Monétarisme

sur la conduit ou non d'un pol monetaires et dans une seconde partie nous analyserons les confrontation empirique de ces théories Partie 1 ) Clivage théorique sur l'utilisation de la politique monétaire a) de la théorie quantitative au monétarisme : la politique monétaire doit etre minimale Il est intéressant de noter que les premiers économistes à avoir recherché les causes de la hausse des prix furent tentés par l'explication monétariste. Ce fut le cas de Jean Bodin qui au 16 eme

critique de Friedman, pense que ce dernier se trouve en simultané dans deux situations différentes. Une au sein de la profession économique, où il était tout à fait sensé, et une autre lorsqu’il écrivait dans le Newsweek en raisonnant en termes de monétarisme dur. En réagissant à cela, Solow à écrit que la courbe de Philips verticale à long terme ne pouvait se vérifiait à long terme, et que donc tout était une question de durée réelle de ce long terme. Cependant après cela, la stabilité de la courbe

fois anticiperont une forte inflation future. Ces politiques font face à ce que les nouveaux classiques appellent « l’incohérence temporelle des politiques optimales ». Si la nouvelle économie classique reprend à son compte les hypothèse du monétarisme (prix flexibles, chômage naturel, économie à l’équilibre…) elle n’en constitue pas moins une radicalisation des thèses développées par Friedman. C)Les effets désincitatifs de l’intervention étatique de l’école de l’offre - Laffer met en

puissances économiques qui forment une institution : G7. Ces pays n’adoptent pas une logique autarcique. Le cycle des négociations du GATT (rounds) se poursuit. B/ Le blitzkrieg des monétariste 1/ Les théories monétaristes a/ Monétarisme Les autorités monétaires peuvent contrôler l’évolution de la masse monétaire. C’est un retour aux théories classiques, aux luttes contre l’inflation et contre les déficits budgétaires. Donc, on ne doit pas émettre trop de monnaie. C’est le contre

années 80 le niveau de chômage est plus élevé en France que dans l’Angleterre conservatrice. Ce que Margaret Thtacher se plait à souligner. En Espagne, le PSOE n’a jamais cherché à mettre en œuvre une politique keynésienne ou redistributive. Le monétarisme est aux commandes. Lié au capital financier et favorable aux privatisations le gouvernement de Felipe Gonzales reste serein par rapport au chômage qui atteindra 20% à la fin des années 80 ! La vague néo-libérale va déferler au sud C’est la Banque

l’économie n’y est généralement pas approfondi. Il existe certes de nombreux articles abordant cette problématique, avec cette théorie, mais la plupart concluent que la monnaie n’a pas, ou très peu, de rôle dans les dynamiques économiques. Slide 4 : Monétarisme (Friedman, Brunner, Meltzer...) Pourtant, lorsque les ménages réallouent leur portefeuille d'actifs, le comportement de la demande d'encaisse réelle induit des ajustements des prix relatifs des actifs réels et financiers, ce qui entraine un changement

Ce qu'on appelle le "keynésianisme" s'est imposé comme vision dominante des économies et des manières de les gérer dans les trente années d'après-guerre, avant d'être remis en question et battu en brèche par les divers avatars du néolibéralisme: monétarisme, économie de l'offre, nouvelle macroéconomie classique. Comme l'indique cette dernière appellation, il s'agit de revenir à l'approche théorique que Keynes avait critiquée et combattue de son temps et qu'il avait baptisée "économie classique". L'efficacité

monnaie étrangère. On parle aujourd'hui de « dollarisation » de la monnaie. Il est donc important de contrôler l'évolution de la masse monétaire. A)La théorie quantitative de la monnaie => thèse monétaire L'école monétariste ou encore le monétarisme est un courant de pensée économique néo-classique, dont le chef de file M.FRIEDMAN (prof Université de Chicago), inspirateur du programme économique de R.REAGAN et accessoirement d'A.PINOCHET. Il renouvelle à la fin des années 70 la théorie quantitative

l’économie et les conflits de répartition. Selon les rapports de force, une spirale inflationniste se met en place  les causes de l’inflation sont réelles et non monétaires III)Le néo-quantitativisme et la neutralisation de la monnaie A)Le monétarisme Il se développe dans les 50’s mais s’impose dans les 70’s : en 1979, Paul Volcker dirige la FED (c’est un monétariste convaincu), M.Thatcher a des conseillers monétariste, et on en retrouve au FMI ainsi que dans les pays cherchant à se développer

des anticipations en économie | Par Thomas Jaeck, Michel Alexis, Barthélémy Duthoit et Elfège Leylavergne Avec l’aimable contribution du Pr. Chiappori, (Université Columbia, New York). La chute des anciens modèles économiques, l’avènement du monétarisme et l’augmentation des incertitudes théoriques liées aux rapports d’anticipation entre les sphères politiques et économiques, vont donner naissance à un nouveau paradigme scientifique en économie qui se situe au fondement même des statuts de la plupart