Monnaie Et Chomage

dévaluations de la monnaie américaine, les monnaies ne se définissent plus en fonction du métal précieux (l'or est "démonétisé" à la conférence de la Jamaïque en 1976), mais selon un "système de changes flottants" dans lequel les monnaies fluctuent les unes par rapport aux autres. Les capitaux s'orientent non plus vers des investissements productifs mais vers la spéculation monétaire dans l'espoir de gains plus importants. C'est à cette époque que le mark et le yen acquièrent le statut de monnaies-refuges.

national, le taux d’intéret nominal, ¯ la demande de monnaie et le niveau des prix; C0 , I0 , G, λ et α sont des constantes positives et c ∈ (0, 1). 1) Commentez ces équations. 2) Ecrivez l’équilibre sur le marché des biens et services. Quelle est la relation entre Y et r quand cet équilibre est respecté? Commentez. ¯ 3) Considérons que l’Etat fixe l’offre de monnaie au niveau M . Déduisez en une relation entre Y et r quand le marché de la monnaie est équilibré. Commentez. 4) Représentez sur un même

zone d’intégration économique qui est le processus d’intégration de différentes économies national en vue de former un espace économique unique. Dès lors, cette intégration économique a impliqué un renouvellement de la monnaie, autrement dit cela a mené à l’aboutissement d’une monnaie unique pour les membres de cette union. De plus une politique monétaire a été mise en place, cette dernière est l’ensemble des mesures destiné à agir sur les conditions de financement de l’économie. Nous pouvons donc

l'Aire Pacifique pendant que le vieux continent stagne dans la crise. Développement - I - La crise dans les années 1970 - A - les origines de la crise 1. Les causes structurelles Dès la fin des années 1960 des problèmes se posent: le chômage, les salaires, l’inflation progressent. L’inflation est un moyen artificiel pour soutenir la hausse des salaires. De plus le système monétaire international se dérègle ce qui déstabilise l’économie mondiale. En 1971, les États-Unis connaissent

développement considérable du commerce, en particulier du commerce international où se font les plus grandes fortunes. Début de la traite des noirs. Pendant le XVIe siècle, forte inflation. Entre le début et la fin du siècle, le pouvoir d’achat de la monnaie est réduit de 80%. Changements sociaux : ruine de la noblesse, les ouvriers perdent leur pouvoir d’achat, grandes grèves d’où l’interdiction des coalisions ouvrières, l’afflux de capitaux va entrainer des changements dans les modes d’exploitation

marché (B & S ; L ; K) 2- La macroéconomie Elle étudie le fonctionnement économique dans son ensemble, à une échelle nationale mais aussi internationale, à travers l'étude des grands agrégats économiques (production ; consommation ; inflation ; chômage) Le support d'analyse de la macroéconomie c'est le circuit qui permet d'illustrer les relations entre les variables économiques. De nombreux économistes reconnaissent aujourd'hui que la macroéconomie a des fondements microéconomiques II- Méthodes

instruments de l’intervention étatique 54 3) Les limites de la régulation par l’État 57 B) Les faces cachées du budget de l’Etat 60 III - L’EMPLOI ET LE CHOMAGE (TD2) 68 A) L’emploi 68 1) Le facteur travail 68 B) Le chômage 70 1) Le marché du travail 70 2) Les causes du chômage 72 3) La politique de lutte contre le chômage 74 IV - LA CROISSANCE (TD3) 76 A) LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE 76 1) Les mécanismes de la croissance 76 2) Croissance et crise : les cycles économiques

avancés, cependant, bien des problèmes demeurent. Comme le montre la figure 1.2, le chômage a considérablement augmenté pendant la crise, à la fois aux ÉtatsUnis et dans la zone euro, et reste très élevé. L’augmentation du chômage aux États-Unis est particulièrement frappante, progressant de 4,6 % en 2007 à 9,6 % en 2010, suivie d’une lente diminution en 2011 et 2012. Ce qui engendre la persistance de ce chômage élevé est la lenteur de la croissance de la production ; et, derrière cette croissance

Chapitre 2 : le modèle IS-LM Introduction La synthèse keynésienne Un chômage massif qui ne s’explique pas dans la théorie classique. Pour eux il faut attendre, Keynes pense que l’ajustement n’arrivera pas : les prix et les salaires s’ajustent très mal à la baisse. Il n’y a pas d’autorégulation. Keynes pose comme hypothèse : ce qui est déterminant dans le niveau d’activité ceux sont les anticipations faites par les producteurs sur la production qu’ils seront capable d’écouler (= anticiper

de la hausse généralisée des prix, et correspond donc à une baisse durable de la valeur de la monnaie1,2. Il s'agit d'un phénomène persistant qui fait monter l'ensemble des prix2, et auquel se superposent des variations sectorielles des prix3. La monnaie (ou l'argent) étant l'étalon des valeurs, sa variation n'est pas directement mesurable ; on l'évalue à partir des variations des prix à la consommation des biens et services, mesurée à quantité et qualité égales. En France, l'inflation est évaluée