Monétarisme

une concurrence généralisée entre les firmes et les Etats, 2°/ une intégration des nations dans un espace économique mondial qui échappe en partie aux régulations étatiques nationales, 3° / des TIC qui accélèrent la dissolution des frontières. MONÉTARISME : courant de pensée économique d'inspiration libérale qui privilégie le rôle de la monnaie comme variable explicative de l'inflation. L’auteur fondateur était Milton Friedman (1912-2006). MORATOIRE (de la dette) : décision légale suspendant provisoirement

Zadeh, Ponsard,… = hypothèses réalistes (imperfection de l’information + études socio-psychologiques) + analyses économiques originales (mariage, vote, crime…) ⎝ Le laissez-faire : Monétarisme + nouvelle macroéconomie classique + Ecole du Public Choice font apologie du libéralisme. A) Triple message du monétarisme : 1° fluctuations du stock de monnaie régissent mouvements conjecturels 2° Inflation est un phénomène monétaire 3° Toute politique dirigiste est nocive, provoquant une socialisation rampante

récents travaux menés par les nouveaux keynésiens, notamment George Akerlof, ont montré le besoin d'une économie à avoir un taux d'inflation suffisamment élevé pour permettre aux entreprises d'ajuster le salaire réel en fonction de la conjoncture. Monétarisme [modifier] Le courant monétariste, d'inspiration libérale, a été initié par l'économiste américain Milton Friedman, « prix Nobel » d'économie 1976. Les monétaristes voient la monnaie comme élément neutre de l'économie à long terme, cette dernière

externe. Le modèle IS/LM constitue le cadre théorique par excellence qui a servi à étayer la théorie de Keynes. Si la pensée keynésienne a dominé la scène durant les Trente Glorieuses, elle a aussi suscité une vive opposition. Milton Friedman et le monétarisme ont soutenu que l'action de l'État notamment en matière monétaire est inutile, voire nuisible. Au fil des ans, la compréhension du cycle économique s'est diversifiée dans plusieurs écoles, liées à ou opposées au keynésianisme. La jonction sera

Mundell, Robert Solow ou encore Edmond Malinvaud en France. Il convient de ne pas confondre ce courant avec celui des nouveaux keynésiens et les post-keynésiens. Les monétaristes[modifier] Article détaillé : monétarisme. Au début des années 1960, plusieurs économistes menés par Milton Friedman (chef de file de l'école de Chicago) tentent de relancer la théorie quantitative de la monnaie mise à mal par les analyses keynésiennes. Étudiant le cas américain

d’un poids excessif des prélèvements obligatoires et pression à la baisse du coût du travail, remise en cause des systèmes de protection sociale, des services publics, risque de dumping social et fiscal,… peu favorables au soutien de la demande) ; monétarisme de la BCE qui privilégie la lutte contre l’inflation avec des tx d’intérêt réels encore élevés même s’ils ont pu être réduits ; l’épargne reste élevée au détriment de la demande ;… B la zone € n’est pas une zone monétaire optimale : les Etats n’ont

». PUF.Paris. - LEHMAN, P.J. (1988). « Manuel d’Economie Monétaire ». NATHAN SUPERIEUR ECONOMIE. Paris. - GOUX, J.F. (1993). « Economie monétaire et financière ». Théories, institutions, politiques. ECONOMICA.Paris. - HENRY, G. M. (1998). « Le monétarisme ». ARMAND COLIN.Paris. - GALBRAITH, J.K. (1975). « L’argent ». Idées / Gallimard. Paris. - MOURGUE (de), M. (1990). « La monnaie système financier et politique monétaire ». ECONOMICA. Paris. - BRAMOULLE, G. & D. AUGEY (1998). « Economie monétaire

de la politique monétaire: l'autonomie de la politique budgétaire, la stabilité du change, la libre circulation des capitaux. La politique monétaire n'est plus autonome car ses objectifs internes sont contraints par ses objectifs externes. 1. Le monétarisme orthodoxe Défendu par Milton Friedman (1912-2006), le raisonnement tient en trois propositions: ● l'inflation est le mal absolu ● elle est toujours un phénomène monétaire (excès de création monétaire par rapport à celle des biens: théorie quantitative

l’art et ambition de l’étude Pour autant, quels sont les effets habituellement attendus de la politique monétaire ? Dans un contexte où la neutralité de long terme de cette dernière est largement reconnue au plan théorique depuis les apports du monétarisme, une augmentation du taux d’intérêt doit correspondre à une réduction temporaire du produit et une diminution graduelle mais persistante du niveau général des prix. A long terme, la politique monétaire n’a pas d’impact réel, seules les variables

Jean-Pierre Potier, Histoire de la pensée économique [1] • (en) How Rich Nations Got Rich, ... and Why Poor Nations Stay Poor de Erik Reinert • (en) Gianni Vaggi et Peter Groenewegen, A Concise History of Economic Thought: From Mercantilism to Monetarism. New York, Palgrave Macmillan, 2003. • (en) Charles Wilson, Mercantilism. Londres, Historical Association, 1966 Articles connexes [modifier] • Étatisme • Protectionnisme • Colbertisme • Bullionisme • Caméralisme