Monologue La Marmite

pas d’un parti, Seuil, 1954. FASCICULE PREMIÈRE Page59 Texte 6« La fusion de l’or » Si mon père ne prononçait pas de paroles, je sais bien qu’intérieurement il en formait ; je l’apercevais à ses lèvres qui remuaient tandis que, penché sur la marmite, il malaxait l’or et le charbon avec un bout de bois, d’ailleurs aussitôt enflammé et qu’il fallait sans cesse renouveler. Quelles paroles mon père pouvait-il bien former ? Je ne sais pas exactement : rien ne m’a été communiqué de ces paroles

le pot à colle dans le berceau Une langue pour mieux baver Il met les ciseaux dans le berceau Il faut encore qu’il connaisse le chant Allons chantez Tonnerre Scène quatrième Les mêmes, le fils Le mari répète : « une, deux ! »jusqu’à la fin du monologue du fils. Cette scène se passe très rapidement Le fils se dressant dans le berceau Mon cher papa si vous voulez savoir enfin Tout ce qu’ont fait les aigrefins Faut me donner un petit peu d’argent de poche L’arbre d’imprimerie étend feuilles et feuilles

milieu de ces herbes. Clersy Destatte Sabine©2003-ISEFC-Cours de remédiation 24 Retrouvons deux phrases simples à partir des phrases complexes suivantes : 1. Regardons le soleil qui se couche à l’horizon. 2. Il souleva le couvercle de la marmite où mijotait la soupe. 3. Les ouvriers ont le visage brûlé par la chaleur que dégagent les fours. 4. Le soleil est une masse en fusion dont la température atteint des millions de degrés. 5. Je peux te prêter cette grammaire dont je ne me sers plus

. . langue .............. créole, . . . . . . . . .sa . . .dimension . . . . . . . . . . . . . musicale. .................................... © Hachette Livre 2013, Cahier de français 1re – La photocopie non autorisée est un délit. 1 dans un monologue intérieur enchâssé dans le récit. Le lecteur suit ainsi directement l’évolution des pensées du personnage auquel il peut s’identifier. Le discours narrativisé se présente sous la forme d’une phrase ou plusieurs phrases narratives qui permet(tent)

d’où il reprend les thèmes générales de son œuvre, c’est-à-dire un vieil avare, une intrigue amoureuse et un trésor subtilisé. Mais, à différence de son modèle, l’avare de Molière n’est pas le pauvre Euclion enrichi par hasard en ayant trouvé une marmite pleine d’argent, mais un riche bourgeois nommé Harpagon ; la rivalité amoureuse entre Mégadore et son neveu pour Phaedra, fille d’Euclion est déplacée au niveau de l’avare et de son fils Cléante pour une jeune fille appelée Mariane; Molière modifie

les forêts – c’était en 1979 –, les envois étaient précédés d’une insistante recommandation d’Hubert Gignoux ; aussi ai-je lu les pièces avec une grande attention. À l’époque, j’avais mal compris le mécanisme de La Nuit : je l’avais prise pour un monologue ; maintenant, je vois plutôt la pièce comme une sorte d’ancêtre de La Solitude et surtout comme un texte magnifique à côté duquel je suis passé. Je suis entré, en revanche, plus facilement dans Combat et c’est la langue qui m’a frappé d’abord comme

galanterie. Un troisième temps analysera le mot « illusion » : faire illusion, est-ce ce que voulait Matamore ? Pourquoi a-t-il échoué (voir réponse 5) ? Est-ce le but du théâtre ? xvii e siècle 121 corneille Objectifs – Analyser un monologue délibératif – Étudier les valeurs du héros cornélien Le Cid page 144 Repères Furetière définit la stance comme ce « qui se dit d’un certain nombre réglé de vers graves et sérieux qui contiennent un sens au bout duquel il se fait un repos

Pyrrhias. Ce Cnémon là est un monstre, « un fou » (82), un « dément » (melancholàn) (89). Ce Cnémon, on ne le voit pas, et pour cause : il n’est pas à proprement parler représentable. On observera que le Cnémon de la scène 3 (toujours à l’acte I) monologue et dialogue par tirades entières, ce qui nuance fortement sa « vrai misanthropie monstrueuse » Notre Cnémon n’est pas un type, mais peu à peu se livre son profil psychologique, les motifs de sa misanthropie, tout ceci en termes aristotéliciens puisque

etc. (Epictète, Manuel, I, 4 ; IV ; XXIX, 1 et 2) Il faut aussi être conscient de ce qu’est l’objet de notre désir ou de notre amour : Sois conscient de ce qu’est l’objet que tu aimes, ainsi tu ne seras pas troublé. Si tu aimes une marmite, dis-toi : C’est une marmite que j’aime. Ainsi, le jour où elle casse, tu ne seras pas troublé. De même, quand tu embrasses un être humain, dis-toi : C’est un être humain que j’embrasse. (Epictète, Manuel, III) Il faut donc, pour Epictète, être conscient des malheurs

parut tout à coup ne tenir à la vie que par de vagues attaches. Tout se fit étrange autour de lui; vestede-kaki n'était nulle part. Qu'allait-il devenir sans veste-dekaki?" (p.16). Une seule fois, le style indirect libre se présente, associé au monologue intérieur: "Omar se trouva seul dans la cour. Son sang buta contre ses tempes. Des agents de police!! Son cœur voulait jaillir de sa poitrine. Cloué sur place, il aurait désiré pouvoir crier: "Maman!". Son front était moite. Brusquement, il hurla: