Monétarisme

l’accroissement de son niveau de vie. Friedman en sa qualité de monétariste recommande une règle de croissance de la masse monétaire en disant que celle-ci doit croitre au même rythme que le produit réel. 2.1.2) La NEC et l’approfondissement du monétarisme. Parmi les leaders de la NEC on avait cité Robert Lucas, Muth, Sargent, Wallas, Prescott, et Kydland. Ces auteurs dans ces analyses renouent avec l’approche dichotomique. Pour eux, la monnaie reste neutre même à court terme, ce qui implique que

objectif. D'une certaine manière, la banque centrale renonce à l'indépendance de sa politique monétaire : elle est soumise au triangle des incompatibilités.        Le ciblage de la croissance des agrégats monétaires : À la suite du développement du monétarisme dans les années 1970, certains pays ont adopté une politique monétaire basée sur un ciblage de la croissance des agrégats monétaires. La masse monétaire, dans une optique monétariste, doit croître au même rythme que le produit national. Si la masse

développement de l’économie libéralise son idée est surtout le critique du rôle de l’état(considéré comme bureaucratie de trop) c’est aussi dans cette voie que s’instruit Friedman qui lui c’est imposé dans les année 60-70 comme le porte parole courant monétarisme , il est donc la contre révolution keynésienne, il prône un retour a la proéminence su marché, critique l’interventionnisme croissant de l’état et insiste sur le rôle de la monnaie, s’inscrivant dans le prolongement de la théorie quantitative formulé

crédit ne se traduit pas par un accroissement équivalent de masse monétaire. * Les entrées de devises augmentent aussi la masse monétaire. * Quel est le rôle de cette masse monétaire sur l’activité économique ? * La théorie quantitative/Le monétarisme de Friedman * La théorie keynésienne | La masse monétaire Définition : Est la quantité de monnaie en circulation dans l’économie. Elle représente le volume de monnaie possédé par les agents d’une zone géographique donnée. Régulation

de certains pays en développement (EX : le Chili) appliquent les principes monétaristes : à savoir le contrôle de la progression de la masse monétaire. Le débat avec les post-keynésiens (Galbraith, Barrère...) n'est pas pour autant clos car le monétarisme n'est pas exempt de critiques et, à l'évidence, il n'a pas permis de sortir les pays capitalistes de la crise. LIVRE DE REFERENCE : Inflation et systèmes monétaires, 1968. è L’analyse keynésienne ou la justification de l’intervention des pouvoirs

niveau général des prix. Conformément aux enseignements de la théorie quantitative de la monnaie Keynes montre que lorsque le plein emploi est réalisé les prix varient proportionnellement à la quantité de monnaie. B)La politique monétaire, le monétarisme et l’école néo-classique. La théorie quantitative de la monnaie qu’elle soit formulée selon l’approche de Fischer ou celle de Friedman sous tend la même hypothèse de la neutralité de la monnaie. Cette hypothèse a été reprise et systématisée par

de l'émancipation du prolétariat. En 1844, il se lia avec Marx et ensemble ils écrivirent la sainte famille, l'idéologie allemande et le Manifeste du parti communiste (1848). | Favereau et Thévenot | | | Friedman | monétarisme | Économiste américain (1912), il s'est attaché à démontrer que les fluctuation de l'activité économique dépendant non pas des variations de l'investissement, ainsi que l'affirme Keynes, mais celles de l'offre de monnaie. Rétablissant ainsi

classe politique. D’un point de vue économique on constate également un changement de position des économistes. Ainsi dans les lauréats du prix Nobel d’économie, on trouve Friedrich Von Hayek (1974) fervent défenseurs de l’école de Vienne, du monétarisme -donc de l’abandon de l’étalon or-, et de la banque libre (aucun contrôle des autorités politique et monétaire sur les banques=> les banques payent eux-mêmes les conséquences de leurs actes). On trouve également un autre économiste Milton Friedman

une conception limitée à l’objectif de stabilité des prix. En effet, le phénomène de stagflation (coexistence de l’inflation et du chômage), a sonné le glas des politiques économiques d’inspiration keynésienne inaugurant ainsi la prééminence du monétarisme en tant que cadre théorique de référence des politiques économiques. C’est ainsi que dans la plupart des pays, la politique monétaire se voit assigner la stabilité des prix comme objectif principal. Cette évolution de conception a été observée

phénomène de la stagflation a nécessité une remise en cause certaines approches de la théorie keynésienne La crise des années 70 n’a pas pu être résolue par les politiques de relance keynésienne. Un nouveau courant de pensée économique « le monétarisme » a proposé une nouvelle approche de régulation qui consiste en deux axes : la politique monétaire restrictive et la libéralisation économique et financière à travers la déréglementation et la privatisation. Mais ce processus de libéralisation