Monarchisme

plaquette éditée par le Ministère de la Culture et de la Communication, Mars 1987, n.p. 301 Ibid., 302 Denoit Nicole, Tome I, op.cit., p. 100. 303 Selon Nicole Denoit, « L’histoire de France, nation ancienne, montre, aussi bien dans la période du monarchisme absolu que dans le passage à un régime démocratique, son attachement à un centralisme étatique et sa confiance en un système où les institutions publiques ont un rôle essentiel », in Denoit Nicole, Tome I, op.cit., p. 109. Cependant, corrélativement

triomphale un peu contrariée par son air paisible, le vieux terrorisme fort réel du saint-office aux prises avec le terrorisme chimérique des libéraux ; les sans-culottes ressuscités au grand effroi des douairières sous le nom de descamisados ; le monarchisme faisant obstacle au progrès qualifié anarchie ; les théories de 89 brusquement interrompues dans la sape ; un holà européen intimé à l’idée française faisant son tour du monde ; à côté du fils de France généralissime, le prince de Carignan, depuis

tolérance. Cette dernière notion, prenons-y garde, n’a évidemment pas le contenu philosophique et moral que lui a assigné le siècle des Lumières : elle traduit au XVIe siècle une pensée pragmatique du compromis qui n’a pour but ultime que la paix. Le monarchisme, avec les « Politiques », l’emporte sur les passions religieuses. Henri IV s’appuie sur cette évidence de la raison d’État. Il le fait avec d’autant plus d’habileté qu’il se pose aussi en roi patriote. L’extraordinaire propagande qui le sert en

puissance d'argent essaya de se donner du prestige en l'empruntant aux classes féodales. Il en résulta, dans le régime politique, une curieuse fusion de la domination prosaïquement bourgeoise des intérêts d'argent avec les formes romantiques du monarchisme féodal. D'où l'imitation plus ou moins réussie des traditions aristocratiques chez les officiers, les fonctionnaires, les corporations estudiantines, et la manie des titres et des décorations. Tout cela fit du bourgeois allemand un mélange de muflerie

a few writers like Jules Vallès and Rimbaud actively sided with the Commune, literature was invaded by ideas and writers became publicists in the intense debate which set Progress, the goal of science and positivism, against the Order defined by monarchism and the Church. By the 1890s, novelists in particular were filling the ranks of what, after 1898, would be called ‘intellectuals’. Léon Bloy (1846–1917), anticipating a new Catholic revival, denounced the materialism of society, Maurice Barrès (1862–1923)