Monétarisme

sont partisans d'une politique de règle : il s'agit de se fixer des objectifs de moyen ou LT de croissance de la masse monétaire et de s'y tenir. Même si l'origine de ce type de politique remonte aux mécanismes de l'étalon-or, c'est surtout au monétarisme de Friedman qu'on la voit. Au contraire, la politique discrétionnaire tient compte de la conjoncture et de l'inflation. Elle a un objectif à LT, mais c'est un objectif réel, et elle agit au coup par coup dans le domaine monétaire, en fonction du

structurelle de l’équilibre extérieur ; le poids des prélèvements obligatoires, qui réduit les revenus au fur et à mesure qu’ils se forment sous l’impulsion publique. Certains courants théoriques, issus des analyses néo-classiques, tels que le monétarisme, l’école des anticipations rationnelles ou l’économie de l’offre, cherchent à démontrer l’inefficacité, voire même le caractère nuisible de toute politique budgétaire conjoncturelle. Les arguments développés se cristallisent autour du thème de l’effet

statut d’État gendarme à celui d’État-providence, du moins jusqu’aux années 1970, date à laquelle la « main visible »[2] de l’État a commencé à être contestée par ce qu'on a pu appeler la Révolution conservatrice, en particulier sous les assauts du monétarisme et du néolibéralisme. Les 3 fonctionnes économiques de l’état * allocation * Redistribution * Stabilisation L'économiste américain Richard Musgrave[11] définit trois fonctions économiques de l'État dans la Théorie des finances publiques:

Capitalisme (242) Libéralisme (227) Marché Obligataire (1308) Marchés Financiers et Boursiers Actions (1395) Matières Premières (674) McKinsey Global Institute (20) Mister Market and Doctor Conjoncture (13) Mon Banquier est Central (2138) Monétarisme (476) Mondialisation (484) Moody's (31) Morningstar (21) Moyen Orient (10) New Normal (8) Normes Comptables et Règles Prudentielles (435) NYT (70) NZZ (20) OCDE (11) OPCVM et Gestion Collective (112) Pays Emergents (443) Argentine (1)

Keynésien. Pour les économistes néoclassiques et libéraux qui va leur permettre de « reprendre la main ». Le plus célèbre et le plus influant d’entre eux s’appelle Milton Friedman, néoclassique de l’école de Chicago, critique Keynes. On le nomme « monétarisme ». D’après Friedman : La courbe de Phillips est fausse, il n’y a pas de lien entre le chô et l’inflation. On ne peut lutter efficacement avec le chô par des politiques de relance Keynésienne. Par contre on peut lutter contre l’inflation sans effet

keynésiennes misent en œuvre pour sortir de la crise contemporaine activera ce regain d’influence. Dans les 1960’s, l’économie qui domine est celle de KEYNES mais elles ne permettent pas de pallier aux crises 2°/ La contre-révolution libérale le monétarisme : la NEC l’école de l’offre le public choice ces 4 courants font partis de la pensée libérale : l’Etat devient le pb a résoudre mais leur angle d’attaque est différent Les controverse opposant M. Friedman à Keynes Friedman est le chef de

liquidité alimentant bulles spéculatives) ; i directeurs BCE non influencés par par variations MM ni par i directeurs FED, ie variables monétaires secondaires /variables réelles (en premier lieu infl° et croissance anticipés dans Euroland) => pas de monétarisme BCE (selon méthodes statistiques) ; => pas d’opposition BCE/FED : les 2 prennent en compte conjoncture + maîtrise inflation !; cf. 1999-2006 : i réel sur € à 3 mois : 1% (vs 2,5% pour 1975-2006 pour Allemagne) ; < politique relativement prévisible

des faveurs de la bourse parce qu'il procède à de nombreuses acquisitions sans lien entre elles sont en général temporaires : tôt ou tard, la bourse fera les comptes et la valeur boursière s'ajustera à la valeur rélle des actifs sous-jacents. monétarisme (école monétariste) Friedman école de pensée qui s'est développée à la suite des travaux de M. Friedman. Dans la ligne des néoclassiques, considère que l'économie est intrinsèquement équilibrée sauf si elle est perturbée par une croissance

Mais sur d'autres points, leur impact peut être considéré comme plus douloureux. Un premier élément est la politique de Paul Volcker qui a entraîné une brutale contraction de l'activité des pays du Nord fait exploser le chômage. Deuxièmement, le monétarisme en rendant le dollar rare et cher, entraîne la crise de la dette. Troisièmement, les keynésiens insistent sur l'impact social catastrophique du néolibéralisme. Le chômage continue sa progression alors que les politiques de protection sociale baissent

récents travaux menés par les nouveaux keynésiens, notamment George Akerlof, ont montré le besoin d'une économie à avoir un taux d'inflation suffisamment élevé pour permettre aux entreprises d'ajuster le salaire réel en fonction de la conjoncture. Monétarisme [modifier] Le courant monétariste, d'inspiration libérale, a été initié par l'économiste américain Milton Friedman, « prix Nobel » d'économie 1976. Les monétaristes voient la monnaie comme élément neutre de l'économie à long terme, cette dernière