Monologue Comique Amour

résigner à ce triste avenir; les serviteurs lui refuse une nouvelle visite, et la belle le renvoie en lui lançant une pierre, à laquelle était jointe un mot d'amour. Arnolphe enrage,lorqu'il lit la lettre, obligé de reconnaître sa jalousie, et donc son amour. Arnolphe et Horace se rencontrent de nouveau où celui-ci lui apprend qu'il a réussi à s'introduire dans la maison, mais que l'arrivée impromptue de M. de La Souche, a obligé Agnès à la cacher dans une armoire. En outre, il lui confie qu'il a un rendez-vous

Thésée et d’Hyppolite Le héros comique est simplement ridicule, c’est-à-dire victime d’une distorsion entre ce qu’il dit, par exemple : « je suis maître, je parle, allez, obéissez « (Arnolphe), et ce qu’il est, entre ce qu’il veut et ce qu’il fait ; c’est le cas du héros comique classique tel qu’il apparaît chez Molière. Figaro est d’un autre type, il agit, il fait rire, mais on ne rit pas de lui, il est l’incarnation de l’auteur sur le plateau ; le véritable héros comique, ce serait plutôt Almaviva

pièce éponyme, montrant sa transformation en despote sanguinaire, d’après l’œuvre de l'historien latin Suétone, Vies des douze Césars. Plus plaisamment, le vaudeville du XIXe siècle, comme Le Fil à la patte de Feydeau, propose des petites histoires comiques, fertiles en rebondissements (dont le fameux « Ciel, mon mari ! »), tirées du quotidien du monde bourgeois. Pour remplir cette fonction, le théâtre a besoin de paroles. Le théâtre, ensuite, au-delà de ces aspects « narratifs », est un genre qui

Eloïse Magnenat, groupe 308 23.05.07 La parodie dans Ubu Roi, d’Alfred Jarry Le genre parodique possède une longue histoire, qui s’étend d’Aucassin et Nicolette, chantefable du début du XIIIème siècle qui parodie Tristan et Iseult, jusqu’aux comiques modernes. En Décembre 1896, la pièce Ubu Roi, d’Alfred Jarry entre sur la scène littéraire et fait l’effet, d’une bombe, tant elle diverge des codes classiques de la tradition théâtrale. Ubu Roi, c’est du jamais vu, une totale nouveauté; pourtant

Acte 1 de l'Illusion Comique Acte 1 Scène 1 - Dorante et Pridamant dans la grotte d'Alcandre Dorante a amené son ami Pridamant à la grotte d'Alcandre. Celui-ci est un « magicien » (Illusionniste), qui conseille les Hommes. Pridamant compte sur lui pour retrouver son fils Clindor, avec lequel il s'est fâché. Acte 1 Scène 2 - Alcandre raconte l'histoire du fils de Pridamant Alcandre reçoit les deux amis. Ce magicien sait déjà ce qui amène Pridamant. Il lui explique ensuite

fonctions du dialogue et du monologue) : I, 1 : scène d’exposition (acte I tout entier comme prologue) II, 2 : Matamore, capitaine fanfaron II, 3 : Adraste, Isabelle III, 1-2 : Géronte, Isabelle III, 5-6 : Clindor, Lise IV, 1 : monologue d’Isabelle IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) V, 4 : Clindor, Rosine V, 6 : éloge du théâtre par Alcandre Etude des genres et des registres : Les genres : la notion de tragi-comédie Les registres : comique, pathétique, lyrique, etc

Séance 5 : Analyser un texte complémentaire Pierre Corneille reconnu par sa tragi-comédie Le Cid, mais aussi par sa comédie L’illusion Comique à l’esthétique baroque ayant connu un succès en 1635. Reflétant à travers cette œuvre les valeurs et les grandes interrogations de son époque. A l’acte IV scène 7 Corneille met en scène le monologue de Clindor, qui est en prison suite à la mort de son rival Adraste. Comment l’amour de Clindor envers Isabelle l’aide à le sauver de sa peur de la mort ? Nous

imaginaire Le comique Le premier acte La première source de comique est le caractère d’Argan . Il nous fait rire avec sa peur de la maladie et sa dépendance des médecines et des lavements , avec son marchandage pour économiser et ne pas être dupe de M. Fleurant , son apothicaire . Il y le comique du caractère de Toinette qui nous fait rire par ses ruses et surtout par le renversement des rôles qu’elle créé : c’est elle la plus forte et pas son maître. Puis , il y a le comique de langage , on

d’étude (durée : quatre semaines) Extraits à étudier (perspective : formes et fonctions du dialogue et du monologue) : • I, 1 : scène d’exposition (acte I tout entier comme prologue) • II, 2 : Matamore, capitaine fanfaron • II, 3 : Adraste, Isabelle • III, 1-2 : Géronte, Isabelle • III, 5-6 : Clindor, Lise • IV, 1 : monologue d’Isabelle • IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) • V, 4 : Clindor, Rosine • V, 6 : éloge du théâtre

liée à la tragédie grecque, veut inspirer la terreur ou la pitié pour purifier le spectateur (effet de "catharsis"). La comédie se caractérise par la mise en scène de la vie ordinaire et un dénouement heureux. Elle peut s'appuyer sur la farce (comique familier) ou atteindre une portée satirique (certaines pièces de Molière et de Beaumarchais). Elle prend parfois une dimension psychologique (Marivaux). Le drame est d'abord le drame bourgeois du XVIIIème siècle qui veut être plus près de la réalité