Monologue Amoureux Chateaubriand

Objet d'étude : « Le théâtre : texte et représentation » Problématique : Comment porter sur scène la révolution romantique ? Lectures analytiques : L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition L.A. n°2 (Acte II, scène 2) : le monologue de la reine L.A. n°3 (Acte III, scène 2) : la tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents

mère s’installe avec lui à Paris après s’être séparée de son mari car elle entretenait une relation avec le général d’Empire Victor Fanneau de la Horie. A l’âge de quatorze ans en juillet 1816, Victor Hugo écrit sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien ». Ses ambitions sont immenses et sa volonté, précoce et lucide. En 1817, il participe à un concours donné par l’Académie des jeux floraux de Toulouse et malgré le succès auprès du jury, son jeune âge le décrédibilise auprès de l’Académie

française |- |- |- | | |1792-1804 |Première République |1792-1795 |Convention |1802 : Génie du Christianisme, Chateaubriand | | | | |1795-1799 |Directoire | | | | | |1799-1804

traiter l’univers à sa manière ». 2. Chateaubriand (1768-1848) a. René et Atala La description est une séquence où viennent se rejoindre la fiction et l’essai. Elle est à même de dire le monde, de le faire signifier et, chez Chateaubriand, par exemple, d’offrir l’image de la mélancolie du sujet. Les très nombreuses descriptions sont lestées d’une visée argumentative. Après la peinture du spectacle qui s’offre depuis le sommet du Vésuve, Chateaubriand fait dire à son personnage : « Ce tableau

qui prend la mouche de Labiche. Il fait aussi rire les spectateurs dans un numéro d’imitations où il parodie les plus grands acteurs de son époque, comme Coquelin Cadet. Par la suite, il continue à jouer dans plusieurs spectacles et écrit des monologues, genre alors très applaudi dans les salons. En 1882, à vingt ans, il publie une petite comédie, Notre futur, qu’il destinait probablement à être jouée dans l’un des cercles auxquels il participe, comme celui des Castagnettes. Mais cette brève

l’intrication de sa vie et de son action avec ses œuvres a instituée entre lui et l’histoire. * La durée de sa vie y est pour beaucoup qui, soulignée, sanctionnée et encore étendue par l’œuvre, fait de lui l’homme siècle. Il a connu Chateaubriand et Clemenceau, Verlaine et le chancelier Pasquier[1]. Sa précocité l’autorise à faire coïncider, dans Les Misérables, ses débuts avec Waterloo, la date de sa naissance et sa parenté à absorber dans un « moi » impérialement spéculaire la résolution

"Texte dit": texte destiné à être dit vocabulaire Les Répliques : paroles échangées entre les acteurs Les dialogues de typeconflictuel (dispute), informatif (donne des informations) ou délibératif (discussion qui vise à prendre une décision) Les monologues : lorsqu’un personnage parle tout seul et qu’il nous permet d’accéder à ses pensées, ses sentiments. Aparté (masc.) : Paroles prononcées à l’insu d’un personnage dont souvent le public est le dentinaire. Son but est de faire rire/sourire, et nous

de sa propre souffrance) * Réaliser le mélange des genres et des registres Les thèmes : * L’expérience de la solitude * La communion avec la nature * Les souffrances du peuple * Le lyrisme * La passion Auteurs : * Chateaubriand * René * Madame de Staël * De l’Allemagne * Benjamin Constant (Suisse) * Adolphe * Victor Hugo * Notre-Dame de Paris * Les Misérables * L’Homme qui rit * Sue Eugène * Les Mystères

mouvement littéraire du XIXè (1820-1850), qui naît de la remise en question des idées des Lumières.Importance du "moi" et de la sensibilité, des sentiments intimes, des sentiments amoureux. Culte du rêve, désir d'évasion... Genres: Poésies lyriques, roman, Théâtre (drame romantique) Auteurs: Victor Hugo, Rousseau, Chateaubriand ( =>Atala), Vigny, Musset, Lamartine ( les plus importants)... Dans ce mouvement littéraire, nous retrouvons le Lyrisme ( expression de soi), les faits historiques, la

littérature plus vaste, plus libre, plus sentimentale, plus énergique et qui soit l’expression de la société (Germaine de Staël). Cette littérature doit se libérer des contraintes du clacissisme. Le mouvement romantique en France est conduit par Chateaubriand, Lamartine, Victor Hugo et Alfred de Vigny. Les romantiques privilégient la sensibilité et ils découvrent leur je, leur subjectivité, ce qui explique la prolifération d’oeuvres plus ou moins autobiographiques. Ce je est divisé, complexe et à