Monologue Et Tirade

personnages  Dialogue (Entre eux) + Monologue (Avec eux-mêmes). Enonciation de l’auteur  Informations au spectateur ( Répliques des personnages). TYPES DE RÉPLIQUES : Stichomythies  Echange vif entre deux personnages  Intensité tragique OU Effet comique. Aparté  Spectateur = Destinataire  Complice  Décalage entre ce que le personnage dit  pense  Comique. Monologue  Eclairer une situation OU Exprimer les sentiments profonds d’un personnage. Tirade   Phrases complexes + Questions +

tout en lui faisant comprendre, comme il est dit dans la tirade d'Arlequin, que l'esclavage est quelque chose d'inhumain et que s'il connaissait les souffrances d'un esclave, il n'exploiterait pas d'autres Hommes Ensuite, le conflit permet d'accrocher le spectateur. Ainsi, dans Le retour au désert de Koltès, Mathilde et Adrien entrent en conflit sur une question d'héritage. L'utilisation du conflit dans ce texte permet d'utiliser des tirades tout en rythmant le récit ce qui permet de maintenir l'attention

spectateur. Nous analyserons les différentes formes de langage et les différentes finalités de ces dernières. Le théâtre est d’abord et avant tout un texte que des acteurs vont représenter pour un public. La qualité des dialogues, des tirades, des monologues fera de la pièce un grand moment d’émotions, de joie, de divertissement pour le public. Jean Anouilh dans son chœur d’Antigone nous rappelle que « dans la tragédie, par exemple on est tranquille…c’est reposant ». Tout le théâtre classique

sont immédiatement suivies d’effets Un dialogue entre plusieurs personnages Les types de paroles sur scène La réplique : Texte pronnoncé par un personnage à destination d’un ou de plusieurs personnages. La tirade : Longue réplique sans interruption Monologue : Une tirade pronnoncé par un personnage seul en scène (ou qu’il croit l’etre) Le dialogue : Echange verbal entre deux ou plusieurs personnages L’aparté : Replique pronnoncée par un personnage à l’issus d’un autre personnage pour

étant traduits, les traductions sont aussi des réécritures. Etude de la tirade initiale chez Shakespeare et Bene I. Shakespeare Ce monologue initial suit la liste des personnages (30 hommes et 5 femmes, plus un bon nombre de figurants « lords, courtisans, gentilshommes, messagers, prêtre, greffier, bourgeois, assassins, soldats, spectres »). Il y a chez Shakespeare tout un monde qui reconstitue l’histoire. Ce monologue présente le personnage et ses projets. Il comporte 3 parties : dans la première

Il lui a interdit de répondre a ses avances. Il a essayé de la remettre dans le droit chemin en lui faisant lire « Les Maximes du Mariage ». Agnès a désobéi, on l’apprend dans cette scène. On est ici dans le registre comique. Dans la scène III : Monologue d’Arnolphe. Très content de lui, il disserte sur les femmes, convaincu qu’Agnès est maniable. Retournement de situation : Arnolphe va découvrir qu’Agnès a évolué grâce à l’amour. Il apprend qu’Agnès le trompe et il joue un rôle pour cacher sa colère

d’une ironie dramatique. l’aparté : Cyrano s’adresse au public quand il se rappelle de son rôle et qu’il se moque alors de lui-même. A part, dégrisé, « C’est vrai, je suis beau, j’oubliais ! » Par cette tirade, on note toute l’aigreur de Cyrano. le monologue : Cyrano se livre dans la dernière tirade et exprime son amertume. « […] je suis le Lazare !, il me vient de cette ombre une miette de toi ». les sentences. En premier lieu, Christian se rend compte qu’il commet une traîtrise. « Mais il me semble

parole et s’affirmer. De plus, | | |on aperçoit aussi un discours de critique envers l’abus de pouvoir des dévots. | | |Dans le texte B, la tirade d’Arlequin joue un rôle conséquent : elle apporte une critique de la | | |relation dominant/dominé injuste entre maîtres et valets (« tu me traitais comme un pauvre |

Tirade du God-dam En bref le comique vient d’un décalage permanent. Cette tirade est destinée à contrecarrer les plans du comte. Acte II scène 2 Acte II scène 21 Scène où Antonio le jardinier du château vient se plaindre au pied du Comte : un homme a sauté par la fenêtre et a écrasé au passage ses giroflées. Personnage de farce. Antonio, un monomane (Qui n’a qu’une seule passion). Il est le jardinier par excellence. Il pense que tout ce qu’il peut cultiver aux abords du château

amour-pouvoir proposé fréquemment dans les pièces tragiques convient très bien pour qualifier cette pièce, aux plus grands désespoirs de nos deux personnages. Le dilemme s’exprime par leurs propos qui rentrent en parfaite opposition. Dans une même tirade, parfois d’une phrase à une autre, Bérénice prononce de nombreuses oxymores : « cruauté/plaisir » ou encore « amour/haïr ». Ces figures de styles révèlent l’état de confusion dans lequel, elle se trouve, elle divague. Par des questions, elle tente