Monétarisme

politiques peuvent s’inspirer des théories économiques. En effet, les dirigeants économiques prennent la plupart de leurs décisions en référence à des courants théoriques. Ainsi, la théorie keynésienne a conduit aux politiques de relance, le monétarisme à la rigueur monétaire. Le renouveau néoclassique a inspiré de nombreuses politiques libérales au cours des années 80. Plus particulièrement, le reaganisme (politique économique suivie par Ronald Reagan aux États-Unis d’Amérique entre 1981 et

siècle avec L Walras a été dominante jusqu’à la crise des subprimes de l’automne 2008 . * Elle raisonne en terme de marché de CPP et d’équilibre et opte pour l’approche abstraite et déductive. Les principaux courants sont le marginalisme, le monétarisme, l’économie de l’offre, les nouveaux classiques. * Pour ce courant le progrès technique est exogène. Autrement dit, il est extérieur comme tombé du ciel et sans que sa venue soit expliqué. Cf le perroquet de Robinson * Pourtant, il expliquerait

- La modernisation des techniques de production, grâce notamment à l’électronique, et restauration de la rentabilité du capital s’imposent comme les conditions de la sortie de crise. - Le retour du libéralisme basée sur le monétarisme affirmant que la monnaie joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de l’économie. - L’intervention de l’Etat se limite pour l’essentiel à la régulation de la masse monétaire dans le but de juguler l’inflation. - Plusieurs

123-133. Hayek F.A (1935) Prices and Production, 2nd Ed. London: Routledge. Jolink A. (1994) « Les «marée économiques»: Léon Walras et la conjoncture », Economies et Sociétés vol 28, n° 10-11, p 183-195. Kindleberger C.P (1980) “Keynesianism vs. Monetarism in Eighteenth- and NineteenthCentury France”, History of Political Economy, vol 12, n° 4, p 499-523. Kindleberger C.P (1985) A Financial History of Western Europe, London: George Allen & Unwin. Link R.G (1959) English Theories of Economic Fluctuations

économique de la Bétique se fonde sur une espèce de monnayage féodal, primitif, sur un échange direct de biens, ce qui implique un surplus de matières premières ou bien de produits agricoles. Mais il y a une autre explication pour comprendre l'anti-monétarisme proclamé par ce peuple. Le roman de Fénelon est aussi, nous l'avons dit, un récit de voyage et d'aventures. Or, le XVIIème siècle est profondément marqué par les grandes découvertes maritimes. La ruée vers l'or en Amérique du Sud, la barbarie des

restructurations subséquentes en Belgique et montre bien ses enjeux. 10 6 REGARDS ÉCONOMIQUES De l’État providence à l’État social actif : quelles mutations sous-jacentes ? ... De la crise des années 70 à celle de l’État providence monétarisme et les politiques de l’offre se généralise. La suppression des entraves à la mobilité des capitaux, qui culmine avec le marché unique européen (1992), accélère la dérégulation financière et limite l’autonomie des politiques monétaires, là où les

: politique du “Stop and Go” qui va permettre une croissance continue. Mais ce sytsème a ses limites: au milieu des années 1970, ce système marche moins bien ce qui entrainera le retour à des fondamentaux (école néo libérale). Le retour du monétarisme. -Milton Friedman (1912-2006): il veut revenir à des idées simples, ce n’est pas le marché qui fait l’économie, la production doit toujours correspondre à la vérité de l’activité économique. Il ne faut plus qu’il y est de déficites, l’état doit

Des récents travaux menés par les nouveaux keynésiens, surtout George Akerlof, ont montré le besoin d'une économie à avoir un taux d'inflation suffisamment élevé pour permettre aux entreprises d'ajuster le salaire réel selon la conjoncture. Monétarisme Le courant monétariste a été initié par l'économiste américain Milton Friedman, «prix Nobel» d'économie 1976. Analysant lui-aussi la grande dépression, Friedman estime qu'elle est due à une expansion déraisonnable du crédit, qui a génèré une bulle

anticipée : on dit alors qu’elle est discrétionnaire (par opposition à automatique). La théorie des anticipations rationnelles (ou nouvelle économie classique) pose de nombreuses questions et met le doigt sur les faiblesses du keynesianisme et aussi du monétarisme des années 60 et 70 ; elle n’est pourtant pas sans faiblesses : - elle étudie souvent des cas d’école trop simplifiés, modèles suggestifs mais description trop lointaine de la réalité ; - l’hypothèse de marchés toujours en équilibre semble outrée

gains de productivité. - La modernisation des techniques de production, grâce notamment à l’électronique, et restauration de la rentabilité du capital s’imposent comme les conditions de la sortie de crise. - Le retour du libéralisme basée sur le monétarisme affirmant que la monnaie joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de l’économie. - L’intervention de l’Etat se limite pour l’essentiel à la régulation de la masse monétaire dans le but de juguler l’inflation. - Plusieurs projets ont été désengagés