Monologue Amoureux Chateaubriand

observé et jugé par le tout puissant. Mais toute la richesse de Corneille se trouve dans ses variations de techniques dramatiques : dynamique du conflit ou accentuation sur les émotions des personnages (par exemple, les stances de Rodrigue, le monologue de Sabine ou les tirades de Pauline). Quoi qu'il en soit, le éros cornélien reste tourné vers ses idéaux, n'achevant jamais la quête vitale de son bonheur. Le bonheur reste une notion difficile à définir dans le sens où il reste abstrait et relatif

qui n’ose pas encore être hardi, est du moins le plus passionné que puissent lancer deux grands yeux de dix-huit ans. Cependant au bruit des chaises qui annonce la fin de l’office, notre amoureux (car aux quelques paroles qu’il a prononcées, le lecteur a pu reconnaître qu’il avait droit à ce titre), notre amoureux, dis-je, se retira un peu à l’écart et regarda passer la foule qui s’écoulait en silence et qui se composait de graves marguilliers, de respectables matrones devenues discrètes et de fillettes

le passage en italique que l’on appelle didascalies • le nom du personnage indiqué au début de la réplique. - Un seul personnage est sur scène comme l’indique la première didascalie. 3- Cette scène ne contient pas de dialogue. Elle contient un monologue. C. L’emprisonnement 1- Le groupe nominal « un château fort à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la liberté », ligne 3, désigne en fait la prison. - Une périphrase est une figure de style qui consiste à désigner un mot par un groupe de

l'honorer, 440 Qu'il méprise lui-même, et qu'il semble ignorer. J'aime, je prise en lui de plus nobles richesses, Les vertus de son père, et non point les faiblesses. J'aime, je l'avouerai, cet orgueil généreux Qui jamais n'a fléchi sous le joug amoureux. 445 Phèdre en vain s'honorait des soupirs de Thésée. Pour moi, je suis plus fière, et fuis la gloire aisée D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un coeur de toutes parts ouvert. Mais de faire fléchir un courage inflexible

Le titre vient du fait que Queneau voyait l’origine de son nom à la fois dans «quenot» qui signifie «chien» et dans «quenotte» qui signifie «dent». ‘’Le chiendent’’ provient aussi de ‘’Là-bas’’ d’Huysmans, où le héros, Durtal, est furieux d'être amoureux : « Non, il n'y a pas à dire ; la petite fleur bleue, le chiendent de l'âme…, c'est difficile à extirper, et ce que ça repousse ! Rien ne paraît pendant vingt ans et soudain, on ne sait pourquoi, ni comment, ça drageonne et ça jaillit en d'inextricables

(questions 2 et 3) Offrande amoureuse, ce sonnet décrit avec audace une situation inversée par rapport à la topique de la poésie amoureuse de l’époque. La femme n’est plus ici le réceptacle du désir amoureux masculin ; le « je », sujet féminin de renonciation, est ici premier et conduit le « jeu » amoureux en chantant les « grâces » de l’amant. Le « toi » de ce dernier n’est en effet que placé en position subalterne de « complément » et de destinataire passif. Les nombreuses inversions qui parcourent

lorsqu'on vient à songer à certaines actions de sa jeunesse; avoir fait des sottises par tendresse d'âme et s'en affliger, non pas parce qu'on fut ridicule aux yeux du salon, mais bien aux yeux d'une certaine personne dans ce salon; à vingt-six ans, être amoureux de bonne foi d'une femme qui en aime un autre, ou bien encore (mais la chose est si rare, que j'ose à peine 8 DE L'AMOUR l'écrire de peur de retomber dans les inintelligibles, comme lors de la première édition), ou bien encore, en entrant

objectif général la révision des principaux acquis concernant le récit. Les bases de la narration ont été travaillées en 6e, la description a fait l’objet d’une attention spéciale en 5e ainsi que le traitement de la parole sous toutes ses formes (monologue, dialogue de récit, de théâtre, etc.). Quant à l’explication en tant que forme de discours, elle a été particulièrement étudiée en 4e. Les élèves arrivent donc en 3e avec la connaissance (bien sûr plus ou moins maîtrisée) des bases du récit. Nous

remplisse pleinement le but multiple de l’art, qui est d’ouvrir au spectateur un double horizon, d’illuminer à la fois l’intérieur et l’extérieur des hommes ; l’extérieur, par leurs discours et leurs actions ; l’intérieur, par les a parte et les monologues ; de croiser, en un mot, dans le même tableau, le drame de la vie et le drame de la conscience. On conçoit que, pour une œuvre de ce genre, si le poëte doit choisir dans les choses (et il le doit), ce n’est pas le beau, mais le caractéristique.

remplisse pleinement le but multiple de l'art, qui est d'ouvrir au spectateur un double horizon, d'illuminer à la fois l'intérieur et l'extérieur des hommes ; l'extérieur, par leurs discours et leurs actions ; l'intérieur, par les a parte et les monologues ; de croiser, en un mot, dans le même tableau, le drame de la vie et le drame de la conscience. On conçoit que, pour une œuvre de ce genre, si le poëte doit choisir dans les choses (et il le doit), ce n'est pas le beau, mais le caractéristique