Mondes rebelles

Un programme politique, économique, social, moral : chaque dimension est décrite, rien n'est laissé au hasard. Tout y est planifié et prévisible : ce conte ne se veut pas réaliste, il sert à donner des pistes de réflexion, « dans le meilleur des mondes possibles et imaginable » (cf. Candide et Pangloss). B. Mais qui sert de prétexte à l'énonciation de principes humanistes L'intérêt attaché à la personne humaine : on recherche son bonheur, son bien-être, et l'harmonie de la société en est le but

Cunégonde "n'oubliant jamais Melle Cunégonde". CONCLUSION: Le chap. 3 de Candide est un passage qui constitue à la fois un épisode douloureux qui confronte le héros aux problèmes de la guerre,la révélation de l'apparition du mal dans le meilleur des mondes et le témoignage de Voltaire qui est de combattre toutes les formes d'atteintes aux droits de l'hommes. Il collabore ainsi avec le mouvement des Lumières qui dénoncent la guerre comme une barbarie qui est contraire aux progrès de la civilisation.

le passage avec le nègre de Surinam dans Candide où si on le prend au pied de la lettre alors le noir à mériter sont sort et il est a son maître. Ou encore lorsque dans Candide, Pangloss dit que tout s'est passer pour le mieux dans le meilleur des mondes alors que normalement cette histoire devrait reflété les vices de la société. Puis le lecteur passionné par l'histoire peut ne pas voir la morale ou l'enseignement voulu et peut donc passer à côté sans tirer aucune leçon de ces histoires. Il se

enfantin par excellence). Leur seul but semble être « celui de faire tout le mal possible ». Nous pouvons y voir une pointe contre la philosophie de Leibniz illustrée par le docteur Pangloss de Candide : « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Elle est donc faite de brutalités et est montrée comme une sorte de jeu. Un jeu montré comme une parade : chaque participant revêt quelques attributs militaires comme un chapeau ou un habit de drap, ensuite ont lieu les manœuvres, « tourner

Pangloss fut pendu, quoique ce ne soit pas la coutûme. Le même jour la terre trembla de nouveau avec un fracas épouventable. Candide, épouvanté, interdit, éperdu, tout sanglant, tout palpitant, se disait à lui-même: « Si c'est ici le meilleur des mondes possibles, que sont donc les autres ? Passe encore si je n'étais que fessé, je l'ai été chez les Bulgares. Mais, ô mon cher Pangloss ! Le plus grand des philosophes, faut-il vous avoir vu pendre sans que je sache pourquoi ! Ô mon cher anabatiste,

modèle de vie communautaire dans la Grèce antique, l’île idéale d’Utopia de Thomas More en 1516, Le Surhomme de Nietzche, qui fut repris dans les années 30 par des antisémites et interprété dans un sens évolutionniste par les nazis, le meilleur des Mondes d’Aldous Huxley avec son contrôle des naissances et la division par caste des fœtus, 1984 de Georges Orwell et son Big Brother, et tant d’autres encore… * Utopies Artistiques : avec le Dadaïsme, ce mouvement intellectuel, littéraire et artistique

aucune réalité. b. La thèse de Pangloss « je crois » = intervention directe => doute sur la réalité décrite. Les phrases de Pangloss amènent à des fausses logiques « le château des châteaux, parce que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles » lien causes consequence sans preuves => Voltaire critique la philo optimiste c. Les illustrations de la thèse Ex de Pangloss au style direct proposant quelques ex aberrants « remarquez bien… » demo de 10 lignes avec une

satire p philosophique et sociale. Introduction Voltaire (1694-1778), conte philosophique, 1759. Fait partie du siècle des lumières. Dans ce début de chapitre 1 de Candide, Voltaire donne l'image du meilleur des mondes possibles. C'est l'incipit du conte, et il a pour fonction de présenter les personnages, le contexte, la situation initiale. Cela se fait par petits paragraphes successifs, correspondant à peu près chacun à un personnage; le chapitre est clôt par

pour pas qu’il soit poursuivi. Pangloss est un beau parleur («tout en langue ») est l'oracle du château de Thunder-ten-tronck en Westphalie : à longueur de journées il enseigne, selon Leibniz, que « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles». Pour moi, cette phrase me fait comprendre que quoi qu’il se passe, (guerres, morts, épidémies) ou autres problèmes, il faut considérer que le monde est le meilleur. Pour le chapitre 8 : Cunégonde raconte à Candide comment, après

filles « éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros », de « cervelles […] répandues sur la terre » et de « bras et jambes coupés », il veut avant tout prouver que le monde dans lequel il vit est loin d’être le meilleur des mondes.