient rapidement le principal doctrinaire et le leader charismatique du groupe. L’originalité du mouvement est d’avoir su concilier le monarchisme -qui semblait condamné par l’évolution politique du temps- et un nationalisme autoritaire. Selon ses principes, le régime Républicain est irréformable parce qu’il est issu de la Révolution. Pour redresser la nation, il faut d’abord restaurer le