Monologue De Délibération Invention

dispiritedness, discouragement découragent : discourage décourageons : discourage décourager : discourage découragèrent : discouraged découragés : discouraged découragez : discourage décousu : unstitched découvert : shortfall, deficit découverte : invention découvertes : discovered, findings découvrant : discovering découvre : discovers découvrent : discover découvres : discover découvrez : discover French−english Dictionary 516 French−english (dictionnaire) découvrîmes : discovered découvrir

sovereign, obedience, supremacy and prince, which all suggest male authority and female subjection. 2. Find the key information Remarque : ce texte est disponible en version enregistrée sur le site compagnon. & Productions possibles : Katherina’s monologue is an obedient regurgitation of the mantra by which she lives: that her husband is her authority and she is his subordinate. She describes the gallant role of a husband and the woman’s duty to be grateful and glad. U N IT 3 • 63 UNIT 3 A MAN’S

a coulé et où la durée de la phase armée a favorisé le reflux des intellectuels sur des bases populaires, on assiste à une véritable éradication de la superstructure puisée par ces intellectuels dans les milieux bourgeois colonialistes. Dans son monologue narcissiste, la bourgeoisie colonialiste, par l'intermédiaire de ses universitaires, avait profondément ancré en effet dans l'esprit du colonisé que les essences demeurent éternelles en dépit de toutes les erreurs imputables aux hommes. Les essences

disparu : le fantôme de la justice sociale l’obsédait. Lui qui d’ordinaire revenait de toutes ses actions avec une satisfaction si rayonnante, il semblait qu’il se fît un reproche. Par moments, il se parlait à lui-même, et bégayait à demi-voix des monologues lugubres. En voici un que sa sœur entendit un soir et recueillit : – Je ne croyais pas que cela fût si monstrueux. C’est un tort de s’absorber dans la loi divine au point de ne plus s’apercevoir de la loi humaine. La mort n’appartient qu’à Dieu

à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait – 11 – toujours après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s’entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l’isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d’enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

rhum et à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait toujours 8 après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s’entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l’isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d’enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

coups de rhum et à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait toujours après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s'entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l'isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d'enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

de rhum et à insulter les processions. Mais, naturellement paisible, le petit répondait mal à ses efforts. Sa mère le traînait toujours après elle ; elle lui découpait des cartons, lui racontait des histoires, s’entretenait avec lui dans des monologues sans fin, pleins de gaietés mélancoliques et de chatteries babillardes. Dans l’isolement de sa vie, elle reporta sur cette tête d’enfant toutes ses vanités éparses, brisées. Elle rêvait de hautes positions, elle le voyait déjà grand, beau, spirituel

disparu : le fantôme de la justice sociale l’obsédait. Lui qui d’ordinaire revenait de toutes ses actions avec une satisfaction si rayonnante, il semblait qu’il se fît un reproche. Par moments, il se parlait à lui-même, et bégayait à demi-voix des monologues lugubres. En voici un que sa sœur entendit un soir et recueillit : – Je ne croyais pas que cela fût si monstrueux. C’est un tort de s’absorber dans la loi divine au point de ne plus s’apercevoir de la loi humaine. La mort n’appartient qu’à Dieu

disparu : le fantôme de la justice sociale l’obsédait. Lui qui d’ordinaire revenait de toutes ses actions avec une satisfaction si rayonnante, il semblait qu’il se fît un reproche. Par moments, il se parlait à lui-même, et bégayait à demi-voix des monologues lugubres. En voici un que sa sœur entendit un soir et recueillit : – Je ne croyais pas que cela fût si monstrueux. C’est un tort de s’absorber dans la loi divine au point de ne plus s’apercevoir de la loi humaine. La mort n’appartient qu’à Dieu