Monnaie athénienne

l faut tout dire ou il ne faut rien dire. Je n’ai pas trop envie de me refendre d’une étude complète comme avec kalki sur la démocratie directe alors je vous livre les points les plus cruciaux. Le pouvoir réel dans la démocratie athénienne était détenu par périclès. Plutarque affirme que son pouvoir dépasse celui de beaucoup de rois et de tyrans. Beaucoup de décisions dans la cité était à son initiative et était systématiquement suivi. Les assemblées sont dominées par de brillants orateurs

de critères censitaires) -> la réforme de l’archontat A partir de 487/6 : les archontes sont tirés au sort ds chaque tribu (parmi les membres des deux 1ères classes censitaires, donc parmi les 100 plus riches) * les classes censitaires athéniennes : Pentacosiomédimnes Revenu > à 500 médimnes Hippeis (cavaliers) Entre 300 et 500 médimnes zeugites Entre 200 et 300 thètes En-dessous II. l ‘évolution intérieure d’Athènes après les gueres médiques. A ) les clivages politiques

Salamine ». C’est dans ce contexte que se met en place la démocratie Athénienne en prenant la ligue de défense. Cependant ce n’est pas une démocratie universelle puisque que l’on constate desexclusions ; femmes, enfants métèques, esclaves. Il est ainsi difficile de devenir citoyen athénien ceux-ci ne représentent que 10% de la population 1/10 totale. Nous verrons tout d’abord quels sontles conditions pour devenir citoyens athéniens, d’autre part nous verrons l’exclusion des femmes et enfants dans la

pouvoir politique. C’est de lui que vient la légitimité. La démocratie ne suppose pas que tous les résidents d’un territoire soient citoyens. Au Ve siècle, la démocratie athénienne excluait les étrangers et les femmes des citoyens. Appartenir au corps politique supposait de remplir certaines conditions précises. Tous les athéniens n’appartenaient pas au peuple souverain. On distingue la démocratie directe et représentative. En démocratie directe, le peuple se réunit et décide par lui-même. En démocratie

citoyen à Athènes en prêtant l'éphébie et en prêtant serment. Il jure fraternité à ses frères d'armes, les autre citoyens. Il s'engage à respecter la patrie (la cité) les lois (la démocratie) et les cultes ancestraux (les religions). Les athéniens participent à l'effort de guerre proportionnellement à leurs richesses: - Les citoyens les plus riches arment les navires et dirigent les armées. - Les citoyens qui peuvent se payer un cheval deviennent cavaliers. - Ceux qui peuvent se payer

Héritages démocratie athénienne On parle souvent de la Grèce comme le modèle de démocratie qui a inspiré nos régimes modernes. Il faut rappeler que l'idée d'un gouvernement populaire n'était pas appréciée et faisait même peur à certaines personnes y compris des personnalités telles que Platon ou Aristote. Le terme de démocratie faisait peur. Les citoyens craignaient l'idée que l'ensemble du peuple dont les personnes des classes inférieures puissent avoir leur mot à dire. Après une étude approfondie

de la péninsule grecque. Par la qualité de ses dirigeants et sa force guerrière, par la vigueur de ses institutions démocratiques, elle porte la culture grecque à son apogée. I] L'organisation de la démocratie athénienne 1) la lutte contre l'oligarchie La démocratie athénienne est le fruit d'une longue histoire, et a connu de nombreuses évolutions avec le temps. Comme d'autres cités, Athènes était jusqu'au début du VIe siècle avant notre ère une oligarchie, c'est à dire un régime où le pouvoir

de sexe masculin, - libre, - de père athénien, et, à partir de la loi de Périclès de 451, de père ET de mère athéniens unis par un mariage légitime, - majeur : l'accession à la majorité civique était fixée à vingt ans - avoir accompli son service militaire (l’éphébie).  Le principal mode d'accès à la citoyenneté était la naissance. Néanmoins, le droit de cité pouvait être accordé à des hommes libres qui n'étaient pas nés Athéniens. Il existait deux sortes d’attribution :

démocratie représentative. La première repose sur le tirage au sort alors que la deuxième se base sur l’élection. Bernard Manin présente ensuite une analyse de la démocratie antique à travers laquelle il démontre que le principe de la démocratie athénienne était que tout citoyen devait pouvoir occuper successivement la place de gouverné et de gouvernant. Le principe du tirage au sort permettait l’égale probabilité de gouverner et donc assurait que tout gouvernant n’était pas choisi pour ses talents

ouverte à tous les citoyens athéniens. C'est une assemblée souveraine, ses pouvoirs sont en théorie illimités. Il n'y a à l'époque aucune idée de séparation des pouvoirs. L'assemblée légifère, elle gouverne, et éventuellement elle peut juger. La première chose à préciser c'est la conception même de la citoyenneté. A. La citoyenneté athénienne La cité athénienne, quand elle parle d'elle, ne se définit pas comme l'État athénien, mais utilise la formule « les Athéniens », ce qui indique que la cité