Monologue Dona Sol

Saligo, et Timeo Danaos, et Dona Ferentès (la seule dame de la société), et Sinon, et Vero, et Ben Trovato, et quelques autres que j’oublie. 68 En fait de Français : l’écarlate bâtard, le lieutenant de vaisseau Becque-Danlot, et moi. J’ai dit plus haut que nous flétrissions l’esclavage d’un commun accord ; cela n’est pas tout à fait exact. Becque-Danlot ne flétrissait rien du tout. Becque-Danlot semblait, pour le moment, étranger à toute indignation. Ce fut la belle Dona Ferentès qui s’en aperçut

Lui-même poursuit la référence aux animaux en s’exclamant : « Ha ! Pour manoir déifique et seigneurial, il n’est que le plancher des vaches. » L’expression « plancher des vaches » pour désigner le sol n’est sans doute pas une invention de Rabelais. Elle suggère de façon plaisante l’image de ruminants marchant sur un sol de bois, mais Rabelais insiste surtout sur le contraste comique entre la modestie objective des vœux de Panurge (des vœux qui sont accordés même aux vaches !), et le prix qu’il y attache.

fils (simples, sobres, fonctionnels) et ce qu’il y a dans les vitrines (couleurs, fantaisie). 1. Observa la foto y di lo que representa. – Parece que fue sacada en una galería comercial porque… On observera les vitrines, les effets lumineux sur le sol qui montrent qu’on n’est pas dans une rue mais dans un endroit couvert. On fera remarquer aussi, en regardant la légende de la photo, qu’il s’agit de la galerie commerciale d’un aéroport. Pour les 20 algo mÁs élèves qui ne le sauraient pas, on pourra

L’arrivée des témoins : ils sont en possession des armes et se « [saluent] avec cérémonie » (l. 447, p. 168). – La délimitation de l’espace du duel par les témoins : trente pas doivent séparer les adversaires. Les témoins enfoncent des cannes dans le sol pour matérialiser la place de chaque duelliste. – Les armes sont tirées au sort : le choix des armes incombait à Duroy puisque c’était l’offensé du duel ; il a choisi le pistolet, fourni par ses témoins. Chaque adversaire se voit attribuer un des deux

« Mujeres españolas », réalisée à Madrid par le Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad dans le cadre de la campagne pour le « Plan estratégico de igualdad de oportunidades 20082011 ». On remarquera, en bas à gauche du document, le logo de Yo Dona qui est une section du journal espagnol El Mundo, consacrée aux femmes. Dossier 1 21 Le professeur pourra demander à ses élèves d’observer le document et de le décrire brièvement, à l’écrit puis, ensuite, à l’oral : a) de quoi se compose-t-il 

Mujeres españolas », réalisée à madrid par le Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad dans le cadre de la campagne pour le « Plan estratégico de igualdad de oportunidades 20082011 ». on remarquera, en bas à gauche du document, le logo de Yo Dona qui est une section du journal espagnol El Mundo, consacrée aux femmes. © Éditions Belin, 2012 DoSSIER 1 21 Le professeur pourra demander à ses élèves d’observer le document et de le décrire brièvement, à l’écrit puis, ensuite, à l’oral

Mujeres españolas », réalisée à madrid par le Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad dans le cadre de la campagne pour le « Plan estratégico de igualdad de oportunidades 20082011 ». on remarquera, en bas à gauche du document, le logo de Yo Dona qui est une section du journal espagnol El Mundo, consacrée aux femmes. © Éditions Belin, 2012 DoSSIER 1 21 Le professeur pourra demander à ses élèves d’observer le document et de le décrire brièvement, à l’écrit puis, ensuite, à l’oral

grand seigneur et de faire la part aux prétentions de beau langage de Sganarelle qui mélange les registres. Le comique tient là encore à un double décalage. Le dialogue amoureux de Charlotte et Pierrot à l'acte II fait pendant à celui de Don Juan et Dona Elvire de l'acte I. Le parler paysan correspond à une conception de l'amour fort différente. À la question de Charlotte : " Ne t'aimais-je pas aussi comme il faut ? ", Pierrot répond non, et lui propose le modèle de la " grosse Thomasse " : " Alle

jocalis, joyau) met bien en évidence la complexité du plaisir recherché par le troubadour, jeu et joie de l'amour mais aussi de l'écriture. Les troubadours ont ainsi inventé la rime, qui, plus que la fin du vers, signale les mots importants (amors, joi, dona) et surtout souligne l'entrelacement des êtres dans l'amour et de l'amour avec la poésie. La chanson, tout entière, est fondée sur la disposition, la mise en valeur des rimes, le jeu de leurs sonorités. La rime n'existe pas ou peu avant les troubadours

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Associe chaque mot à une couleur… • • • • • • un elefante ��������������������������������������������������������� el sol ������������������������������������������������������������������� la sangre ������������������������������������������������������������� el tronco de un árbol ������������������������������������������ el mar �����������������������������������������������������������������