Monétarisme

GF qui recommencent et alourdissent le climat économique. C_ Le retour en force du libéralisme économique 1) La révolution néolibérale de 1979-80 Ecole de Chicago avec Friedman. →Principaux fondements de cette économique néolibérale : -monétarisme = l’Etat doit limiter son intervention à une gestion rigoureuse de la création monétaire -économie de l’offre = en opposition à l’économie de la demande keynésienne →il faut jouer sur l’offre pour eux ; donner la priorité à la production en diminuant

(1912-2006), prof d’économie à l’université de Chicago, prix Nobel d’économie en 1976 pour ses travaux sur la consommation et la monnaie. C’est aussi un conseiller des présidents américains (Nixon, Carter et Reagan). C’est le père du courant appelé « monétarisme ». Le 2nd est né en Italie en 1918, il va être naturalisé américain, professeur au MIT, prix Nobel d’économie en 1985 pour ses travaux sur l’épargne et les marchés financiers. Il est décédé en 2003. Sa théorie est celle du cycle de vie.

conservateur. Au lieu de favoriser la demande, on passe à une éco de l’offre en améliorant les capacités de production. Bilan contrasté : le premier gvt Reagan fait repartir l’économie de certains secteurs, le second gomme les excès idéologiques du monétarisme de Friedmann. Bush continue la dérèglementation jusqu’au krach de 1987, l’Etat devient plus attentif à l’économie mais ne subventionne pas. * Acteurs Relativement nombreux, ce qui explique une certaine incohérence de la politique américaine

pensée Marxiste. Elle est caractérisée par la lutte des classes. Les capitalistes sont des exploiteurs car ils détiennent les moyens de productions, par opposition aux prolétaires qui sont exploités car ils ont juste la force du travail. D. Le monétarisme. C’est un terme apparu à la fin des années 60 pour qualifier un courant de pensé éco. pour lequel l’action de l’Etat en matière monétaire est inutile voir nuisible. Friedman a cherché à rétablir la théorie quantitative de la monnaie contre la

d’indépendance. » « Le taux d’intérêt est un instrument efficace comme en témoigne l’influence sur l’économie réelle des politiques monétaristes lorsqu’elles sont menées avec force et constance. C’est ce que N. Kaldor dénonce comme « le fléau du monétarisme ». … « Pour les post-keynésiens, cet instrument efficace doit être donc manié avec prudence. » « La Banque Centrale ne dispose donc que de deux instruments de politique monétaire : la quantité de crédit et le taux d’intérêt, fonctionnant comme

interventions publics seul efficace pour assurer la formation des travailleurs, la R&D pour la mise en place des infrastructures. *Le renouveau libérale des anneés 80, ce courant à donner plusieurs caractéristique, il y en aura trois : ¤ Le monétarisme de Fridman, prix nobel d'économie en 1976, accuse l'interventionisme de tout les maux, il préconise un système de change flottant à l'extérieur et un contrôle quantitatif de la monnaie à l'intérieur car les dérives déflationniste (1929 par exemple)

Reagan (1981-1989), puis de George Herbert Walker Bush (1989-1993), les valeurs conservatrices sont remises à l'honneur, comme la morale puritaine. En économie, Reagan suit un programme néolibéral inspiré en particulier par l'École de Chicago (monétarisme de Milton Friedman), tempéré par un creusement considérable des déficits publics. Les interventions extérieures se développent : à l’extérieur, ils abandonnent la détente, dénoncent l’Union soviétique comme « l’empire du mal » (lors d'une convention

DEFLATION. Les monétaristes ont tenté de prouver que les augmentations de la masse monétaire avaient très souvent précédé des périodes d’inflation ce qui, à leurs yeux, permettaient de valider cette théorie quantitative de la monnaie. Le monétarisme. Ce courant considère que l’inflation est toujours et partout un phénomène purement monétaire. L’augmentation des prix est proportionnelle à l’augmentation de la masse monétaire. Les monétaristes préconisent l’abandon des politiques monétaires

"Études sur la théorie quantitative de la monnaie" ; 1957, "Une théorie de la fonction de consommation" ; 1963, avec Anna Schwartz, "Une histoire monétaire des États-Unis" où, s'appuyant sur un important matériel statistique, il jette les bases du monétarisme ; "Capitalisme et liberté", où il prône le retour à une économie de marché au sens strict. Il a fondé l’école de Chicago, "les monétaristes " et figure donc à l'origine du néo-libéralisme économique. Il a obtenu le prix Nobel en 1976. La théorie

l'enseignement laissé par Keynes. Pour éviter le retour d'une telle situation, les rédacteur du traité de Maastricht (annexe : protocole sur les statuts de l'Institut monétaire européen) et ceux du statut de la BCE ont suivi les enseignements du monétarisme. Banque centrale européenne 15 Voir aussi Bibliographie • Milton Friedman, 1968, Inflation et systèmes monétaires, l'édition utilisée est celle d'Agora 1991. • Eric Dehay, « La Justification ordo-libérale des banques centrales », dans Revue